Avant d’aborder les puissants effets anticancer de l’ivermectine, nous avons vu dans mon précédent article comment l’ivermectine permet de tuer les parasites qui prennent notre organisme pour un hôtel-restaurant.
Voyons maintenant une étude également publiée en 2012, et qui attribue à l’ivermectine le pouvoir de stopper les inflammations virales dues aux « flavivirus à ARN », en s’attaquant aux virus et à leur réplication.
Étude publiée le 25 avril 2012 : « De nouvelles perspectives pour un ancien médicament »
Le titre de l’étude est : « Ivermectin is a potent inhibitor of flavivirus replication specifically targeting NS3 helicase activity: new prospects for an old drug » (« L'ivermectine est un puissant inhibiteur de la réplication des flavivirus ciblant spécifiquement l'activité de l'hélicase NS3 : de nouvelles perspectives pour un ancien médicament »
Trouver des antiviraux efficaces
En préambule à leur publication, les auteurs (Eloise Mastrangelo, Margherita Pezzullo, Tine De Burghgraeve, Suzanne Kaptein, Boris Pastorino, Kai Dallmeier, Xavier de Lamballerie, Johan Neyts, Alicia M. Hanson, David N. Frick, Martino Bolognesi, et Mario Milani) rappellent l’urgence de trouver des antiviraux efficaces pour lutter contre les infections à « flavivirus à ARN » que sont la fièvre jaune, la dengue, l’infection au virus Zika et l’encéphalite japonaise.
Les flavivirus à ARN appartiennent à la famille des Flaviviridae dont le génome est composé d’ARN. Ils seraient principalement transmis aux humains et aux animaux par les piqûres de tiques ou de moustiques du genre « Aedes aegypti ».
La fièvre jaune associée au virus du même nom
La maladie peut provoquer une légère affection sans réelle gravité comme un une fièvre élevée, des maux de tête, des douleurs musculaires, des nausées, des vomissements et, dans les cas graves, une insuffisance hépatique et rénale, ainsi que des saignements internes pouvant conduire à une jaunisse (d'où le nom de la maladie) et parfois à la mort.
L’infection à virus Zika
Avec le virus Zika, on retrouve les mêmes signes pathologiques qu’avec le virus de la fièvre jaune, mais auxquels s’ajoutent des risques d’anomalies congénitales telles que la microcéphalie chez les nourrissons. Ce virus serait principalement transmis par les piqûres de moustiques du genre « Aedes », mais il pourrait également se propager de la mère à l'enfant pendant la grossesse, par contact sexuel et par transfusion sanguine.
La dengue et 4 virus de la famille des Flaviviridae
Cette maladie virale serait transmise par les moustiques, principalement « Aedes aegypti » et « Aedes albopictus ». Elle serait causée par quatre virus différents de la même famille. La dengue est courante dans les régions tropicales et subtropicales. Les signes pathologiques peuvent varier de légers à sévères et peuvent inclure de la fièvre, des douleurs musculaires et articulaires, des éruptions cutanées, des maux de tête, des douleurs derrière les yeux, des nausées et des vomissements. Dans certains cas graves, la dengue peut entraîner une « dengue sévère », caractérisée par une diminution du nombre de plaquettes sanguines, des saignements importants, une insuffisance organique et parfois la mort.
L'encéphalite japonaise associée au virus du même nom
Cette maladie est transmise principalement par les piqûres de moustiques du genre « Culex ». L'encéphalite japonaise est prévalente dans certaines régions d'Asie et du Pacifique, en particulier dans les zones rurales en présence de rizières et d’eaux stagnantes. Les symptômes peuvent varier de légers à sévères et peuvent inclure de la fièvre, des maux de tête, une raideur de la nuque, une désorientation, des convulsions, des paralysies et dans certains cas, une encéphalite potentiellement mortelle.
Résultats de l’étude publiés le 25 avril 2012
« L'ivermectine s'est révélée être un inhibiteur très puissant de la réplication du virus de la fièvre jaune. De plus, l’ivermectine a inhibé, bien que moins efficacement, la réplication de plusieurs autres flavivirus, à savoir les virus de la dengue, de l’encéphalite japonaise et de l’encéphalite à tiques. »
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Dans mon prochain article, je présenterai une étude des effets de l’ivermectine (ce médicament qu’ils ne veulent pas que vous ayez dans votre trousse à pharmacie) sur le VIH-1 (SIDA) et de nouveau sur la dengue.
Vive la paix, vive la liberté thérapeutique, vive la vérité et vive l’ivermectine !