La journée mondiale du legs : pourquoi pas v ous ?

Faire un legs c’est décider, de son vivant, d’être généreux après sa mort.

Vous vous êtes déjà certainement interrogé sur ce qu’il adviendra de vos biens (logement, meubles, comptes épargne, voiture, ou terrain etc.). Quel que soit votre âge ou votre situation personnelle (présence ou non d’enfant) vous pouvez choisir d’inclure le WWF France dans votre testament comme l’un de vos héritiers.
Notre fondation étant exonérée de l'impôt sur les successions, les legs et assurances-vie financent intégralement nos missions et actions de terrain.

"Anticiper sa succession ne fait pas mourir !"

"J’ai connu le WWF à l’âge de 13 ans lors d’une vente d’animaux en peluche sur le quai du RER à Nation. C’est ma mère qui m’a acheté le fameux panda, magnifique égérie du WWF ! J’ai toujours aimé les animaux et la nature.
Parmi toutes les causes qui me tiennent à cœur, celle qui m’est sans doute la plus chère est la protection des animaux et de leurs habitats. La richesse et la diversité du vivant ne cessent de m'émerveiller !
J’ai choisi d’anticiper ma succession car avec mon conjoint, nous n’avons pas eu d’enfant. Mes parents étant déjà décédés, et n'ayant ni frère ni soeur, je souhaite qu'à ma mort mes biens profitent au WWF France ainsi qu'à une autre fondation : La Tanière – Zoo refuge.
Anticiper sa succession ne fait pas mourir ! Au contraire, cela permet de faire appliquer ses dernières volontés et de ne plus y penser jusqu’au moment venu.
J’aimerais partager avec votre communauté mes espoirs pour les générations futures : contribuer à leur laisser une terre vivante, avec des animaux en liberté évoluant dans leurs milieux naturels. Je suis convaincue que la vie sans les animaux serait une forme de survie conduisant également très probablement à l’extinction de l’humain… plutôt tragique comme vision ! Mais, vous l’aurez compris, ce n’est justement pas cette fin-là que je désire pour l’avenir. L'espoir est pourtant là : j’ai eu la chance de voyager en 2013 au Rwanda pour apercevoir les gorilles qui vivent dans les montagnes du Parc National de Virunga. On ne peut qu’espérer vouloir préserver, le plus longtemps possible, ces espaces indispensables à la survie de ces êtres si beaux et intelligents."
Lydie GIRARD (Pont-L’Evêque)