Le secteur des obligations suisses a effectué des allers et retours en amont d’une semaine chargée en termes de politique monétaire avec les réunions de la Réserve fédérale américaine et de la BCE.
Le logisticien schwytzois a vu son chiffre d'affaires net chuter entre avril et fin juin de 43% comparé au deuxième trimestre 2022 à 5,97 milliards de francs.
La Chancellerie fédérale a validé l’essentiel des signatures déposées en juin par la gauche et les syndicats contre la refonte du deuxième pilier. Celle-ci prévoit notamment une baisse du seuil de conversion.
La nominative Idorsia a touché un plus bas à 10h05, perdant 15% à la Bourse suisse, après des prétentions revues nettement à la baisse et la suspension de son objectif de franchissement du seuil de rentabilité à l'horizon 2025.
Après la révolution néolithique et celle industrielle, voilà donc venu le temps de la troisième: celle du secteur tertiaire, touché par le tsunami de l’intelligence artificielle. Par Xavier Comtesse et Pascal Eichenberger