À l'été 2022, un rapport de l’Office européen de lutte antifraude mettait en cause la gestion des flux migratoires par l'ex-patron de Frontex, la Français Fabrice Leggeri. La semaine dernière, dans la plus grande discrétion, la Commissaire européenne aux Affaires étrangères a reconnu qu'aucun élément de preuve n'avait été trouvé pour confirmer les conclusions du rapport.