Le 14 novembre 2024, Donald J. Trump a nommé Robert F. Kennedy Jr. au poste de « secrétaire à la Santé et aux Services sociaux ». Ce dernier a passé ses « auditions de confirmation » (« Confirmation Hearings ») devant le « Comité des finances du Sénat » (« Senate Finance Committee ») le 29 janvier 2025, puis devant le « Comité de la santé, de l'éducation, du travail et des pensions du Sénat » (« Committee on Health, Education, Labor and Pensions ») le 30 janvier 2025.
Ces auditions, cruciales pour sa confirmation, ont été marquées par des prises à partie agressives de RFK Jr. par plusieurs sénateurs démocrates, dont Elisabeth Warren (Mass.) et Bernie Sanders (Vt.), au sujet de ses déclarations antérieures sur la politique vaccinale des États-Unis.
RFK Jr., futur « tueur d’enfants » ?
RFK Jr. a donc été passé au grill par les sénateurs démocrates, dont la plupart bénéficient du soutien financier, constant et important (il s’élèverait à plus de 2,5 millions de dollars pour la sénatrice démocrate Elizabeth Warren, et à plus de 1,5 million pour le sénateur Bernie Sanders), de la part de l’industrie pharmaceutique en général et de l’industrie pharmaceutique vaccinale en particulier.
Ce « grill » était principalement alimenté par les accusations, à peine voilées, selon lesquelles RFK Jr. se transformerait en « tueur d’enfants » s’il était confirmé à son poste de « secrétaire à la Santé et aux Services sociaux ».
Et pourquoi cela ? Tout simplement parce qu’il risquerait de remettre en cause la criminelle politique actuelle en matière de vaccination des enfants, ce qui causerait des millions de morts chez les enfants et la faillite de l’industrie pharmaceutique vaccinale (et donc la perte de financement pour les sénateurs et représentants corrompus par Big Pharma).
Politique qui est réellement à l’origine de la mort de millions d’enfants depuis 1986, sans parler des enfants qui sombrent à vie dans l’autisme, le diabète, l’obésité ou encore dans les maladies auto-immunes induites par ces “vaccins”, dont, rappelons-le, aucun, absolument aucun, ne protège réellement de quoi que ce soit (on attend toujours la preuve scientifique qui démontrerait que tel enfant, lui et pas un autre, aurait attrapé la maladie contre laquelle il a été vacciné s’il ne l’avait pas été).
« Je soutiens les vaccinations et je m’engage à promouvoir leur utilisation pour protéger la santé publique. »
Face à la virulence des attaques haineuses auxquelles il était confronté, Kennedy a tenté de rassurer les sénateurs en affirmant son soutien aux vaccins et en s’engageant à les promouvoir s’il était confirmé : « Je soutiens les vaccinations et je m’engage à promouvoir leur utilisation pour protéger la santé publique. »
Voilà une déclaration qui fera sans doute l’effet d’une douche froide sur pas mal de ses supporters et qui tranche nettement avec ses déclarations antérieures.
Comment l’interpréter ?
Trahison ou manœuvre politicienne ?
Est-ce une trahison des centaines de millions de personnes dans le monde, qui ont reporté sur RFK Jr. tous leurs espoirs d’en finir avec les criminelles politiques vaccinales menées par les États (les plus meurtrières étant menées par les États occidentaux, la France de l’éborgneur en chef des Gilets jaunes, et de ses loufiats de droite, d’extrême droite, de gauche, d’extrême gauche, du centre et d’extrême centre, en tête) ?
Est-ce une trahison ou une manœuvre politicienne qui affaiblirait la portée des arguments de ses détracteurs chez des sénateurs hésitants, sans pour autant renoncer à ses convictions, d’autant que la fin de la phrase « pour protéger la santé publique » lui laisse la possibilité d’affirmer par la suite que, « comme les vaccins ne protègent en rien la santé publique, il ne soutient plus la vaccination » ?
L’avenir nous le dira, mais nous avons du mal à imaginer RFK Jr. en politicien qui renie ses engagements à peine élu, comme le font systématiquement les politiciens professionnels en France, en Allemagne ou encore au Royaume-Uni.
Et pourquoi ne pas lui accorder notre confiance lorsqu’il déclare à plusieurs reprises lors de ces auditions : « Je ne suis pas « antivaccin » mais « pro-sécurité » », ce qui revient au même pour ceux qui connaissent les dégâts provoqués par ces produits mortels ?
« Votre ‘protection’ ressemble à une dictature… »
D’autant que, lors de son audition du 30 janvier 2025, il aurait répondu à la question d’un sénateur : « Pourquoi contestez-vous les mesures sanitaires qui protègent les plus vulnérables ? » :
- « Parce que votre ‘protection’ ressemble à une dictature. Vous avez censuré l’ivermectine, une molécule nobelisée, pour vendre des vaccins à 20 milliards de profits. Les “vulnérables”, ce sont les citoyens à qui vous refusez le droit de choisir. La santé ne devrait pas être un monopole d’État au service de Pfizer. »
« Le wokisme, c’est le capitalisme déguisé en vertu »
Sur le wokisme, il aurait répondu à la question d’un sénateur : « Vos critiques contre les mandats vaccinaux menacent l’équité sociale. Comment justifiez-vous cela ? » :
- « L’’équité’, c’est le mot préféré des tyrans. Pendant le COVID, vous avez fermé les églises et les petites entreprises, mais laissé Amazon et Pfizer ouverts. Vous parlez de protéger les pauvres, mais vous avez ruiné leur vie tout en enrichissant les milliardaires. Le wokisme, c’est le capitalisme déguisé en vertu. »
« Vous voulez de l’obéissance »
Au sujet de la liberté d’expression, il aurait répondu à la question d’un sénateur : « Pourquoi utilisez-vous des réseaux sociaux pour propager de la désinformation ? » :
- « La ‘désinformation’, c’est le mot-code pour étouffer les dissidents. En 2021, vous avez censuré les médecins qui parlaient d’immunité naturelle, puis vous avez admis qu’ils avaient raison. Facebook et Twitter étaient les bras armés de Big Pharma. Vous ne voulez pas de vérité, vous voulez de l’obéissance. »
« Si vous pouvez forcer un être humain à ingérer une substance contre sa volonté, il n’y a plus de liberté. »
Au sujet des libertés individuelles, il aurait répondu à la question d’un sénateur : « Ne pensez-vous pas que les mandats sanitaires sont nécessaires pour le bien commun ? » :
- « Le ‘bien commun’ a toujours été l’excuse des despotes. Si vous pouvez forcer un être humain à ingérer une substance contre sa volonté, il n’y a plus de liberté. Ce que vous appelez ‘science’, c’est juste la version moderne du droit divin des rois. »
Notre réponse préférée (santé publique) :
« Vous siégez ici grâce à l’argent de Big Pharma. Votre ‘santé publique’ est une escroquerie. Les seuls virus à éradiquer sont la corruption et la lâcheté. »
≈
Alors, RFK Jr., traitre ou véritable croisé des temps modernes qui luttera jusqu’à la mort pour les bienfaits de l’humanité ?
L’avenir nous le dira, mais offrons-nous une dernière citation :
« Quand la FDA dépend à 75 % des financements de Big Pharma pour son budget, ce ne sont pas des régulateurs, ce sont des complices. Vous ne défendez pas la science, vous défendez des actionnaires. Les mêmes entreprises qui ont créé la crise des opioïdes – en tuant 500 000 Américains – contrôlent aujourd’hui le narratif sur les vaccins. La confiance ne se mérite pas, elle se gagne. Et vous avez tout perdu. »
Comité de la surveillance et de la réforme de la Chambre des représentants des États-Unis –
10 juillet 2023 (« C19 »)
L’avenir nous le dira… En attendant de bonnes nouvelles de l’avenir, portez-vous bien, prenez soin de vous et des vôtres, il n’y a rien de plus important.