| A peine élus et c'est déjà le cirque, les maires écolos se démarquent par une "créativité" et une "imagination" qui débordent les frontières du réel. Trois mois après les élections municipales, on peut déjà tirer une liste conséquente des propositions absurdes des maires EELV qui, rappelons-le, ont raflé les principales grandes villes de France. Après avoir refusé de participer à la cérémonie du Voeu des Echevins (tradition remontant à 1643) le 8 septembre sous couvert de "laïcité", le maire de Lyon Grégory Doucet alla dès le lendemain poser la première pierre de la mosquée de Gerland, la laïcité s'étant évaporée pendant la nuit. Quelques jours plus tard, le même maire écolo qualifiait le Tour de France de "machiste et polluant" et ajoutait qu'il n'était "plus acceptable d'avoir des grandes manifestations sportives dont la priorité n'est pas de se poser la question de leur empreinte écologique." Voilà qui est dit. Cette semaine, c'est son homologue bordelais qui vient occuper la piste du chapiteau EELV, en effet, le maire de la cité girondine Pierre Hurmic, annonçait il y a peu vouloir renoncer à "l'arbre mort de Noël" de la place Pey Berland... Suite à une pétition s'opposant à cette idée saugrenue, le maire de Bordeaux a répliqué : "l'opinion des fachos, je m'assieds dessus". Ainsi, être un facho désormais, c'est vouloir un sapin pour Noël. Soutenez le média qui vous ressemble et accédez à l'intégralité de nos contenus numériques en profitant de notre offre d'essai : 1€ seulement sans engagement sur notre abonnement numérique ! | |
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