Scandales des agences de l'Etat : 100 milliards d'euros dans un coffre-fort... dont on a perdu la clĂ© ! ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌

SCANDALE DES AGENCES DE L'ÉTAT :

100 MILLIARDS D'EUROS DANS UN COFFRE-FORT

... DONT ON A PERDU LA CLÉ !

 ‱ 77 milliards en crĂ©dits budgĂ©taires


‱ 100 milliards de dĂ©penses totales


‱ 500 000 agents publics


‱ et seulement 22 % des agences ont des objectifs dĂ©finis !

 

PENDANT CE TEMPS :

l’État s’apprĂȘte Ă  nous taxer davantage alors que 2,5 milliards d’euros dorment dans les trĂ©soreries de ces agences

Reprenons le controle ! Exigeons une proposition de loi ! Signez l'injonction en cliquant ici


Cher contribuable,

 

Vous l’avez peut-ĂȘtre vu comme moi : l’émission Capital sur M6 en mars dernier a ENFIN osĂ© rĂ©vĂ©ler ce que nous, Contribuables AssociĂ©s, dĂ©nonçons avec force : le puits sans fond des agences de l’État, qui engloutit des milliards et des milliards d’euros.

 

Ce n’est pas un hasard si ce scandale peut Ă©clater maintenant au grand jour – c’est le fruit d’annĂ©es de combat acharnĂ©, le vĂŽtre, le mien, celui de tous les contribuables qui refusent de se taire face Ă  l’injustice fiscale.

 

Mais le plus révoltant dans cette affaire ?

 

Ces rĂ©vĂ©lations font la une des mĂ©dias
 Elles font mĂȘme rĂ©agir les parlementaires (rappelez-vous, nous avons rĂ©ussi Ă  susciter une enquĂȘte sĂ©natoriale sur le sujet)


 


 Et pourtant l’État s’obstine Ă  faire la poche des contribuables pour se rĂ©armer, plutĂŽt que de faire des Ă©conomies dans son propre gras bureaucratique !

 

Un comble, quand on sait que des milliards d’euros dorment dans les trĂ©soreries de ces agences
 immĂ©diatement mobilisables
 pendant qu’on NOUS demande toujours plus de sacrifices.Tout cet argent aurait dĂ» renforcer les hĂŽpitaux et la dĂ©fense plutĂŽt que de dormir dans ces agences inutiles. C’est un SCANDALE ABSOLU qui devrait faire trembler de rage chaque contribuable français !

 

Le reportage de M6 a notamment bien montrĂ© l’absurditĂ© des CESER (Conseils Ă©conomiques, sociaux et environnementaux rĂ©gionaux) oĂč des membres touchent jusqu’à 1671 € par mois pour... vaguement assister Ă  quelques rĂ©unions. Et encore : la premiĂšre demi-heure consiste Ă  nommer le tiers des membres qui n’ont pas daignĂ© venir !

 

N’est-ce pas RÉVOLTANT ? Et ce n’est que la partie visible de l’iceberg que nous combattons sans relñche pour y mettre un terme :

  • 77 milliards en crĂ©dits budgĂ©taires...
  • 100 milliards de dĂ©penses totales...
  • 500 000 fonctionnaires qui y travaillent...
  • Et seulement 22% des agences ont des objectifs clairement dĂ©finis !

Les agences de l’État, un coffre-fort dont on a jetĂ© la clĂ©

Une agence, c’est quoi ? MalgrĂ© le marĂ©cage abracadabrantesque de dĂ©finitions, on dĂ©note pas moins de :

  • 434 opĂ©rateurs, organismes distincts de l’État mais payĂ©s et gĂ©rĂ©s par lui, pour sous-traiter sa politique. On y trouve PĂŽle Emploi (rebaptisĂ© France Travail), mais aussi de vĂ©ritables planques, telles que l’Agence bibliographique de l’enseignement supĂ©rieur, qui emploie 87 personnes Ă  temps plein pour classer des catalogues numĂ©riques.
  • 317 commissions diverses, aux fonctions souvent grotesques, comme la Commission nationale du dĂ©bat public, un « machin » intĂ©gralement inutile, au budget pharaonique de 10 millions d’euros par an !
  • PrĂšs de 700 structures diverses et souvent indĂ©boulonnables, comme le trĂšs baroque « Conseil consultatif de gestion du corps des administrateurs des postes et tĂ©lĂ©communications », mis en place en 1994 et Ă  l’utilitĂ© douteuse


 

Au total, ces organismes emploient prĂšs de 500 000 personnes en Ă©quivalents temps plein, soit 20 % de la masse salariale de l’État.

 

MĂȘme nos Ă©lus sont tenus Ă  distance de ce labyrinthe ! Les dĂ©putĂ©s se plaignent beaucoup du peu d’information dont ils bĂ©nĂ©ficient pour contrĂŽler ce qui se passe dans les agences.

 

Sans transparence ni contrĂŽle dĂ©mocratique, comment s’étonner que 78 % des agences n’aient AUCUNE obligation contractualisĂ©e avec l’État ? C’est tout simplement scandaleux ! Ces organismes dĂ©pensent NOS milliards sans avoir Ă  rendre de comptes Ă  personne.

 

Imaginez un peu : sur prĂšs de 1500 structures, plus des trois quarts fonctionnent sans objectifs prĂ©cis, sans indicateurs de performance, sans aucune Ă©valuation de leur efficacitĂ© ! Elles reçoivent l’argent de NOS impĂŽts et font... ce qu’elles veulent.

 

Le conseiller-maĂźtre Ă  la Cour des comptes François Ecalle le confirme lui-mĂȘme : « Ces contrats d’objectifs sont largement inutiles. Lorsqu’on a participĂ© Ă  la rĂ©daction de ces documents, on sait Ă  quel point ils sont creux et ne reprĂ©sentent en rien un moyen de contrĂŽle de l’État sur ses opĂ©rateurs. »

 

Selon la Cour des Comptes, seulement 22 % des opĂ©rateurs avaient un contrat d’objectifs en vigueur en 2020. Autrement dit, l’État verse des milliards d’euros Ă  des organismes sans mĂȘme leur demander ce qu’ils comptent en faire ! Dans quelle entreprise privĂ©e, dans quel foyer accepterait-on une telle gabegie ? Nulle part, bien sĂ»r.

 

Et ce n’est pas faute d’avoir Ă©tĂ© alertĂ©. Rapport aprĂšs rapport, les mises en garde s’accumulent, et pourtant rien ne change. L’inertie bureaucratique protĂšge ce systĂšme opaque qui Ă©chappe Ă  tout contrĂŽle des citoyens et mĂȘme du Parlement !

 

Pour rendre ce chaos encore plus coĂ»teux, le budget allouĂ© Ă  ces structures a DOUBLÉ entre 2012 et 2024, engloutissant toujours plus de nos impĂŽts.

 

Le chaos administratif est tel que personne ne sait rĂ©ellement combien d’agences existent. En 2012, deux rapports officiels parvenaient Ă  des rĂ©sultats totalement diffĂ©rents : 103 agences selon le Conseil d’État, mais 1244 selon l’Inspection gĂ©nĂ©rale des finances !

 

Cet empilement d’agences n’est pas seulement un gouffre financier Ă  100 milliards d’euros par an mais Ă©galement un mic-mac total, dans lequel les doublons sont lĂ©gion.

 

Vous ne savez probablement pas ce qu’est la Commission des comptes commerciaux de la Nation
 et c’est bien normal, puisqu’il s’agit d’un clone inutile de l’INSEE !

 

Sans prĂȘter aucune attention Ă  la santĂ© budgĂ©taire du pays ni Ă  l’efficacitĂ© de son administration, ils empilent des comitĂ©s ThĂ©odule sur des planques bureaucratiques.

 

Chaque annĂ©e, la Commission nationale des prothĂ©sistes et orthĂ©sistes pour l’appareillage des personnes handicapĂ©es a pour activitĂ© principale d’organiser une confĂ©rence par an — le tout pour la modique somme de 130 000 euros !

 

Ou encore, prenez l’Anap, la HAS et l’Anesm — trois agences de santĂ© qui se marchent sur les pieds avec une mission identique : pondre des recommandations.

 

Trois noms diffĂ©rents, trois budgets sĂ©parĂ©s, trois siĂšges sociaux... mais impossible de distinguer ce qui les diffĂ©rencie vraiment. C’est comme payer trois plombiers pour rĂ©parer le mĂȘme robinet ! Votre argent coule Ă  flots dans ce gaspillage organisĂ©. Il faut arrĂȘter cette folie !

Des trésors cachés qui échappent au contrÎle démocratique

Ces agences ont constituĂ© des rĂ©serves financiĂšres considĂ©rables – de vĂ©ritables trĂ©sors dormants que l’État tente maintenant de rĂ©cupĂ©rer. En septembre 2024, un rapport officiel de l’Inspection gĂ©nĂ©rale des finances a identifiĂ© 2,5 milliards d’euros de « trĂ©sor de guerre » mobilisables immĂ©diatement.

 

Mais en réalité, les excédents de trésorerie vont bien plus loin :

  • 4,2 milliards pour les universitĂ©s

  • 2,4 milliards pour l’ADEME

  • 1,5 milliard pour France CompĂ©tences


 

Les 14 trĂ©soreries d’opĂ©rateurs les plus importantes dĂ©passent les 28 milliards d’excĂ©dents !

 

Mais tout ça, ce n’est rien Ă  cĂŽtĂ© de la catastrophe programmĂ©e des Agences RĂ©gionales de SantĂ© (ARS). Créées en 2010, ces hyper-machines technocratiques ont brillĂ© par leur gestion lamentable de la crise du Covid-19


 


 missions floues, gestion opaque, effet doublon avec d’autres structures comme la Direction gĂ©nĂ©rale de la SantĂ© ou la Haute AutoritĂ© de Santé 

 

Les ARS illustrent à merveille le désastre de la gouvernance par les agences.

 

Ces 9 000 fonctionnaires des ARS n’ont mĂȘme pas Ă©tĂ© capables de gĂ©rer correctement la distribution des masques pendant la crise sanitaire ! 9 000 agents qui pondent des normes et qui empĂȘchent trĂšs concrĂštement les infirmiĂšres, les mĂ©decins et les directeurs d’hĂŽpitaux de faire leur travail. Quelle incompĂ©tence scandaleuse !

 

Ces coĂ»ts astronomiques sont la consĂ©quence directe d’une administration hypertrophiĂ©e et inefficace. Pourtant, des hommes politiques de tout bord ont dĂ©noncĂ© cette incurie :

  • François Baroin, ex-prĂ©sident de l’Association des maires de France, membre des RĂ©publicains, estime que l’ARS avait « explosĂ© en vol ».
  • BenoĂźt Simian, ancien dĂ©putĂ© de Gironde (LREM), dĂ©clarait au Parisien que « les ARS sont un vrai pouvoir de nuisance ».
  • HervĂ© FĂ©ron, maire socialiste de Tomblaine (Meurthe-et-Moselle), dĂ©clarait : « J’ai fait une demande de masques Ă  l’ARS du Grand Est dĂ©but mars [...]. J’ai envoyĂ© des courriels, et mĂȘme un SMS au directeur gĂ©nĂ©ral, je n’ai jamais reçu de rĂ©ponse ! »

Le contribuable français se retrouve piĂ©gĂ© entre le marteau et l’enclume

Cette pagaille, ce sont encore les Premiers ministres successifs qui en parlent le mieux :

 

« La multiplication d’organismes dotĂ©s d’une certaine autonomie Ă  l’égard du gouvernement finit par ĂȘtre prĂ©judiciable Ă  l’action de l’État. ».

Jean-Marc Ayrault en 2013, alors Premier ministre de François Hollande

 

« La multiplicitĂ© de ces structures - qui comptent pour certaines un trĂšs faible nombre d’agents - nuit Ă  la lisibilitĂ© et Ă  la cohĂ©rence des missions des administrations centrales. »

Édouard Philippe en 2019, Ă  l’époque Premier ministre d’Emmanuel Macron.

 

Saluons leur sens de l’euphĂ©misme !

 

Devant l’ampleur du dĂ©sastre, les gouvernements ont appelĂ© chacun leur tour Ă  rĂ©duire le nombre de ces agences et Ă  leur imposer des impĂ©ratifs de rĂ©sultat.

 

Mais les vƓux pieux de rationalisation sont restĂ©s lettre morte :

  • Entre 2012 et 2017, la masse salariale de ces agences est passĂ©e de 25 Ă  30 milliards d’euros, soit une augmentation de + 20 % !
  • Si certaines agences ont Ă©tĂ© supprimĂ©es depuis quelques annĂ©es, d’autres ont dans le mĂȘme temps Ă©tĂ© créées, comme la Commission nationale des professions foraines et circassiennes en 2017. Un vrai cirque !
  • En 2020, seulement 22 % des opĂ©rateurs avaient un contrat d’objectifs en vigueur, ce qui signifie que 78 % fonctionnent sans objectif prĂ©cis !

 

L’inertie des administrations centrales empĂȘche de remettre en question ce qui est devenu un fait.

 

Vous ĂȘtes pris en OTAGE par cette mafia administrative qui se gave de vos impĂŽts sans JAMAIS rendre de comptes !

 

Par ailleurs, les doublons entre agences sont un scandale quotidien. Pourquoi l’Agence de services et de paiement (ASP) ne fait-elle pas le travail de FranceAgriMer ? En effet, l’ASP est une agence publique qui gùre les aides publiques et les paiements pour divers secteurs
 
Y compris l’agriculture, dont s’occupe FranceAgriMer !

 

Pourquoi maintenir deux structures qui font EXACTEMENT LA MÊME CHOSE ? La raison est simple : ces agences sont bien pratiques pour recaser un certain nombre de copains de parti ou d’élus dĂ©chus...

 

Prenons exemple sur le Royaume-Uni : depuis le début des années 2010, le Parlement a exigé la suppression de plus des deux tiers des 305 agences publiques. Un modÚle !

Notre combat porte ses premiers fruits, mais nous devons aller plus loin

Si aujourd’hui les choses commencent enfin Ă  bouger sur ce scandale d’État, c’est grĂące Ă  notre travail acharnĂ© depuis des annĂ©es !

 

Contribuables Associés a été la premiÚre organisation à mettre en lumiÚre cette dérive bureaucratique à travers :

  • Nos Rendez-Vous Parlementaires du Contribuable consacrĂ©s aux agences de l’État, qui ont rĂ©uni des dizaines de dĂ©putĂ©s et d’experts.
  • Notre Ă©tude approfondie « Les agences de l’État : un coffre-fort dont on a jetĂ© la clĂ© », diffusĂ©e Ă  des dizaines de milliers d’exemplaires.
  • Nos interventions mĂ©diatiques rĂ©guliĂšres (ces derniers mois : CNews, BFM, Europe 1 ou encore Le Figaro Magazine
), qui ont permis de sensibiliser l’opinion publique.

 

GrĂące Ă  cette mobilisation, le SĂ©nat a créé le 6 fĂ©vrier 2025 une commission d’enquĂȘte sur « les missions des agences, opĂ©rateurs et organismes consultatifs de l’État ». C’est une grande victoire que nous devons maintenant transformer !

NOUS EXIGEONS une proposition de loi concrÚte pour protéger NOS impÎts !

Pour transformer l’indignation en action concrĂšte, il faut maintenant une Proposition de Loi qui rĂ©forme en profondeur ce systĂšme et protĂšge durablement vos impĂŽts.

 

Cette loi devra :

  • Imposer une transparence totale sur les budgets et les objectifs de chaque agence.
  • Exiger un audit indĂ©pendant annuel de chaque agence, avec obligation de dissolution en cas d’inefficacitĂ© avĂ©rĂ©e.
  • Restituer au Parlement son pouvoir de contrĂŽle sur ces structures qui Ă©chappent Ă  toute surveillance dĂ©mocratique.

 

Sans cette loi, les bonnes intentions resteront des vƓux pieux, et notre argent continuera de disparaĂźtre dans ce labyrinthe bureaucratique. Votre COLÈRE est LÉGITIME ! Ces technocrates irresponsables DOIVENT ĂȘtre STOPPÉS avant qu’ils ne finissent de ruiner la France.

Il y a urgence

Il faut mettre un terme au cancer des agences !

Il faut agir MAINTENANT !

 

Au nom de tous les contribuables Français qui voient leurs impÎts partir en fumée, nous devons interpeller DIRECTEMENT le Premier ministre François Bayrou pour dire STOP !

 

Exigeons :

  • L’arrĂȘt immĂ©diat de la prolifĂ©ration des agences de l’État
  • Que l’AssemblĂ©e nationale amplifie le travail d’enquĂȘte initiĂ© par le SĂ©nat
  • Une proposition de loi concrĂšte et ambitieuse pour encadrer le fonctionnement des agences

 

Pour ce faire, signez dĂšs maintenant votre INJONCTION D’AGIR. La seule barriĂšre Ă  l’appĂ©tit sans limite de l’État pour notre argent, c’est la mobilisation de tous les contribuables, de nous tous. Je la dĂ©poserai Ă  M. Bayrou, en votre nom et pour tous les Contribuables AssociĂ©s mobilisĂ©s.

 

Comme vous le savez nous ne recevons aucune subvention et sans votre soutien financier je ne peux rien faire. Aussi j’ai besoin de vous pour relayer cette campagne auprùs d’un maximum de Français.

Cliquez ici pour me renvoyer, aujourd’hui mĂȘme, votre INJONCTION D’AGIR signĂ©e et accompagnĂ©e de votre don le plus gĂ©nĂ©reux.ï»ż

Avec des centaines de milliers de signatures, je peux encore intensifier la pression sur les Ă©lus pour obtenir rapidement une PPL et mettre un terme au gaspillage des agences de l’État. Le temps presse ; trop d’argent est gaspillĂ© tous les jours.

‍Je compte sur vous. 

Signature BenoĂźt Perrin

‍Benoüt Perrin

Directeur de Contribuables Associés

‍N.B.1 : envoyez-moi votre injonction d’agir validĂ©e ici ! Notre colĂšre doit ĂȘtre entendue au sommet de l’État !

 

N.B.2 : je dois continuer Ă  me battre pour protĂ©ger le pouvoir d’achat des Français, contre le scandale des agences de l’État qui nous coĂ»te des milliards en impĂŽts et taxes. Faites s’il vous plaĂźt dĂšs maintenant le don le plus gĂ©nĂ©reux possible Ă  Contribuables AssociĂ©s, c’est par ici !

 

N.B.3 : chaque don que vous faites Ă  Contribuables AssociĂ©s est dĂ©ductible de vos impĂŽts Ă  hauteur de 66 % ! Alors plutĂŽt que de donner Ă  l’État, joignez immĂ©diatement votre don le plus gĂ©nĂ©reux possible Ă  Contribuables AssociĂ©s avec votre injonction d’agir !

‍Pour ne plus recevoir nos publications, cliquez ici . 

Â ï»ż

ï»ż

Statistics image