On doit à l’incroyable et salutaire efficacité du « Department of Government Efficiency » (DOGE) (« Département de l’efficacité gouvernementale ») des révélations sur ce qui constituerait, aux États-Unis, le plus grand scandale de corruption et de détournement d’argent public de l’histoire du pays.
Scandale qui impliquerait la CIA, le « Department of Defense » (ministère de la Défense et des Armées), l’« United States Department of State » (ministère des Affaires étrangères) et des organisations privées comme la « Bill & Melinda Gates Foundation » (Fondation Bill-et-Melinda-Gates) ou encore la « Soros Foundation » (Fondation Soros).
Dirigé par Elon Musk et son équipe, Vivek Ramaswamy ayant quitté ce projet avant même qu’il n’ait commencé ses premières opérations anticorruption (il viserait désormais, bien que cela ne soit pas officiel, le poste de gouverneur de l’Ohio), le DOGE semble être conçu et organisé comme la parfaite machine anticorruption.
« Une machine de guerre… »
Une machine de guerre à laquelle rien ne pourrait résister : ni le puissant « U.S. Department of the Treasury » (Département du Trésor des États-Unis), qui ordonne tous les paiements faits aux États-Unis et dans le reste du monde au nom de l’Oncle Sam, ni le « Department of Defense » (dont le siège est au Pentagone), ni l’« United States Department of State » (ministère des Affaires étrangères), ni la CIA, ni le FBI, et encore moins le Parti démocrate, la « Bill & Melinda Gates Foundation » (Fondation Bill-et-Melinda-Gates) ou encore la « Soros Foundation » (Fondation Soros).
Le wokisme international financé par l’USAID en détournant des milliards de dollars prélevés sur les revenus des contribuables américains
Grâce aux toutes dernières révélations faites par le DOGE, on apprend que l’USAID utilise l’argent des contribuables américains pour créer et diffuser la propagande politique des principes « woke » (« Diversité – Équité – Inclusion »), qui masquent l’Agenda 2030 – c’est-à-dire l’agenda géopolitique des milliardaires adeptes de la dépopulation de la planète.
On est loin, très loin même, de l’aide humanitaire, au développement, à la démocratie, à la croissance économique, à l’agriculture et à la santé en faveur des pays en développement – à moins de considérer que le Royaume-Uni, l’Allemagne, ou encore la France, dont des organismes, parfois sous la coupe de leurs gouvernements, comme l’AFP en France (Agence France-Presse), auraient bénéficié des milliards déversés par l’USAID pour diffuser la propagande woke.
Rappel des objectifs du wokisme :
- Affirmer qu’il n’y a pas que deux genres dans l’espèce humaine. - Affirmer qu’un homme, né homme, peut devenir une femme comme et quand bon lui semble, et inversement. - Affirmer que les Blancs sont des êtres nuisibles à l’humanité. - Supprimer toutes les références historiques des nations européennes → (aux nations européennes). - Promouvoir la sexualité précoce et l’homosexualité dès la maternelle. - Légaliser la pédophilie. - Promouvoir la théorie du réchauffement climatique d’origine humaine. - Promouvoir l’égalité des genres autres qu’homme et femme, les droits LGBTQ+, l’inclusion ethnique et religieuse. - Imposer des normes « inclusives » dans l’éducation, la santé et la gouvernance des États et des entreprises.
Déstabiliser les pays occidentaux en contrôlant les élections grâce à des machines à voter truquées, et en les annulant lorsque cela ne suffit pas (ex. : Roumanie), réduire en esclavage leurs populations – et pas seulement…
Si l’USAID finance, dans les pays occidentaux, le contrôle des élections via des machines à voter, voire leur annulation (Roumanie), elle finance également en Europe, y compris la France, la propagande woke diffusée par des médias subventionnés et des ONG locales ou internationales.
L’Europe et l’Occident ne sont pas ses seuls terrains de jeu : cette succursale de la CIA intervient aussi, avec les mêmes objectifs, en Amérique du Sud, en Afrique, au Moyen-Orient et en Asie.
À ce sujet, citons les actions connues et financées par l’USAID :
Afghanistan et Iran : Programme « Gender Equality and Women’s Empowerment » (« Égalité des genres et autonomisation des femmes »), doté d’un budget annuel de plus de 500 millions de dollars pour la « formation » de militantes féministes afin qu’elles « résistent à l’oppression ». Pakistan : Programme de création d’écoles « inclusives ». Amérique latine : En partenariat avec des ONG comme « Planned Parenthood », l’USAID a financé des campagnes en faveur de la légalisation de l’avortement (propagande toujours financée dans les pays chrétiens, jamais dans les pays musulmans). Myanmar et Chine : Programme « Inclusive Development for Marginalized Communities » (« Développement inclusif pour les communautés marginalisées »), dont les cibles politiques étaient les minorités ethniques (Rohingyas, Ouïghours), les groupes LGBTQ+ et les personnes handicapées. Ouganda : L’USAID a financé des associations LGBTQ+ à hauteur de 10 millions de dollars en 2023, malgré une loi criminalisant l’homosexualité, avec pour objectif officiel « protéger les droits humains ». Afrique : Programme « Anti-Racism & Equity in Global Health » (« Antiracisme et équité dans la santé mondiale »). Ce programme, doté d’un budget de 200 millions de dollars annuels, a financé entre 2021 et 2024 la « formation » de soignants pour promouvoir la vaccination généralisée de la population, privilégiant celle des enfants et particulièrement des filles. Mené en collaboration avec « Partners in Health » – organisation également financée par Bill Gates et travaillant avec les géants pharmaceutiques (Bristol-Myers Squibb, Takeda Pharmaceutical Company Limited, Merck, Johnson & Johnson, Pfizer) –, il s’inscrit dans une logique de partenariats opaques.
Le contrôle idéologique des fonctionnaires de l’USAID
L’USAID ne s’est pas contentée de financer la propagande en faveur de l’Agenda 2030, à la sauce woke, dans les pays étrangers. En interne, ses cadres veillaient au contrôle idéologique permanent de ses fonctionnaires et partenaires.
Dans le cadre du programme « Diversité – Équité – Inclusion », les fonctionnaires et partenaires de l’USAID devaient suivre des formations obligatoires sur des thèmes comme « les privilèges blancs » ou « la déconstruction des biais coloniaux ».
Politique des quotas ethniques et partenariats opaques
Avec l’arrivée de Biden à la Maison Blanche en 2021, 40 % des fonds distribués par l’USAID devaient aller à des ONG dirigées par des « personnes de couleur » ou des « groupes marginalisés », quitte à écarter des acteurs locaux pourtant compétents.
Ajoutons au tableau que l’USAID était (est toujours ?) en partenariat avec des géants comme Google ou Meta pour « numériser l’inclusion », collectant des données sensibles sous prétexte d’équité.
En 2023, l’USAID aurait alloué 5 milliards de dollars à des projets DEI, sans audit indépendant sur leur impact réel – impact que l’on a pu mesurer lors de tentatives de révolutions colorées (Euro Maïdan en 2014, Iran en 2022, Nigeria en 2023, Géorgie en 2024).
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