Bonjour , Cette semaine, dans Pour la Science, le bon sens se révèle bien moins partagé qu’on ne l’imagine usuellement ; de nouveaux modèles d’IA tentent d’appréhender notre monde en y menant des expériences. Et aussi : dans les forêts tropicales, le réchauffement dope les lianes, au détriment des arbres. ● François Lassagne, rédacteur en chef de Pour la Science. |
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— ÉCOLOGIE 🕒 28 minutes | Dans les forêts tropicales d’Amérique du Sud, sous l’effet du réchauffement climatique, les lianes se multiplient au détriment des arbres. Cela pourrait affecter durablement la capacité de ces forêts à fixer le carbone. ● ParDouglas Fox, journaliste scientifique | |
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| — INFORMATIQUE 🕒 21 minutes | |
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[ UN ARTICLE À RETROUVER DANS NOTRE GRAND DOSSIER IA DU DERNIER N° DE POUR LA SCIENCE] | | Les modèles massifs de langage sont partout : outils bureautiques, moteurs de recherche, applications professionnelles… Ils sont pourtant incapables de comprendre le monde des humains. Les immerger dans des univers factices – mais physiquement réalistes – suffira-t-il à les doter de bon sens ? ● Par Clément Romac, ingénieur de recherche (Hugging Face), doctorant dans l’équipe Flowers (Inria, Bordeaux), Thomas Carta, informaticien, doctorant dans l’équipe Flowers (Inria, Bordeaux) et Pierre-Yves Oudeyer, chercheur en IA et sciences cognitives, directeur de recherche et responsable de l'équipe Flowers (Inria, Bordeaux) |
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Le bon sens serait ce que la majorité considère comme l’ensemble des affirmations allant de soi. Or la réalité se révèle tout autre : nous nous accordons sur bien peu. Le bon sens serait-il une illusion collective ? De quoi éclairer la difficulté d’enseigner le bon sens à une intelligence artificielle. ● Entretien avec Mark Whiting, chercheur au Laboratoire de sciences sociales computationnelles (CSSLab) de l'université d'Etat de Pennsylvanie. |
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| ▩ LES ACTUS & ECHOS DES LABOS |
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| — CLIMAT L’élédone de Turquet est une espèce de pieuvre qui vit dans les mers entourant le continent antarctique. On dénombre au moins treize populations individualisées, isolées dans différentes régions. Au gré de la fonte des banquises ouvrant des passages entre les mers, ces populations ont interagi. Des événements climatiques dont on retrouve la trace dans leur ADN ! En savoir + |
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| • POURQUOI ? COMMENT ? | |
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Comment fonctionne le distille, recycleur d’eau ultime sur la planète déserte de « Dune » ? |
Le deuxième volet de Dune, le film de Denis Villeneuve inspiré du célèbre roman éponyme de Frank Herbert, est à l’affiche des cinémas en France depuis mercredi. La saga spectaculaire se situe en grande partie à la surface d’Arrakis, une planète désertique où la vie et le pouvoir passent par la maîtrise de l’eau. Les habitants d’origine de ce mode imaginaire (les Fremen) ont mis au point le distille, une combinaison capable de recycler sueur, gaz expirés et urine, seule à même de garantir la survie dans l’âpreté du désert. Un tel équipement serait-il à la portée de nos technologies ? Jean-Sébastien Steyer et Roland Lehoucq se sont penchés sur la question en 2020, à la sortie du premier volet du film. Et nous apprennent que les figurants jouant les Fremen, portant un costume très près du corps, limitant l’évaporation de la sueur, trouvèrent le tournage éprouvant… Indice, parmi d’autres considérations physiologiques, que le fameux distille peinerait en réalité à tenir ses promesses. |
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| — SCIENCE & FICTION 🕒 19 minutes | |
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Dans le roman « Dune », de l’écrivain américain Frank Herbert, une nouvelle fois porté à l’écran, les intrigues se cristallisent autour du contrôle de la planète désertique Arrakis. Pour y survivre, les habitants portent des « distilles », des combinaisons qui recyclent l’eau de la transpiration et de l’urine. L’un des chapitres du livre Dune – exploration scientifique et culturelle d’une planète-univers, qui vient de paraître aux éditions Le Bélial, interroge le réalisme de ces dispositifs. Extrait. ● Par Jean-Sébastien Steyer, paléontologue au CNRS et au Muséum national d’histoire naturelle et Roland Lehoucq, astrophysicien au Service d'Astrophysique du CEA de Saclay. | |
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• REPÉRÉ PAR LA RÉDACTION CETTE SEMAINE | |
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