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"Je vais vous expliquer quelle est la genèse de la vie. Au départ, le procédé de fermentation ne produisait pas assez d’énergie pour former des organismes multicellulaires ou pour permettre à la cellule de se différencier. Les cellules bactériennes ne sont pas différenciées ; elles ne sont pas capables de construire des organismes multicellulaires parce qu’elles n’ont pas assez d’énergie. Seule l’invention de la photosynthèse (en utilisant l’énergie du soleil pour séparer la matière afin d’obtenir des électrons) a permis à la vie de continuer. La vie est dirigée par la force des électrons, et avec la photosynthèse, les électrons ont été produits par la séparation de l’eau. Le produit de base était l’oxygène.
Cette photosynthèse était si réussie qu’elle a "pollué" la planète entière.
L’eau, et par la suite l’atmosphère, ont été saturées d’oxygène.
C’est seulement quand les bactéries ont commencé à apprendre à employer l’oxygène pour produire beaucoup plus d’énergie à partir du matériel organique d’une molécule de sucre, que nous avons eu l’étape suivante dans l’évolution. La vie s’est arrangée avec la catastrophe de l’oxygène et les bactéries consommatrices d’oxygène, de sorte qu’elles gardent l’atmosphère à un niveau constant de 20 % d’oxygène. C’est exactement le pourcentage auquel la vie peut persister. À un niveau plus bas, ou à un niveau plus élevé, c’est impossible. Nous vivons grâce à cet équilibre. C’est le principe de Gaia.
Ces bactéries qui ont appris à employer l’oxygène pouvaient produire 20 à 30 fois plus d’énergie par molécule de sucre, car l’oxygène à l’extrémité absorbait tant d’électrons que beaucoup d’entres eux pouvaient être pris hors du sucre, ce qui produisait beaucoup plus d’énergie. Ceci est une application directe de ce que nous appelons maintenant un rendement sur unitaire, ce qui veut dire que nous sommes des machines à énergie libre. Cette révolution dans la formation d’énergie fut à la base de toutes les cellules plus élaborées et de tous les organismes évolués.
Naturellement, c’est grâce à cet excès d’énergie que les cellules ont pu se différencier et former des organismes multicellulaires. Ces bactéries qui utilisaient l’oxygène font partie de chacune de nos cellules et sont appelées les mitochondries. Ainsi, les cellules les plus évoluées sont le produit de la fusion de plusieurs genres de bactéries différentes : le spirochète, qui a introduit la mobilité dans la vie, et les mitochondries qui ont produit beaucoup plus d’énergie qu’avant."
"Cette énergie en excès est à la base de toute vie évoluée. Mais, si vous la violez, si vous ne laissez pas l’oxygène venir dans l’organisme, si le sang est oxydé par des nitrites ou des sulfinamides (incluant des drogues sulfamides comme le bactrim et le septra), si le chemin de transit entre le sang et les cellules est empoisonné par les métaux lourds ou le manque d’acides gras essentiels, ou encore quand les mitochondries sont détruites dans les cellules en raison du manque de nutrition ou à cause des antibiotiques, l’oxygène ne peut pas être transporté du sang aux cellules, alors la cellule ne peut plus produire assez d’énergie. Elle peut alors soit mourir, ayant pour résultat l’inflammation ; soit survivre quand ça lui est possible, elle devient alors cancéreuse. Quand la cellule produit seulement de la fermentation, c’est le cancer comme Otto Warburg l’avait déjà détecté dans les années 40.
On savait dès le début que les cellules de cancer ont seulement des marqueurs embryonnaires sur leur surface. D’un point de vue biologique et évolutionnaire, il se comprend qu’une cellule cancéreuse est un retour à une étape embryonnaire.
Elle se différencie en raison du manque d’énergie, et elle attend jusqu’à ce que le manque d’énergie soit terminé afin de se différencier à nouveau. Naturellement, si le manque d’énergie persiste, elle perd du matériel génétique (unique ancien critère pour définir le cancer). Or, quand les cellules ont perdu beaucoup de matériel génétique, elles perdent la capacité de se différencier à nouveau.
Une cellule embryonnaire entre dans un état unicellulaire. Elle se comporte comme un organisme unicellulaire, comme une bactérie. Elle perd la capacité d’arrêter la réplication en entrant en contact avec d’autres cellules (inhibition du contact). Ainsi, en connaissant la biologie évolutionnaire, vous pouvez tout expliquer."
Si vous regardez chez qui survient la maladie PCP (pneumocystose), vous verrez des personnes chargées en nitrites. Et vérifiez les dictionnaires médicaux à destination du grand public : que font les nitrites dans le corps ? Ils oxydent le sang. Cela signifie que le sang lui-même ne peut plus transporter l’oxygène. Ainsi, naturellement, les premières cellules à souffrir sont les cellules du poumon.
Les nitrites sont transformés immédiatement en oxyde nitrique dans les plus petits vaisseaux capillaires du corps. L’oxyde nitrique est produit par le corps dans des concentrations très basses afin de commander la tension artérielle, parce que, dans des concentrations plus élevées, il agit très progressivement, détruisant tout. C’est pourquoi "les cellules mangeuses" du système immunitaire, les macrophages, libèrent l’oxyde nitrique en quantité élevée dans des réactions d’inflammation : pour détruire et digérer les cellules bactériennes.
Aussi, si vous prenez des nitrites régulièrement, par exemple dans l’eau du robinet qui autorise 50 mg/l (ce qui signifie que des quantités énormes et excessives d’oxyde nitrique sont produites) cela signifie que vous démarrez le processus d’autodestruction dans votre propre corps, particulièrement dans les poumons. Vous détruisez les tissus de vos poumons, et les infections fongiques se développent sur cette matière organique morte. Néanmoins, les fonctions immunitaires demeurent parfaites, car en effet, ces patients suppriment les infections bactériennes. Les 60 différents genres d’affections pulmonaires que nous connaissons, tous causés par des infections bactériennes, n’apparaissent pas parce que les fonctions immunitaires sont encore bonnes.
Il apparaît que le foie et le pancréas sont les deux organes déterminants dans la protection contre le processus cancéreux, le premier prémunissant d’une toxémie pathogène, le second d’une dangereuse carence enzymatique – en particulier de la trypsine, élément actif de la pancréatine.
Il apparaît surtout par cette analyse que tout cancéreux se trouve automatiquement en état d’asphyxie cellulaire par carence d’oxygène. Ainsi, l’on comprend mieux les cas de guérisons de cancers provoqués par simple suroxygénation.
Une méthode permettant de réoxygéner puissamment l’organisme et de résoudre des états d’asphyxie cellulaire profonds.
Chez une personne en bonne santé, il est évident que l’exercice au grand air, à la campagne, en forêt ou à la montagne, dans un air pur et bien ionisé, apporte une dynamique respiratoire capable d’alimenter correctement tout l’organisme en oxygène. Mais ceci devient insuffisant lorsque les tissus et le sang sont trop intoxiqués pour assurer une conduction correcte de l’oxygène jusqu’au sein des cellules.
L’astuce consiste à utiliser un transporteur qui en s’associant à l’hémoglobine de façon fragile, libère facilement un oxygène à l’état atomique et non moléculaire.
L’instabilité de cet état d’oxygène naissant lui confère une affinité particulière avec le plasma et les liquides cellulaires, permettant d’améliorer les combustions physiologiques et, par voie de conséquence, de "décrasser" l’organisme. Actuellement, très peu de médicaments s’attaquent à la mauvaise oxygénation des tissus et beaucoup d’entre eux aggravent même cet état d’hypoxie.
C’est en 1947 que René Jacquier jeta les bases de cette oxygénation biocatalytique, à base de dérivés peroxydés de l’HE de résine de pin.
Diplômé de l’École de chimie de Lyon où il fut élève de V. Grignard, lui-même prix Nobel en chimie organique, il fit une carrière de chercheur chez Rhône-Poulenc et Kuhlmann en France et au Brésil. Il effectua aussi des travaux sur les antibiotiques, les hormones, les vitamines et les enzymes à l’institut Oswald Cruz, qui firent l’objet de brevets français, allemands et anglais.
Il publia en outre deux ouvrages connus :
– De l’atome à la vie,
– Essais sur une mécanique universelle.
De nombreux systèmes ont été étudiés depuis 1947 pour produire des peroxydes d’alpha-pinènes et de bêta-pinènes. Il s’agissait de diriger un courant gazeux chargé de vapeurs d’essence de résine de pin à travers une flamme d’hydrogène en la refroidissant violemment. Les inconvénients de ce type d’appareils résidaient dans la manipulation des bouteilles d’hydrogène et le réglage difficile pour obtenir des produits non lacrymogènes et non pyrogénés. En outre, la formation de composés gazeux annexes dégageait une atmosphère ambiante particulière peu agréable.
En 1986, René Jacquier mit au point un nouveau procédé consistant à soumettre le courant gazeux chargé de vapeurs d’essences à un arc électrique et une résistance chauffante en remplacement de la flamme d’hydrogène. En 1990, une assistance électronique fut adjointe pour contrôler avec précision la production des peroxydes. Du coup, les produits d’inhalation sont devenus plus agréables et l’utilisation, jusque-là réservée aux professionnels, s’étendit aux particuliers.
Depuis, des progrès constants ont été réalisés sur la facilité d’utilisation, le design, l’ergonomie. Il est à noter qu’aucune trace d’ozone n’est décelable à la sortie de l’appareil en raison de la grande affinité de la térébenthine pour ce gaz (travaux de Berthelot et confirmation de l’école des Mines de Saint-Étienne).
Depuis, des progrès techniques constants réalisés par la société Holiste, ont permis de passer de séances de 25 minutes au départ, à 3 minutes pour la même efficacité.
La première phase dite de barbotage consiste à faire passer de l’air dans un flacon contenant de l’essence de résine de pin afin d’obtenir une vapeur riche en alpha – et en bêta-pinène.
Le gaz ainsi formé passe ensuite dans un vase de décantation où sont retenues les gouttelettes de térébenthine en excès. Une peroxydation complète des alpha et des bêta-pinènes est alors réalisée. Ceux-ci ont une vie très courte et doivent être inhalés immédiatement pour pouvoir jouer le rôle de biocatalyseurs.
L’huile essentielle de résine de pin utilisée doit être d’origine Pinus pinaster de qualité biologique, portant le label "Ecocert". L’absence de delta-3-carène, élément toxique, est vérifiée par chromatographie systématique sur chaque lot. Elle est fournie par la société Holiste sous le nom de ORESINE® Spécial Bol d'Air®.
Véritable principe actif de la méthode Bol d'Air®, ce concentré est une Huile Essentielle de térébenthine Chémotypée d'une qualité particulière et ne saurait être confondu avec un produit industriel.
Il possède des spécificités chimiques dues aussi bien à l'espèce d'arbre choisie, qu'à son lieu de croissance et aux procédés de traitements utilisés. Le pin des landes (françaises ou portugaises) est le seul résineux à offrir toutes les garanties d'innocuité allergénique. Sa résine est récoltée dans le respect de l'arbre et de sa pérennité.
Par ailleurs, il existe sur chaque appareil un filtre de protection électromagnétique aux normes européennes certifiées par AEMC Mesure.
L’appareil Jacquier délivre des molécules d’alpha-pinène peroxydées qui sont inhalées. Au niveau des alvéoles pulmonaires, celles-ci se dissocient au contact des radicaux prosthétiques de l’hémoglobine sous l’action du fer. Il apparaît alors des atomes libres d’oxygène naissant et un oxyde d’alpha-pinène qui va rester provisoirement lié à l’hémoglobine.
Ce nouvel oxyde d’alpha-pinène combiné à l’hémoglobine se comporte comme une véritable vitamine d’assimilation de l’oxygène respiré. En effet, ce composé formé avec l’hémoglobine étant plus instable que l’oxyhémoglobine, va se décomposer encore plus facilement au niveau des tissus et apporter de l’oxygène naissant très assimilable.
L’originalité du système Jacquier est donc d’introduire des catalyseurs naturels dans le sang par voie respiratoire, à l’état naissant, permettant une augmentation de l’oxygénation tissulaire et une relance des métabolismes endormis.
En résumé : Selon les travaux du Dr Lanka, la cancérisation cellulaire se produit par manque d’oxygène, le sang étant devenu incapable d’effectuer correctement sa mission. Cette hypoxie peut finalement déclencher une opération de survie primitive par un processus de fermentation qui est précisément le cancer.
En dehors de toutes considérations thérapeutiques concernant cette maladie, l’oxygénation catalytique interne apportée par l’appareil Holiste ne peut être que bénéfique en tant qu’adjuvant majeur.
Les inhalations sont de 3 à 12 minutes, une ou plusieurs fois par jour, par cures dans l’année ou régulièrement comme hygiène quotidienne.
La sensation est agréable. Une "libération" de l’espace thoracique est généralement immédiatement ressentie. Ces cures ne présentent ni toxicité ni accoutumance. Dans certains cas, il peut y avoir un "effet de cure" (fatigue, réactivation de problèmes anciens ou latents) qu’il ne faut pas confondre avec un "effet iatrogène" (pathologie due à l’usage d’un médicament). Ces réactions sont les signes d’une relance métabolique entraînant des perturbations ou aggravations passagères de certains symptômes (comme lors d’une cure thermale par exemple).
Elle est fournie par la société Holiste sous le nom de ORESINE® Spécial Bol d'Air®.
Véritable principe actif de la méthode Bol d'Air®, ce concentré est issu de l'hydrodistillat de la résine de pin des landes (Pinus Pinaster). Le liquide terpénique obtenu est une Huile Essentielle de térébenthine Chémotypée d'une qualité particulière et ne saurait être confondu avec un produit industriel.
Il possède des spécificités chimiques dues aussi bien à l'espèce d'arbre choisie, qu'à son lieu de croissance et aux procédés de traitements utilisés. Le pin des landes (françaises ou portugaises) est le seul résineux à offrir toutes les garanties d'innocuité allergénique. Sa résine est récoltée dans le respect de l'arbre et de sa pérennité.
Vous pouvez vous procurer ce merveilleux appareil ici :
HOLISTE " Le Port " - 71110 Artaix
Tél : + 33 (0)3 85 25 29 27
Spécialement aux abonnés de Contr’Infos pour achat d’un appareil :
1 litre d’Orésine® pour recharges mensuelles offert
Site général Holiste
Paru dans le Contr'Infos n° 85
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