Rien dans ce quâils nous ont raconté nâétait vrai ! Rien, absolument rien de ce quâils racontaient ne concernait la médecine ou la scienceâ¦
  Du haut de leur suffisance, ils disaient parler au nom de la science et de la médecine, alors que rien, absolument rien nâétait scientifique ou médical dans ce quâils racontaient.
  Rappelons que le rôle attribué par la science et la médecine à un vaccin est de vous empêcher dâattraper une maladie contagieuse mortelle quâaucun médicament connu ne peut soigner.
  Or, depuis des décennies, on sait que les personnes très âgées, obèses, diabétiques, etc., sont des personnes médicalement fragiles à lâespérance de vie limitée, que ce soit en hiver en présence dâinfections respiratoires, ou en été en présence de canicule. à ce titre, les infections respiratoires associées au « C19 » nâavaient médicalement rien dâexceptionnel.
  Elles nâavaient rien dâexceptionnel, dâautant que depuis 2002, on sait que lâhydroxychloroquine associée, ou non, à des antibiotiques, dont lâazithromycine, permet de soigner rapidement ces malades.
  Rappelons que ces connaissances scientifiques et médicales ont été confirmées par les médecins chinois qui Åuvraient à Wuhan, et que cela a été repris par le professeur Didier Raoult lors dâune conférence à lâIHU MI tenue le 25 février 2020.
  La science et la médecine disent : « lâhydroxychloroquine permet de traiter efficacement les pneumopathies associées aux coronavirus », les ministres de la Santé en interdisent la vente et la prescription et les médecins masqués se soumettentâ¦
 Ne nous lassons jamais de rappeler les si vrais, les si scientifiquement vrais, les si médicalement vrais propos tenus par Didier Raoult ce 25 février 2020 au sujet du « C19 » : « câest lâinfection respiratoire la plus facile à traiter de toutes ».
  Et il ajouta : « Ce nâest pas la peine de sâexciter et de promettre des « va x ins » dans 10 ans, il faut travailler [â¦] faites attention, il nây aura bientôt plus de chloroquine dans les pharmacies ».
  Comme je lâai déjà dit, sur ce dernier point, celui de la chloroquine, il avait également raison. Il avait raison, mais pas pour ce quâil croyait, car si on ne peut plus trouver de chloroquine et dâhydroxychloroquine dans les pharmacies, câest tout simplement par ce que la ministre « nazie époque 2020 », Agnès Buzyn, lâa fait classer « substance vénéneuse », et que son successeur, un autre « nazi époque 2020 », Olivier Véran, en a interdit la prescription médicale à usage humain.
  En résumé, les connaissances scientifiques et médicales plaçaient « lâhydroxychloroquine » comme un médicament efficace pour traiter le « C19 » en quelques heures, alors deux ministres de la santé en ont interdit la vente et la délivrance thérapeutiqueâ¦
  Et cela nâaurait rien à voir avec le « nazisme époque 2020 » ?
  Il nây avait aucune base scientifique dans les décisions médicales quâils nous ont imposéesâ¦
  Un jour de 2021, je me souviens avoir rétorqué à un médecin qui exigeait que je mette un masque alors que je me trouvais au chevet dâun ami médecin malade : « Il y a 167 études publiées qui démontrent que le port du masque ne protège de rien, en milieu hospitalier qui plus est ».
  Le jeune médecin, apparemment pas habitué à ce quâon discute ses ordres, me rétorqua : « Câest la loi, vous devez porter un masque ! »
  Très calmement, et après avoir salué mon ami, je lui demandai : « Excusez-moi docteur, mais quâest-ce que cela a à voir avec la médecine ? Je vous parle dâétudes scientifiques médicales publiées dans le monde entier, et vous me parlez de loi ? Vous êtes médecin ou gendarme ? »
  Je suis sorti de la chambre sans attendre quâil me réponde.
  Ils ont oublié quâils étaient médecins et ce quâest la médecineâ¦
  Rappelons-le, et nous le rappellerons encore souvent, alors que les boîtes à partouzes étaient ouvertes sans aucune restriction, aucune base scientifique et médicale ne peut justifier :
  - Des confinements de gens en bonne santé.
  - De consommer obligatoirement en étant assis dans les bars et dây interdire dây être debout.
  - Dâinterdire lâachat de chaussettes.
  - Dâinterdire dâêtre au bord de la mer sans porter de masque.
  - Dâinterdire de faire du ski, alors que les remontées mécaniques étaient ouvertes.
  - Dâobliger les élèves à faire du sport avec un masque sur le visage.
  - De porter un masque pour se protéger dâun virus.
  - De porter deux masques pour se protéger dâun virus.
  - Dâinfliger de véritables tortures psychiques aux enfants, avec port du masque obligatoire dès la maternelle, pour prétendument les protéger dâune maladie qui ne les concernait en rien.
  - De soigner les malades atteints de pneumopathies coronavirales avec du « Rem de si vir ».
  - Dâinterdire les médicaments efficaces et non dangereux, comme lâhydroxychloroquine ou lâivermectine.
  - Dâappeler « vaccins » des produits à ARNm qui ne protègent pas de lâinfection quâils sont censés prévenir et qui nâempêchent pas de transmettre cette infection.
  - Dâimposer des tests PCR, qui en aucun cas ne peuvent démontrer quâune personne est malade ou non, et qui ont rendu positif de lâhuile de moteur, de la confiture dâabricot, du poil de chèvre, etc.
  - De confondre être positif à un test non fiable et être malade et/ou contagieux.
  - De refuser de soigner les malades qui ont refusé de se faire injecter dans le corps un produit expérimental à ARNm, qui ne protège de rien et qui peut rendre gravement malade et tuer.
  - De refuser de soigner les malades qui ont refusé de se faire injecter dans le corps un produit expérimental à ARNm, mis au point et produit à des milliards de doses en moins de 9 mois, alors quâil fallait 14 années avant 2020 pour mettre sur le marché un nouveau médicament dont les « va x ins » font partie (temps historiquement stable).
  - Dâaccepter que des soignants positifs au « C19 » travaillent auprès des malades sous prétexte quâils ont accepté de se faire injecter des produits expérimentaux à ARNm, tout en interdisant aux soignants en pleine forme, non positifs au « C19 », de travailler.
  - Etc.
  Ce qui est indiscutable, câest que les médecins qui ont promu ces mesures dans leurs cabinets médicaux ou auprès de leurs patients dans les hôpitaux ne faisaient pas de médecine.
  Ils faisaient de la retape commerciale pour Pfizer & Co., ils ciraient les pompes des ministres de lâÃborgneur en chef des Gilets Jaunes, ils appliquaient sans réfléchir ce que décidait le gouvernement, ils répétaient, tels des perroquets, ce que leur disait le ministre de la Santé et les représentants Big Pharma dans les médias, mais ils ne faisaient pas de la médecine.
  Quant aux médecins de plateaux télé, leur titre de « docteur en médecine » est un maquillage qui leur permet de gagner beaucoup dâargent grâce à Big Pharma, mais ce nâest rien dâautre qu'un maquillage, qu'un habit trompeur de comédien.
  Les « médecins » qui se sont masqués et qui ont défendu ces mesures ne devraient-ils pas être interdits dâexercer la médecine ?
  Dans un monde normal, ces « médecins », qui en plus ont injecté dans le corps de leurs patients des produits expérimentaux à ARNm, dont ils ne savaient absolument rien, en se foutant du tiers comme du quart du libre consentement éclairé, auraient-ils encore le droit dâexercer la médecine ? Non. Assurément, non ! Et cela ne pourrait quâêtre très bénéfique pour la santé publique, croyez-moi.
  Avec les produits à ARNm, les médecins « crétins utiles » à Big Pharma payent parfois de leur vie, câest regrettable, mais comment sâen émouvoir lorsque lâon sait quâils sont responsables de dizaines de millions de maladies graves et de décès en Occident ?
  Câest le 14 octobre 2021 que la médecin italienne Federica Stroscio recevait sous les caméras et les appareils photo sa troisième dose de produit à ARNm dont elle nâa cessé, de son vivant, de faire la promotion en affirmant que ces produits étaient des vaccins, ce quâils ne sont pas, et quâils étaient sans danger, ce qui est totalement faux, et quâils vous protégeaient du « C19 », ce qui est également totalement faux.
  Elle est morte le 1er août 2023 dâune maladie incurable qui aurait été diagnostiquée en septembre 2022.
A-t-elle reçu dâautres injections après le 14 octobre 2021 ? On ne le sait pas.
Cette maladie a-t-elle été déclenchée par les injections successives de produits à ARNm dans son corps ? De lâavis de certains de ses proches, médecins anesthésistes, ce serait plus que probable, ce serait une certitude.
  Il paraîtrait que les décès par coïncidences et suicides explosent chez les médecins injectés et injecteurs au Canada.
  Puissent ces morts et celle de Federica Stroscio servir de leçon aux membres de cette profession, qui pensent que le titre de « docteur en médecine » leur octroie toute-puissance et invulnérabilité. Ce nâest vraiment pas le cas.
  Avec le « C19 », les années 2020, 2021 et 2022 auront été les années du dévoilement médical contemporain. Les années où comme au temps de Voltaire, on sâest aperçu que « Les médecins administrent des médicaments dont ils savent très peu, à des malades dont ils savent moins, pour guérir des maladies dont ils ne savent rien. »
  Et la mort de Frederica Stroscio est lâun des symboles du crétinisme médical occidental actuel.
  Et elle risque fortement d'être très bientôt rejointe par des milliers d'autres en Occident.
