Chers amis de MOUVEMENT UP,
Nous sommes heureux de vous annoncer la sortie de notre nouveau numéro : MOUVEMENT UP #5 - Au-delà de la loi (Pacte) ces entreprises qui changent la donne !
En 2020, des entreprises s'engagent dans leurs responsabilités sociales et environnementales bien au-delà des promesses de la loi Pacte. Elles ne sont pas toutes des entreprises d’intérêt général mais intègrent, dans leurs mesures d’impact et de réussite, un ensemble de critères heureux pour leurs salariés, la planète et la société civile. Elles peuvent être labellisées par B Corp, sont des entreprises à mission, ou encore appartiennent à des réseaux d’entrepreneurs sociaux.
Nous avons rencontré Christophe Audouin, directeur des Prés rient bio, pour qui l’entreprise doit devenir une actrice politique à part entière, ainsi que des personnalités influentes comme Emmanuelle Duez et Jean Moreau. Nous avons suivi les équipes de Tapaj - programme de travail alternatif payé à la journée -, pour explorer une nouvelle manière de concevoir le travail. La maison de mode Hermès nous a aussi ouvert ses portes...
Bienvenue dans la communauté du changement !
L'équipe MOUVEMENT UP
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Emmanuelle Duez est la fondatrice de la société de conseil The Boson Project, qui accompagne les entreprises vers la résilience. Pour cette passionnée de leadership, il ne peut y avoir de performance économique durable sans prendre soin des hommes et des femmes qui y contribuent. Portrait d’une visionnaire humaniste qui réveille le monde économique.
Le programme Tapaj (travail alternatif payé à la journée), déployé en France, permet à des jeunes marginalisés, en situation d’addiction à des substances psychoactives, de s’en sortir par des activités quotidiennes, rémunérés dans la foulée. Un outil de réduction des risques sociaux et sanitaires, importé du Québec.
Symbole du luxe à la française, l’entreprise familiale a su s’adapter aux défis de notre temps, en s’appuyant sur des valeurs qui la guident depuis sa fondation en 1837. Plongée dans les secrets de fabrication d’une grande maison parvenue à mettre ses petites mains sur les cordons de la Bourse. Sans se trahir.
« J'ai pris la direction de l'usine d'enveloppes Pocheco, en 1997, avant de la racheter 10 ans plus tard. À la fin des années 90, l'entreprise fabrique 800 millions d'enveloppes et ce chiffre va même atteindre 1,8 milliards à l'horizon 2005. [..] Parallèlement à cette exigence de qualité, je m'interroge sur la manière de préserver les ressources naturelles que sont l'eau et le bois, et qui sont nécessaires à la fabrication de nos produits. »
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