La Banque nationale suisse a continué d’accumuler des pertes au troisième trimestre. Des chiffres rouges qui menacent la possibilité d'un versement à la fin de l’année aux cantons et à la Confédération.
Réorientée il y a cinq ans, la plateforme d’investissement au sein du groupe bancaire allemand de 430 ans a réuni un peu plus de 5 milliards de francs sous gestion en actions discrétionnaires.
Le CEO du spécialiste des solutions de stockage, Anil Srivastava, s'en va et sera remplacé par Pierre Blanc. Tandis que la direction d'E-Mobility est reprise par Phil Broad. La quête d'un CFO est encore en cours.
Plusieurs analystes estiment que les pays européens ne sont toujours pas sortis d'affaires: elle ne parvient toujours pas à compenser la chute de l'offre venant de Russie.
Alexandra Post, présidente de Schenk, est l’invitée de «Be to B», une émission réalisée en partenariat par LFM TV et «L’Agefi». Le géant suisse de la production et du négoce de vin fait face à une année de «forte pression sur les marges». Il a une stratégie pour y répondre.
Le prix d'émission de référence de l'augmentation de capital de Credit Suisse est fixé à 4,07 francs par titre, précise le numéro deux helvétique. L'action a clôturé à 4,13 francs en progression de 5,20%.
Pour certains spécialistes et diplomates autrichiens, ce principe n’est qu’une fiction juridique qui ne protège pas le pays. Qu'en est-il pour la Suisse? Par Jacques Neirynck