L’email ne va pas mourir de si tôt On a déclaré l'email mort lorsque les réseaux sociaux ont pris de l'ampleur il y a plus de dix ans. Avec l'émergence de la messagerie instantanée, on a de nouveau déclaré l'email mort. Ben non, l'email est toujours là. Pas cher à envoyer, souple dans la conception et pas dépendant d'un acteur unique.
Les usages de l'email évoluent. L'email s'auto-régule grâce à l'action de nombreux opérateurs, ce qui témoigne de sa vitalité. Législations sur la vie privée, lutte anti-spam, nouvelles technologies (DMARC, BIMI). À ce propos, ça y est, iOS17 est sorti hier. Ça entraînera encore des changements côté tracking. Bien que minimes dans un premier temps pour l'email. Mais à long terme, il est fort probable que nous naviguerons à vue, sans savoir qui a réellement ouvert ou cliqué dans nos emails. Et il faut s'y préparer.
Mais malgré tout ça, l'emailing résistera. Du moins, la newsletter résistera. Les efforts devront se concentrer sur l'essentiel : la rédaction. À l'origine, l'email est un moyen de communication et non de conversion, ne l'oublions pas. L'emailing évoluera certainement vers une forme plus respectueuse, mieux rédigée et plus captivante.
Chez Badsender, la rédaction nous semble essentielle. Nous accompagnons nos clients dans la rédaction des contenus emails : comment passer d’une stratégie promotionnelle à éditoriale ?
Longue vie à l'email bien rédigé !
Bonne lecture,
Marion Duchatelet PS : Une bonne partie de cet édito a été pompée sur un post de Jonathan Loriaux. Sans rancune Jon !
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