Madame, Monsieur, chère amie, cher ami,
Plusieurs appels sont lancés sur les réseaux sociaux afin d'aller manifester à Berlin contre un projet de rendre obligatoires certaines vaccinations en Allemagne.
Rappelons qu'aucune vaccination n'est encore obligatoire dans le pays où furent condamnés, à Nuremberg, les médecins criminels (qui furent pendus pour 9 d'entre eux), car ils considéraient leurs semblables comme de simples objets « d'expérimentations scientifiques humaines » réalisées pour les bienfaits de l'humanité, naturellement.
Une « expérimentation scientifique humaine », n'est-ce pas ce qu'a été la vaccination de masse, forcée, des 850 000 enfants philippins avec le vaccin français de Sanofi-Pasteur qui provoqua 150 morts d'enfants (décompte arrêté au mois de mars 2018) ? L'expérimentation de ce vaccin mortel avait pour but de généraliser sa commercialisation en cas de succès, c'est-à-dire au cas où les effets secondaires auraient pu être camouflés au nom du rapport « bénéfices / risques ».
Au fait, pourquoi le président de la République d'alors, François Hollande, n'a-t-il décidé que ce « vaccin » français serait expérimenté, non pas aux Philippines, mais en Guyane ou aux Antilles françaises ? La question est : est-ce que les coupables français de cette « expérimentation scientifique humaine », François Hollande en tête, seront jugés comme l'ont été ceux de l'Allemagne nazie et comme le seront les responsables philippins qui ont décidés de cette vaccination de masse et forcée d'enfants ? Aller manifester à Berlin, quelle belle idée. Nous avons des meilleures ! Celle de manifester partout où c'est possible en France et d'aller convaincre les gilets jaunes que la vaccination obligatoire est un véritable crime. Expliquer, expliquer encore, que la vaccination ne protège de rien, mais qu'elle peut détruire la vie de nombreuses familles. C'est par exemple le cas avec le redoutable Gardasil® à cause duquel des jeunes filles voient leur existence brisée à jamais (et de la sexualité pour elles, il n'en sera plus jamais question). C'est encore lorsqu'elle provoque des inflammations neurologiques qui débouchent sur un autisme définitif, ou encore la mort, comme avec le ROR, d'ailleurs interdit au Japon pour ces raisons. Pour mémoire : En ce qui nous concerne, nous n'avons pas hésité à manifester parmi les gilets jaunes à Paris et à subir les gaz lacrymogènes de la police.
Pour voir notre participation à une manifestation parmi les gilets jaunes et les gaz lacrymogènes : cliquez « ici ».
Il faut expliquer en quoi la liberté thérapeutique et le libre consentement éclairé font partie de nos droits fondamentaux d'être humain et que ce n'est pas à l'État (structure politique, administrative et sociale totalement corrompue en matière de santé en France) et à ses fonctionnaires de décider pour nous, ce qui est bon ou non pour notre santé ! C'est à nous de décider comment nous voulons nous soigner lorsque nous sommes malades. Si nous préférons avoir recourt à l'homéopathie, à la naturopathie, à la méditation, au jeune en buvant de l'eau pure, ou à la médecine chinoise, cela ne regarde que nous, non ?
Le temps des épidémies est révolu, et la vaccination n'y est pour rien ! La vaccination n'est qu'une escroquerie commerciale marquetée du sceau des fausses sciences promues par les actionnaires de l'industrie pharmaceutique, comme ont été promus hier, avec de fausses sciences également, le tabac, l'alcool, l'amiante, le Médiator®, le Vioxx®, etc.
Ce n'est pas au président de la République, aux ministres ou aux députés et sénateurs qu'il faut écrire, mais à nos collègues de travail, à nos voisins de palier, à nos concitoyens !
Nous ne pourrons pas faire entendre nos droits et la vérité au sujet de la vaccination obligatoire, si nous restons cloisonnés du reste de la société. Il faut aller vers nos concitoyens, c'est avec nos voisins de palier qu'il faut parler de la vaccination obligatoire et de ses dangers. C'est avec eux qu'il faut engager un dialogue, car sans eux, autant renoncer à notre combat et aller cultiver son jardin sous des cieux plus cléments. Notre initiative citoyenne à la rentrée sera-t-elle soutenue par ceux qui appellent à aller manifester à Berlin ?
À la rentrée, nous allons diffuser un ensemble de documents qui permettront, à qui le voudra, d'organiser des petites réunions de collègues, de voisins, ou d'amis afin de parler simplement, et scientifiquement, de la vaccination, de nos droits fondamentaux d'être humain, de la liberté thérapeutique et du libre consentement éclairé.
Nos faux amis.
J'ai reçu beaucoup de courriels suite ma dernière lettre. Je n'ai pas pu répondre à tous, j'en suis désolé.
Certains des courriels insistaient sur la nécessité de l'union, ce à quoi nous sommes absolument d'accord, reste à savoir sur quoi ? S'unir pour aller manifester à Berlin ou écrire au président de la République ? Nous trouvons cela totalement inutile, que chacun fasse ce que bon lui semble à ce sujet.
Quelques courriels reprennent ma lettre du 29 juillet dernier au sujet de nos « faux amis ». L'auteur de « La médecine chinoise, médecine de l'avenir » en parle dans son ouvrage. Avec son autorisation, je vous en livre les pages concernées que vous pourrez lire juste après mes amicales salutations. Bien amicalement. Pierre Lefevre. Extraits du livre, La médecine chinoise, médecine de l'avenir, publié par Médecine & Pharmacopée Chinoises France. Rappel : Ce livre si utile à notre santé sera en vente au public en octobre 2019 au prix de 29,99 euros. Il est possible de le commander dès aujourd'hui au prix de 14,99 euros, soit avec 15 euros d'économies. À ne pas rater. « Financées par l'industrie pharmaceutique, les pseudosciences ont pris le contrôle de la médecine occidentale. Protégées par l'État et ses fonctionnaires, ces pseudosciences ont également leurs revues, comme le « Quotidien du médecin », le « Quotidien du pharmacien » et, maintenant, elles ont même un fanzine : Dr. Michel Cymes Goodbetter ! Elles ont également leurs gourous. Parmi eux, le professeur Henri Joyeux et le docteur Cymes en sont les dignes représentants. Le premier par ce qu'il défend la vaccination obligatoire contre la diphtérie, le tétanos et la polio[1] sans trop savoir pourquoi. À moins que cela ne soit pour affirmer qu'il n'est pas antivaccin et espérer ainsi s'attirer les sympathies des autorités afin qu'il ne soit pas radié de l'Ordre des médecins. L'histoire dramatique de la supercherie commerciale du vaccin contre la polio mériterait plus d'un livre à elle seule. Elle est toutefois parfaitement résumée par un certain docteur Jean Lartigue, qui était directeur départemental de la Santé d'Alger et qui publia ses recommandations dans le Bulletin d'information du syndicat des médecins de la Santé d'Algérie[2] « ... le gouvernement, s'il veut obtenir un résultat, pourrait utiliser à cet effet la psychologie des foules et non un respect des lois qui n'existe plus. Tous les cinq ans, à l'aide d'une campagne de presse savamment orchestrée, les quelques cas sporadiques que nous observons couramment seraient promus au rang d'une menace d'épidémie. Les quotidiens, les hebdomadaires illustrés feraient paraître des articles dans le genre de ceux que nous avons lus récemment ; la psychose, l'esprit grégaire feraient le reste et le nombre de vaccinations serait plus important que celui qu'un texte de loi, de décret ou d'arrêté préfectoral n'aurait jamais espéré atteindre. » C'est une histoire dramatique, car les vaccins eux-mêmes ont transmis la polio. Par exemple, aux États-Unis, à partir de 1955[3] les vaccins inoculés à près d'1,8 million enfants contaminèrent 220 000 d'entre eux, mais également 100 000 autres enfants qui étaient en contact avec eux. 70 000 victimes du vaccin furent atteintes d'une atonie musculaire, il y eut également de recensé 164 paralysies et 11 décès. Dans l'excellent Vaccinations, les vérités indésirables[4], le regretté Michel Georget aborde également la question du scandale de la vaccination contre la polio, en particulier au sujet de la contamination d'un vaccin avec 26 virus simiens[5]. En ce qui concerne les vaccins contre le tétanos, il suffit de préciser que le tétanos n'est pas contagieux et que l'infection n'est pas immunisante, donc que le vaccin ne peut pas l'être non plus, pour comprendre l'absolue antiscience qui gouverne cette vaccination. Pour le vaccin contre la diphtérie, je me contenterai de rapporter les propos que le professeur Even m'a tenus à son sujet à Paris en 2017 « J'ai 85 ans, j'ai commencé mes études de médecine en 1952 et je n'ai jamais vu un cas de diphtérie, pas plus moi que mes camarades étudiants et médecins, cette vaccination, on se demande vraiment à quoi, ou à qui, elle sert. » Quant au docteur Cymes, le docteur préféré des laboratoires pharmaceutiques, animateur de télévision, acteur de cinéma, chroniqueur mondain, « auteur », son nom apparaît sur les couvertures d'une trentaine d'ouvrages dont, en 2015, celle du livre Hippocrate aux enfers, les médecins des camps de la mort, publié chez Stock et qui sera critiqué pour son manque de sérieux et de rigueur. Il est actuellement la tête de gondole du magazine de « santé » Dr. Michel Cymes Goodbetter !
Contrairement au professeur Joyeux qui joue dans la cour des gourous d'amphithéâtres poussiéreux, le docteur Cymes se la joue à l'américaine, gourou des cocktails mondains entouré de mannequins. Sa position sur la vaccination est simple : ils ont sauvé des millions de vies dans le monde, un point c'est tout. Enfin, pas tout à fait, ceux qui ne sont pas vaccinés sont quasiment des criminels[6]. Comme c'est souvent le cas avec les gourous des pseudosciences, ils n'aiment pas la concurrence de leurs confrères, n'essayez donc pas de faire dire du bien de l'un à l'autre. Des pseudosciences médicales souvent mortelles. Dans ce registre, nous avons eu droit à la « science » qui dédouanait l'amiante et la « science » qui était favorable au tabac. Il y a encore la « science » des redoutables statines, qui semble toutefois arriver en fin de vie. Mais que les vendeurs de mort de s'inquiètent pas trop, il émerge actuellement la « science » du cannabis et celle des « vaccins », pourtant très vieillotte, est réactivée avec la scandaleuse obligation vaccinale censés nous protéger contre 11 maladies avec 76 vaccins à injecter dans le corps de nourrissons et d'enfants dès l'âge de 8 semaines. Il est dramatique de constater que l'industrie pharmaceutique contrôle nos libertés, notre santé, parfois nos vies, et qu'elle a pris dans de nombreux domaines le pouvoir. » ***** L'ONG Médecine & Pharmacopée Chinoises France nous apporte son soutien matériel et technique depuis le début de notre combat pour la fin de l'obligation vaccinale et la liberté thérapeutique. Tous les bénéfices du livre « La médecine chinoise, médecine de l'avenir » seront reversés à cette ONG. En plus de nous permettre de comprendre pourquoi il est aujourd'hui vital de s'intéresser de près à la médecine chinoise et de nous aider à rester en bonne forme, ou à la retrouver, commander ce livre est une manière élégante d'apporter à notre tour notre soutien à cette ONG. Jusqu'au 31 août, le prix de ce livre, indispensable à lire pour ceux qui s'intéressent à leur santé, est de 14,99 euros à la place de 29,99 euros (soit 15 euros d'économies). Pour acheter le livre, suivez le lien « https://www.medecine-et-pharmacopee-chinoises-france.org/dons-et-achats/ « « Je commande le livre et bénéficie de 15 euros de réduction ». ***** Dons du 7 au 12 août 2019 Claude L. : Nous sommes entrés en dictature et votre action devient indispensable. Tous les dons, même ceux de 5 ou 10 euros, sont des aides précieuses pour nous. Nous surlignons les plus importants pour les mettre en valeur et saluer les efforts financiers de leurs donateurs. Merci à tous, vous nous permettez de continuer car sans votre soutien financier, ce serait chose impossible. Florent COLLONGE a fait un don de 200 euros. Claude L. a fait un don de 10 euros « Nous sommes entrés en dictature et votre action devient indispensable.». Dominique V. a fait un don de 20 euros. Isabelle E. a fait un don de 20 euros « Le manque de solidarité amènera notre destruction ». Dons du 2 au 6 août 2019 Irène Burlot a fait un don de 10 euros. Gerard Badin a fait un don de 50 euros « Je suis totalement d'accord avec vous et merci pour ce que vous faites ». Aline THERINCA a fait un don de 20 euros. Germaine F. a fait un don de 20 euros. Suzon Lajarthe a fait un don de 30 euros. Monique Cornet a fait un don de 20 euros. Marie C. a fait un don de 10 euros « Avec tout mon soutien ! ». Dons du 29 juillet 2019 au 1er août 2019 Bernard Faive a fait un don de 10 euros. Catherine Favre a fait un don de 27 euros « Pas aimé le 10 % ». L. C. a fait un don de 10 euros « Don de petit colibri mais de tout coeur avec votre action !!! ». Christian Bonnaud a fait un don de 30 euros. Pierre Paccoud a fait un don de 50 euros « Je soutiens sans réserve tous ceux qui défendent les libertés individuelles, notamment en termes de choix de santé. J'ai par contre beaucoup de réserves vis à vis de la société Gofundme qui, par les 13 mouchards qu'elle place sur ce site, et qu'elle oblige à accepter si on veut donner, laisse les Gafams récupérer les données personnelles de tous les donateurs. Qui sait même si elle ne les marchandises pas elle-même d'une façon ou d'une autre ? Les logiciels ne sont pas open source, tout est opaque. Dommage. ». Bérengère COISSIEU a fait un don de 5 euros « J'ai fait un don car j'estime que l'on devrait avoir le choix des vaccins que l'on veut infliger à son enfant ». PLAY PLAY Sidney a fait un don de 10 euros « Je refuse la vaccination obligatoire et soutien cette association dans toutes ces actions ! ». O B a fait un don de 15 euros. JOEL DELHORME a fait un don de 30 euros. Florence Perrin a fait un don de 50 euros. Irène Burlot a fait un don de 10 euros « j'aime votre lucidité à propos de notre "démocratie" et votre détermination à combattre les lois criminelles. ». Dons du 28 juillet 2019 Françoise Schmit a fait un don de 50 euros. « Le pourboire de 10% me semble trop cher. Pourquoi une nouvelle association, ne vaudrait-il pas mieux associer toutes les associations pour la liberté vaccinale ? ». Michel L. a fait un don de 10 euros. Camille Boucher a fait un don de 10 . Patrice Maurer a fait un don de 5 euros. « Je soutiens votre combat, je suis moi-même victime d'un vaccin. » Andrea Caussade a fait un don de 20 euros. Jean-Pierre GENESTIER a fait un don de 200 euros. Erik Lefèvre a fait un don de 30 euros. « Pasteur était un arriviste et un imposteur, qui détourna les travaux d'Antoine Béchamp démontrant selon la Doctrine de l'Ecole de Médecine de Montpellier antérieure à la Révolution que "Le microbe n'est rien le terrain est tout". Denis Aubier a fait un don de 30 euros. André Ferruit a fait un don de 50 euros. « Il est impensable d'obliger les très jeunes enfants à se faire vacciner. « Chacun doit être responsable de sa santé et ne pas être obligé de s'injecter tout un cocktail de produits chimiques ». Marie Bartoli a fait un don de 20 euros. Maryse ROUZÈS a fait un don de 87 euros. « Je ne partage pas le génocide d'enfants comme d'adultes d'ailleurs ! ». Marie-Françoise Mollard a fait un don de 30 euros. Micheline C. a fait un don de 50 euros. « L'inquisition avance ! ». Marie-Annick MACKE a fait un don de 50 euros. « La liberté vaccinale est un droit primordial. Nul n'a le droit d'introduire de façon forcée des substances dans le corps d'autrui. Il appartient à chacun de décider comment il veut prendre en main sa santé, comment il veut se soigner, comment il veut vivre et mourir. Il serait temps de réviser ces postulats vieux de plus d'un siècle à la lumière des connaissances actuelles en immunologie, en épigénétique, en médecine quantique. Mais pour cela, il faudrait qu'il n'y ait plus de corruption, de lobbying, de manipulation ; bref que l'homme soit enfin sage, honnête et altruiste. Ce sera pour quand ? Bon courage. Et si je peux me permettre, l'union faisant la force, unissez-vous avec les autres groupements qui partagent les mêmes aspirations, tels que ALIS, AIMSIB, etc. Avec mes compliments. ». Jacques Lubac a fait un don de 20 euros. « J'ai 70 ans je n'ai jamais eu un seul vaccin et un seul médicament chimique ni d'antidouleur. La vaccination généralisée et obligatoire est une folie, un vrai crime contre l'humanité, dans peu de temps l'immunité individuelle aura disparue. ». Patrice PICARD a fait un don de 20 euros. « Pour rétablir la vérité sur la vaccination ». Marion Lanarre a fait un don de 20 euros. ***** « L'affaire du vaccin français contre la dengue, inutile et tueur d'enfants, vendu par Sanofi-Pasteur (encore eux) aux philippins.
Le « vaccin » contre la dengue semble avoir été pour François Hollande, président de la République française entre 2012 et 2017, ce que le « vaccin » contre la fausse pandémie du H1N1 a été pour Nicolas Sarkozy et Roselyne Bachelot.
En plus grave, toutefois, car il ne s'agit pas avec ce poison de cas de narcolepsies ou de syndrome de Guillain-Barré, mais de la mort de 150[1] enfants vaccinés de force.
L'ex-président de la République s'est rendu aux Philippines les 26 et 27 février 2015 pour officiellement parler du climat. Toutefois, des responsables de Sanofi-Pasteur l'accompagnaient afin de finaliser la vente d'un « vaccin » contre la dengue en vue d'une vaccination à la socialiste des enfants philippins, c'est-à-dire d'une vaccination de masse et forcée. Cette « vaccination », et les transactions financières qu'elle a initiées, a été encouragée par François Hollande lui-même auprès des officiels philippins.
En mars 2019 le département philippin de la Justice engagea des poursuites contre six responsables de Sanofi-Pasteur pour « négligence grave ayant entraîné la mort ». Le département philippin de la Justice estime que « les membres du conseil d'administration de Sanofi-Pasteur ont activement fait la promotion du produit en dépit de la connaissance des risques associés au vaccin [ ] et à son utilisation » ou, encore, que « par la suite, quand des décès certains et d'autres urgences médicales sont apparus, ils n'ont pas porté assistance aux victimes et à leurs familles », avant de conclure : « C'est une infraction par négligence. » qui est passible de six ans d'emprisonnement aux Philippines. Quatorze responsables du ministère philippin de la Santé, dont l'ancienne ministre Janette Garin, sont également poursuivis.
30 fois plus de décès d'enfants avec le « vaccin » de Sanofi-Pasteur que sans lui !
Rappelons que selon l'OMS[2], il y 3,9 milliards de personnes qui sont exposées au virus de la dengue dans le monde avec 20 000 décès, soit un taux de mortalité de 0,00051 %. On dénombre 390 millions de cas d'infection par an, soit 10 % des personnes exposées au virus et si l'on ramène le nombre de décès à ces 390 millions de personnes infectées, on obtient un taux de mortalité de 0,0051 %. Aux Philippines, 875 000 enfants ont été vaccinés de force avec le « vaccin » mortel de Sanofi-Pasteur et avec le chiffre provisoire de 150 enfants décédés des suites du « vaccin », nous arrivons à un taux de mortalité provisoire de 0,01 %.
Autre manière de nous rendre compte de l'incidence mortelle de cette « vaccination » forcée. Alors que d'après l'OMS elle-même, si, et seulement si la totalité des 850 000 enfants avaient été infectés du virus de la dengue sans être vaccinés (ce qui n'est jamais le cas en réalité), cela aurait provoqué 45 décès chez les enfants. 45 décès sans les vaccins et 150 en quelques mois avec les vaccins de Sanofi-Pasteur...
Toutefois, pour reprendre les données de l'OMS, si seuls 10% de ces enfants risquaient d'être infectés, la dengue n'aurait provoqué que 4,5 décès chez les enfants non vaccinés à la place des 150 qui sont morts faute d'avoir été vaccinés.
L'OMS multiplie par 7 800 le risque mortel réel lié au virus de la dengue.
Le subterfuge macabre de l'OMS pour imposer un « vaccin » contre la dengue au bénéfice de l'industrie pharmaceutique mérite qu'on s'y arrête. Si l'on reprend ses propres chiffres, sur 3,9 milliards de personnes qui risquent d'être infectées par le virus de la dengue, seuls 10 % d'entre elles le sont, soit 390 millions de personnes pour 20 000 décès directement liés à cette infection. Si l'on rapporte le nombre de décès aux personnes susceptibles d'être infectées, nous arrivons 0,00051 % de risque de décès. Ramené aux 390 millions de personnes réellement infectées d'après l'OMS, ce pourcentage passe à 0,0051 %. Qu'il s'agisse de 0,00051 % ou 0,0051 % de risque de décès, ces pourcentages sont manifestement trop peu élevés pour affoler qui que ce soit, ou pour nous faire considérer que nous sommes face à un problème de santé publique réel.
L'OMS l'a bien compris et elle a trouvé un subterfuge afin de nous tromper : « On estime que, chaque année, 500 000 personnes atteintes de dengue sévère, dont une très forte proportion d'enfants, nécessitent une hospitalisation. Environ 2,5% d'entre eux en meurent. »
Naturellement, on ne sait pas à quoi correspondent ces 500 000 cas de dengue sévères, ni comment, ces cas sont comptabilisés et encore moins quelle est est la proportion exacte d'enfants qu'il y a parmi ces victimes. L'important pour l'OMS et les laboratoires pharmaceutiques est que l'on passe de 0,00051 % de risque de décès à 2,5 %, soit un risque multiplié par 7800 par rapport à ce qu'il est réellement.
Incroyable, l'OMS, et maintenant Sanofi-Pasteur, recommandent d'injecter ce vaccin dans le corps de ceux qui ont déjà eu la dengue, c'est-à-dire qui en sont immunisés !
En immunologie, le principe de la vaccination repose sur l'anticipation : permettre au corps de produire par anticipation des anticorps qui vont détruire le virus ou la bactérie à l'origine d'une maladie dont on cherche à préserver le vacciné.
Ce principe repose sur l'observation du processus morbide de certaines maladies infectieuses : avec certains microbes, la production d'anticorps qui vont les détruire n'est pas assez rapide pour enrayer la maladie. On considère que lorsque notre système immunitaire n'a jamais été en contact avec ces microbes, qu'il n'a pas en mémoire les informations nécessaires à cette production. En revanche, lorsque nous avons déjà été en contact avec le microbe concerné, par exemple avec le virus de la dengue, notre système immunitaire possède toutes les informations nécessaires à cette production rapide d'anticorps. On dit alors que nous sommes immunisés.
Donc, selon le principe vaccinal, la vaccination doit s'adresser aux individus qui ne sont pas immunisés, à ceux qui n'ont jamais été en contact avec le virus ou la bactérie susceptibles de déclencher un processus physiopathologique (une maladie) grave. Elle ne concerne pas les individus qui ont déjà été en contact avec le virus ou la bactérie susceptibles de déclencher le processus physiopathologique (maladie) que l'on veut enrayer : leur corps sait se défendre et la substance vaccinale[3] ne ferait que de déclencher artificiellement un processus infectieux, c'est-à-dire qu'on déclencherait volontairement maladie.
Avec les vaccins contre la dengue, l'OMS a constaté qu'ils pouvaient être mortels chez les individus non immunisés, c'est-à-dire chez ceux qui n'ont jamais été en contact avec le virus de la dengue. Fort de ce constat, en toute bonne logique, l'OMS aurait dû recommander l'abandon pur et simple de cette nouvelle vaccination hautement mortelle.
Eh bien non, cela contrarierait trop Bill Gates[4] qui possède un bureau à son nom au siège de l'OMS à Genève, cela contrarierait trop ses amis actionnaires des laboratoires pharmaceutiques et leurs obligés corrompus. Ainsi, plutôt que cela, comble de l'absurdité vaccinale, elle recommande de vacciner, et uniquement ceux-là, les individus qui sont immunisés, c'est-à-dire qui ont déjà été en contact avec le virus.
À cela, certains propagandistes de l'industrie pharmaceutique vaccinale, répondent que ce n'est pas parce qu'on a été en contact naturellement avec un virus que l'on est immunisé. Là encore, il s'agit d'un subterfuge qui consiste à confondre processus physiopathologique et immunité.
Effectivement, nous pouvons être victimes de grippe plusieurs fois dans votre vie. Cela signifie-t-il pour autant que notre système immunitaire n'a pas, ou n'a plus, les informations nécessaires à la production d'anticorps censés lutter contre le virus ? Non, absolument pas, et dans ce sens nous sommes bien toujours « immunisés ».
Alors, pourquoi contactons-nous une nouvelle fois la grippe si nous sommes « immunisés » ? Tout simplement, parce que notre corps et notre système immunitaire peuvent-être défaillants à cause, par exemple, d'une mauvaise alimentation, d'une maladie chronique, comme le diabète de type 2, le cancer, l'insuffisance rénale, et, ou cardiaque, ou encore de sa lutte contre d'autres virus ou bactéries.
Il faut bien comprendre que mourir en étant grippé n'est pas mourir de la grippe ou à cause de la grippe, tout comme mourir avec la rougeole, n'est pas mourir de la rougeole ou à cause de la rougeole.
Lorsque ce n'est pas de vieillesse et de manière naturelle[5], on meut généralement parce que notre corps et son système immunitaire sont défaillants pour une multitude de raisons, certainement pas uniquement à cause de la présence en son sein d'un seul et unique virus ou d'une seule et unique bactérie.
Alors, certes, les virus de la grippe ou de la rougeole peuvent être présents dans notre organisme au moment de notre mort, mais ils ne sont pas les seuls : « Dans un mètre cube d'air, on trouve entre 1,7 et 40 millions de virus ! Pour les bactéries, la fourchette est plus basse : entre 860 000 et 11 millions d'individus par mètre cube[6]. »
Par ailleurs, selon la très sérieuse étude menée par des Sud-Coréens et publiée dans le Journal of Virology[7], 2 millions de virus peuvent pénétrer par inhalation dans nos poumons lors d'un footing, et « seulement » entre 17 000 et 400 000 en temps normal (ce qui représente au minimum 105 milliards de virus tous les ans !). Inutile de préciser qu'il ne s'agit pas d'un seul et unique virus ou d'une seule et unique bactérie, il s'agit de membres de tous les virus et bactéries présents dans notre environnement lorsque nous respirons. »
[1] D'après une association de victimes de Manille, décompte arrêté en mars 2018. [2] « https://www.who.int/fr/news-room/fact-sheets/detail/dengue-and-severe-dengue ». [3] Il a été dénombré jusqu'à 322 substances toxiques et neurotoxiques dans certains « vaccins » analysés aux USA, dont du formol, de la mort aux rats, de l'aluminium (pourtant interdit dans les déodorants corporels et dans ustensiles de cuisine des restaurants à cause de sa très grande toxicité). [4] Bill Gates, via sa fondation Bill et Melinda Gates a offerte à l'OMS 250 millions de dollars U.S. Il s'est ainsi acheter le droit d'être pour l'OMS un « expert » en vaccinologie. On ne lui connaît pourtant aucune formation scientifique, médicale ou en en physiologie humaine. [5] Il va de soi que l'on peut également mourir de manière accidentelle ou criminelle. [6] « http://passeurdesciences.blog.lemonde.fr/2012/10/10/combien-de-virus-inhalez-vous-chaque-minute/ ». [7] « https://jvi.asm.org/content/86/15/8221 ». *****
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