Impôts sur l’auto : le racket des automobilistes
 

 

Impôts sur l’auto : le racket des automobilistes


Amendes, taxes sur les produits pétroliers, TVA, taxes sur les assurances, carte grise, radars... Nos autos comptent plus d’impôts que de chevaux.

De l’achat du véhicule jusqu’au dernier plein d’essence, les contribuables-automobilistes sont matraqués à chaque kilomètre…

Un quart du budget de l’automobiliste est dévoré par les taxes.
 

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impôt sur l'auto

 

L’État prend à chaque automobiliste 1 540 euros par an

Taxe sur les carburants, sur l’assurance, sur les péages, amendes, TVA sur l’entretien ou sur les véhicules neufs…

Vous qui prenez votre voiture, vous payez de plus en plus de taxes alors que l’état des routes ne cesse de se dégrader : infrastructures vétustes, nids-de-poule, fissures, chaussées déformées...

La raison en est bien simple : si l’automobiliste consacre ¼ de son budget au paiement des taxes, l’État et les collectivités locales investissent de moins en moins de cet argent pour les routes.

Comme tous les automobilistes, vous êtes saignés à blanc.
 
À la pompe… on vous pompe
Sur un plein de 40 litres, c’est 21,6 € pour l’essence et 37,6 € pour le fisc.
64 % de taxes !

Les prix des carburants ont flambé avec les hausses de taxes début 2018 sur le gazole et l’essence.

Un centime d’augmentation sur le diesel  = 350 millions de taxes supplémentaires.

Quand vous faites le plein, vous êtes racketté trois fois : avec la TICPE (taxe intérieure de consommation sur les produits énergétiques), la TVA sur le produit, et re-TVA sur le TICPE : un impôt sur l’impôt !

Stationnement : la flambée des tarifs

L’année 2018 coûte cher aux automobilistes : depuis le 1er janvier, fini le PV de stationnement au tarif unique de 17 euros.

Désormais, chaque maire peut fixer le montant de l’amende. Dans la quasi-totalité des villes, les tarifs ont augmenté.

Tandis que les finances locales, mal gérées, sont à la dérive, les maires ont trouvé un nouveau moyen de financer leurs dépenses inutiles…  

C’est un véritable jackpot pour les élus : le montant des PV représente déjà 500 millions d’euros. La somme pourrait doubler avec cette nouvelle mesure…
 
La répression routière est une manne inépuisable pour l’État

Chaque flash de radar contribue à renflouer les caisses d’un État en faillite. Le jackpot est d’un milliard d’euros par an !

Et il ne faut pas grand-chose pour que vous vous fassiez prendre : la moitié des excès de vitesse enregistrés par les radars automatiques concernent de très petits dépassements de la vitesse autorisée : entre +1 et +5 km/h.
 
La véritable mission des radars est fiscale et non sécuritaire : la plupart ne sont pas placés à des endroits accidentogènes.

La baisse de la mortalité routière est bien antérieure à la multiplication des radars automatiques et tient surtout à l’optimisation de la sécurité dans les véhicules. Cherchez l’erreur…

Chacun des 4 700 radars automatiques rapporte 450 euros par jour à l’État…
Non à la violence routière du fisc !

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