à lâheure où Sky New Australie annonce que « les rumeurs se multiplient à lâéchelle internationale selon lesquelles Obama tire les ficelles à la Maison-Blanche et où des révélations se succèdent à un rythme incroyable sur les deux éléments du couple Obama (cela va sans doute continuer pendant des semaines), nous allons consacrer plusieurs articles à Barack Hussein Obama.
  Afin de porter un éclairage sur le contexte politique actuel des Ãtats-Unis, nous commençons cette série par un article, en deux parties, consacré à des faits qui nous paraissent rendre probable le « risque de guerre civile » dans ce pays.   Risque qui nous semble augmenter considérablement de jour en jour.
  Le risque de guerre civile nâa jamais été aussi réel !
  Plus les jours passent, et plus les rapports de force entre les dizaines de millions de partisans de Donald J. Trump et les dirigeants, anonymes ou non, de « Deep State » semblent se raidir, comme une corde mouillée que lâon tend et qui se trouve en limite de rupture.   Rappelons quâil est usuel de considérer quâaux Ãtats-Unis, « Deep State » (« Ãtat profond »), serait aux mains des dirigeants du Parti démocrate, de ceux quâils ont nommés au DOJ (ministère de la Justice), au FBI, à la CIA, et dans un nombre inconnu de tribunaux et Cours de justice.
  Ce qui semble se jouer, câest la victoire définitive dâun camp sur lâautre.
  Câest un peu comme une partie de poker entre deux joueurs qui ont fait « all in » (« tapis ») en mettant toute leur fortune sur la table.
  Soit les mondialistes au pouvoir arriveront à empêcher Donald J. Trump de se présenter à la future élection présidentielle, aidés en cela par « Deep State », et le risque de guerre civile est réel, tant les dizaines de millions de partisans de Donald J. Trump semblent déterminés à refuser lâabsence de leur candidat à la future élection.
  Soit les mondialistes nâarrivent pas à empêcher Donald J. Trump de se présenter à la future élection présidentielle, et ils seront alors dans une position intenable : « risquer de disparaître à jamais, ou risquer le tout pour le tout afin dâavoir lâespoir de pouvoir continuer à diriger le monde ».
  Et le tout pour le tout, ce serait lâannulation des élections avec lâétat de siège et la suspension de tous les droits constitutionnels des citoyens des Ãtats-Unis pour cause de guerre contre la Russie.   Là également, rien ne dit que les dizaines de millions de partisans de Donald J. Trump lâaccepteraient docilement sans prendre les armes.   Et rien ne dit que la Russie, réellement menacée, nâatomiserait pas Washington, pour commencer, et avant même que les Ãtats-Unis aient pu envoyer le moindre missile sur Moscou.
  Ces deux scénarios sont des scénarios « catastrophes », et nous nâaffirmons pas que lâun ou lâautre se réalisera. Nous disons simplement quâil y a maintenant une probabilité que lâun de ces deux scénarios â ou une de leurs possibles déclinaisons â puisse se réaliser.   Et plus les jours passent, plus cette probabilité semble prendre de lâampleur.
  Mais qui dirige les Ãtats-Unis depuis le 6 janvier 2021 ?
  ⢠Joe Robinette Biden, le Président officiel des Ãtats-Unis, nâest manifestement pas en état de diriger lâadministration des Ãtats-Unis, les forces armées et la politique étrangère.   ⢠Kamala Harris, la vice-présidente officielle des Ãtats-Unis, ne semble avoir aucun rôle, sur aucun plan, dans la prise de décisions de lâadministration « Biden ». De lâavis quasi unanime des observateurs de la vie politique à Washington, son rôle de figurante ne changerait pas si elle devait assurer la présidence en cas de disparition ou dâimpeachment de Joe Robinette Biden.   ⢠à la question : « Mais alors, qui dirige les Ãtats-Unis » ? Ce serait Barack Obama pour de nombreux responsables du Parti républicain et du Parti démocrate, ainsi que pour de nombreux journalistes.
  Une gigantesque fraude électorale organisée par quelques milliardaires mondialistes ?
  ⢠Il nây a quasiment plus une semaine sans que de nouvelles preuves de lâexistence dâune gigantesque fraude électorale lors de lâélection présidentielle de 2020 soient dévoilées.   ⢠Cette fraude semble impliquer directement les organisations dirigées et/ou financées par Mark Zuckerberg, George Soros et Bill Gates.
  Une mesure des rapports de force
  Si lâon utilise les mesures anti-« C19 » que lâadministration Biden tente dâimposer à toute la population comme marqueur des rapports de force entre les partisans du Président Donald J. Trump et les mondialistes, au 8 septembre 2023, cela donne :
  Interdiction des Nazipass « va xi naux »   LâAlabama, lâAlaska, lâArizona, lâArkansas, la Floride, la Géorgie, lâIdaho, lâIndiana, lâIowa, le Kansas, le Missouri, le Montana, le Dakota du Nord, lâOklahoma, la Caroline du Sud, le Dakota du Sud, le Tennessee, le Texas, lâUtah et le Wyoming auraient interdit ces Nazipass.
  Port du masque   La Floride, le Texas, lâArizona, la Caroline du Sud, le Tennessee, lâIowa, le Dakota du Nord et le Montana interdiraient ou limiteraient lâobligation de porter un masque.   Joseph Ladapo, le chirurgien général de Floride conseille de ne pas soumettre aux demandes du port du masque, même en cas dâobligation légale (ce qui signifie quâil recommande aux habitants de Floride de ne pas se rendre dans les lieux qui exigeraient le port du masque)â¦
  Obligations « va xi nales »   LâArizona, lâArkansas, la Floride, la Géorgie, lâIndiana, le Michigan, le Mississippi, le Missouri, le Montana, le New Hampshire, le Dakota du Nord, la Caroline du Sud, le Tennessee, le Texas et la Virginie auraient interdit aux entreprises et aux administrations dâexiger que leurs employés soient « va xi nés ».
  Par ailleurs, 25 Ãtats auraient interdit aux entreprises et aux administrations dâexiger une preuve de « va xi nation » contre le « C19 », quelle quâen soit la raison.
  à suivre⦠|