La chute violente de Stellantis, nouveau signe des déboires du secteur automobile, a fait déraper le marché d'actions parisien. A la clôture, le Cac 40 a lâché 2%, à 7.635,75 points, sa troisième plus forte baisse de l'année. L'arsenal de mesures déployé par Pékin pour tenter de relancer son économie a été relégué au second plan. Tout comme le ralentissement de l'inflation en Allemagne.