Les microbes, nous en parlons régulièrement sont un maillon essentiel de la régulation de l’équilibre humain, puis des espèces en général. Ils apparaissent aujourd’hui comme des régulateurs généraux de l’humanité entière. A chaque difficulté, épreuve, passage, sa maladie aide et son microbe déclenchant est régulateur. Nous verrons dans cette lettre plusieurs aspects. La mondialisation et la financiarisation de l’économie sont une véritable maladie de notre humanité avec ses retentissements sur la planète et des troubles de multiples natures. Le système microbien logiquement réagit et réagira de plus en plus et nous ne pouvons que nous émerveiller devant ce système qui pourrait être capable d’arrêter les marchés financiers alors qu’on pensait que rien ne les empêcherait d’aller jusqu’à la destruction totale de la planète. Il y ne s’agit dans notre discours aucunement d’un catastrophisme, ni d’un complotisme ou tout autre discours sans fondement scientifique, mais bien de l’observation et de la description scientifique d’un équilibre de système biologique. Nous avons déjà eu plusieurs alertes ces dernières années avec la grippe aviaire, le SRAS, Ebola. Les troubles infligés au monde déclenchent régulièrement des réactions du microbiote planétaire, comme à une époque ont été générés, peste noire, choléra et grippe espagnole. Un des éléments de la maladie mondiale de la financiarisation est la peur. C’est elle qui pousse une frange de la population à accumuler au-delà de la raison. Et même si nous pouvons percevoir en eux les petits enfants intérieurs qui souffrent, nous souhaitons baisser quand même leurs délires compensatoires. Cette peur est aussi l’élément clé de ce qui se passe actuellement dans le monde avec le coronavirus. Affection somme toute pas si grave que cela, elle va faire probablement 10 fois moins de morts qu’une simple grippe. Regardez plus bas les chiffres, il faut raison garder. Sans cette peur il n’y aurait pas de panique mondiale et tant de conséquences. Il y aurait juste une épidémie de plus dans le monde. On peut dire que le coronavirus vient attaquer le mal à sa racine, celle de la peur qui gouverne le monde et la finance. Dans ce sens, elle est parfaitement adaptée. La croissance mondiale en baisse. Le coronavirus sonne probablement le glas de la mondialisation. Chacun réalise que revenir au local a du bon et évite bien des soucis. Enfin ! |