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LIBRE CONSENTEMENT ÉCLAIRÉ

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 Lettre du 18 janvier 2019

Pour télécharger cette lettre, cliquez sur : « Lettre du 18 janvier 2019 »


 * * * * *

Madame, Monsieur, Chère Amie, Cher Ami,

 

Nous vous proposons de signer, et de diffuser, la pétition qui suit.

Un mouvement politique fondé sur la Déclaration des droits de l'Homme et du Citoyen de 1789, ne peut accepter que les forces de police aient un permis de crever des yeux, de déchiqueter des mains ou d'occasionner des handicaps physiques définitifs lors en réprimant des manifestations d'opposants politiques, comme c'est le cas avec celles des gilets jaunes.

D'ailleurs, le rôle des forces de police n'est pas d'infliger des dommages physiques à qui que ce soit, mais de rechercher, d'interpeller et de remettre aux autorités judiciaires d'éventuels délinquants, ce que ne sont pas les manifestants, et, ce, même si les manifestations ne sont pas déclarées en préfecture.

À ce sujet, tous les ans dans les quartiers dits « sensibles », dans les « citées », à l'occasion des fêtes de fin d'années, ce sont des centaines et des centaines de véhicules qui sont brûlés, des centaines de vitrines qui sont brisées, sans que les forces de l'ordre n'interviennent afin d'éviter qu'il y le moindre blessé parmi les délinquants qui se livrent aux yeux de tous à des actes de vandalisme.

Pourquoi la doctrine du « zéro blessé », appliquée par les forces de l'ordre lors de ces fêtes de fin d'année, ou lors d'émeutes dans ces quartiers et citées, ou encore à l'occasion des fins de matchs de foot qui impliquent des équipes du Maghreb, n'est-elle pas appliquée lors des manifestations des gilets jaunes ?

Rappelons que la France est le seul pays occidental à réprimer ainsi les manifestations et à permettre aux forces de l'ordre l'usage d'armes qui peuvent gravement blesser.

C'est une vraie question dont nous aimerions avoir la réponse ! Et, soyons précis à ce sujet, nous ne demandons pas que les forces de l'ordre se livrent à des exactions où que ce soit, mais simplement que l'intégrité physique des manifestants, comme celle des délinquants, d'ailleurs, prime sur toute autre considération, excepté en cas, avéré, de légitime défense.


Résistons !


Patrick Ledrappier

Président de Libre Consentement Éclairé

 

Protégeons les gilets jaunes au nom de :

L'article 5 de la Déclaration universelle des droits de l'homme, adoptée le 10 décembre 1948 par l'ONU ;L'article 3 de la Convention européenne des droits de l'homme ;

La Convention de New York du 10 décembre 1984 sur la torture, les actes de barbarie et les autres traitements inhumains et dégradants ;

L'article 222-1 du Code pénal : « Le fait de soumettre une personne à des tortures ou à des actes de barbarie est puni de quinze ans de réclusion criminelle. »

La Déclaration Universelle des droits de l'Homme et du Citoyen de 1789 ;

  

STOP A LA BARBARIE ET AUX TORTURES POLICIÈRES ! 

Les tirs tendus de flashballs provoquent des traumatismes crâniens, des dents et des os brisés, des défigurations à vie et des yeux crevés ! 

Les tirs de grenades explosives brisent les os des membres, coupent des mains et tuent ! 

Au 18 janvier 2018, aurait eu plus de 1500 manifestants blessés, 40 très grièvement et 17 auraient perdus un œil et 4 une main !


Crever des yeux avec des tirs de flashballs tendus dans la tête des manifestants, utiliser des grenades explosives qui brisent les os, arrachent les mains ou tuent pour réprimer des manifestations citoyennes, ne sont ni plus ni moins que des actes de barbarie et de tortures publiques !

Pétition nationale contre l'usage par la police d'armes qui crèvent les yeux, défigurent à vie, ou brisent les os et déchiquettent définitivement les mains !

Le maintien de l'ordre pendant les manifestations citoyennes ne doit pas être une autorisation donnée aux forces de l'ordre de gazer, de tabasser, d'énucléer et déchiqueter définitivement des mains de manifestants, qu'ils soient pacifiques ou non !

Le rôle de la police dans un pays démocratique est d'interpeller les délinquants afin de les remettre aux autorités judiciaires, il n'est pas de défigurer à vie, d'énucléer ou de déchiqueter des mains de manifestants !


Nos policiers ne doivent pas se transformer en « Tontons Macoutes » du régime politique macronien et des députés de la « République » en Marche !





Nous exigeons :

L'interdiction de l'usage par la police de lanceurs de balles de défense (LBD – Flashball), interdiction demandée par le Défenseur des droits dans un rapport du 10 janvier 2018 ;

L'interdiction de l'usage par la police des grenades explosives ou de toute autre arme susceptible, y compris accidentellement, de causer des dommages physiques définitifs ;

Des poursuites judiciaires à l'encontre des responsables politiques ou administratifs (ministres, préfets, commissaires, etc.) qui ont permis, autorisé, ou ordonné ces violences, pour incitation à la commission d'actes de barbarie et de tortures publiques ;

Des poursuites judiciaires à l'encontre des policiers qui se sont rendus coupables de tirs tendus de flashball dans la tête de manifestants ou de tirs de grenades explosives sur les manifestants qui ont entraîné des blessures physiques, dont des énucléations et des mains arrachées (commission d'actes de barbarie et de tortures publiques) ;

Le strict respect de nos droits de citoyens de manifester sans être gazé ou tabassé par des policiers qui se transforment en nervis sanguinaires ;

La création d'une commission d'enquête internationale indépendante des États avec pour mission d'enquêter et d'analyser tous les actes de violence policière ayant entraîné un handicap physique (œil crevé, os cassés, mains déchiquetées, blessures graves, etc.). Cette commission devra comporter une majorité d'ONG étrangères de défense des droits de l'Homme et de lutte contre les tortures et aucune ONG française subventionnée par l'État ou des collectivités territoriales.

 

      Pour signer la pétition nationale qui sera envoyée à tous les députés et sénateurs ainsi qu'à toutes les autorités judiciaires nationales, cliquez sur : 


« Je signe la pétition ».




Violences policières et pudeur médiatique française

En politique, rien n'arrive par hasard. Chaque fois qu'un événement survient, on peut être certain qu'il avait été prévu pour se dérouler ainsi.

Franklin Delano Roosevelt (1882-1945, 32° Président des États-Unis, de 1933 à 1945).

 

Ces inadmissibles violences policières voulues par monsieur Macron et son ministre de l'Intérieur, (ex ?) fréquentation de truands fichés au grand banditisme, Christophe Castaner.

Nous recevons des dizaines de liens vers des vidéos où l'on peut voir des « policiers » qui se transforment an nervis sanguinaires de monsieur Macron et qui « chassent » de simples manifestants inoffensifs avec leurs tirs tendus de flashball à l'origine de nombreuses énucléations.



Ils parquent, gazent et matraquent les manifestants qui ne cassent rien !

Pour voir une scène, comme il y en a des centaines à voir sur YouTube, de parcages, de tabassages et gazages des citoyens français qui manifestent pacifiquement à Toulouse, cliquez sur : « Ils parquent et gazent à Toulouse ».

 

Où sont les casseurs parmi les blessés ou les condamnés en comparution immédiate ?

Une des dernières journalistes exerçant en France et qui refuse de voir son rôle réduit à celui d'agent de la propagande gouvernementale et étatique, Charlotte d'Ornellas, naturellement classée à l'extrême droite par les macroniens, le témoigne : ils ont laissé passer les casseurs et ils les ont protégés !

Pour visionner le témoignage de cette rare journaliste, cliquez sur « Casseurs protégés par la police, le témoignage de Charlotte d'Ornellas »

 

* * * * *

Combien valent l'oeil ou la main d'un jeune homme ou d'une jeune femme pour Emmanuel Macron ?

 

Rien, pas un mot ! Sa police mutile, tabasse, matraque, gaze des gens qui se contentent d'exercer leur droit constitutionnel de manifester contre sa politique, et cela ne mérite même pas de sa part un petit mot lors de ses vœux !

En revanche, les insultes continuent à pleuvoir, les gilets jaunes, dont nous sommes à Libre Consentement Éclairé, ne seraient qu'une « foule haineuse »,

 

Violences policières, vidéos à voir

À Rouen :

Un policier en civil vise la tête à bout portant d'un journaliste pour qu'il cesse de filmer un tabassage.

À voir en cliquant sur « Un policier vise un journaliste à bout portant dans la tête ».

À Paris :

Cliquez sur « Tir de flashball dans les jambes d'un jeune homme ».


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Pour visionner notre vidéo sur la manifestation du 8 décembre 2018 à Paris, cliquez sur :

« Libre Consentement Éclairé à Paris le 8 décembre 2018 »

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