COMMENTAIRE. Le groupe bernois, qui a vu trop grand pour son développement outre-Atlantique, se retrouve aujourd’hui contraint de revoir ses ambitions drastiquement à la baisse, faute de liquidités.
Les résultats en progression de la société immobilière sont dus à une revalorisation des biens. La forte demande devrait permettre de maintenir un taux de vacance faible.
La parahôtellerie a comptabilisé 3,4 millions de nuitées, soit une chute de 8,1% au deuxième trimestre par rapport à l’année précédente. Les hôtes indigènes ont représenté 68,3% de la demande.
Le nombre de places de travail occupées en Suisse a continué à progresser entre avril et fin juin sur un an à 4,3 millions équivalents plein-temps. Sur le front de l’offre, les postes à pourvoir ont nettement baissé (-16,2%).
Selon la société de placement, la forte diminution est due à une hausse des charges d’intérêts hypothécaires. Les recettes locatives ont en revanche augmenté.