| Paris, lundi 19 novembre 2018 • Simone Wapler : Et si le maillon faible du système financier était le plus gros ? Les marchés actions connaissent un rebond peu convaincant, tandis que le marché de la dette commence à montrer des signes inquiétants. Où commencera le prochain krach ? • Bill Bonner : Stagflation nous voilà ! Le cocktail hausse généralisée des prix et absence de croissance échappe aux théories économiques récentes. C'est normal, ces théories sont fausses... • Yann Boutaric : Devenez rentier en appliquant ces stratégies secrètes Une compilation de toutes les meilleures opportunités de revenus dénichées au fil d'années de recherches enfin disponible.
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LES NOTES DE SIMONE WAPLER
| Et si le maillon faible du système financier était le plus gros ?
| Sur les marchés actions, tout semble aller mieux en surface, même si 15 000 milliards de dollars de capitalisation boursière sont partis en fumée depuis le plus haut du tout début de 2018. L'instabilité politique qui augmente aux Etats-Unis et en Europe ne devrait cependant pas améliorer la situation. Mais la valeur de toutes les actions des entreprises cotées dans le monde est-elle une donnée importante ? Lorsque la valeur d'une action chute à zéro, il n'y a que les actionnaires qui prennent des pertes. La chute d'une action ne met pas en danger des banques et des institutions financières. Ce n'est pas la même chose avec la dette, les titres de crédit, qui peuvent mettre en danger le système financier si leur valeur disparaît. Le problème en 2008 venait de la dette et non pas des marchés actions. Banquiers centraux et gouvernements ont prétendu résoudre ce problème de dette en rajoutant de la dette. Ce secret n'a JAMAIS fuité hors de Wall Street... ... Jusqu'à aujourd'hui Il a rapporté des fortunes aux insiders de la finance – et aujourd'hui, vous pouvez en profiter à votre tour. Cliquez ici pour tout savoir. |
Signes inquiétants sur le marché de la dette d'entreprise La dette de General Electric inquiète une partie du marché obligataire, celui des obligations d'entreprises. Ce marché est découpé en plusieurs compartiments mais il pourrait y avoir contagion. Le dessus du panier est dit investment grade. Des titres de dettes de grandes entreprises bien notées par les agences de notation s'y échangent. En fond de panier, on trouve la dette high yield (haut rendement) ou junk bonds (obligations pourries) émises par des entreprises en situation financière critique. La dette de General Electric a tellement chuté dernièrement que les titres émis par le conglomérat ont rejoint le rang des obligations pourries. Autre signe qui ne trompe pas, le prix des CDS concernant GE – les instruments dérivés utilisés par les professionnels pour couvrir les risques de faillite d'un émetteur de dette – se sont envolés. En marge du marché obligataire, on trouve aussi les leveraged loans. Des banques se regroupent pour accorder ces prêts à des sociétés mal notées par les agences de crédit. Le FMI s'est récemment inquiété de la multiplication de ces dettes, qui pèsent 1 300 milliards de dollars. C'est vrai qu'un craquement dans le marché obligataire ou dans celui des leveraged loans pourrait déclencher la prochaine crise. Dans ce cas, les chiffres des pertes potentielles seraient bien plus élevés qu'en 2008. Mais tout le monde pense (ou feint de penser) qu'il n'y a rien que des banquiers centraux ne puissent sauver. C'est oublier que les banques centrales sont elles-mêmes gorgées de mauvais crédits : les dettes souveraines qu'elles ont rachetées pour faire baisser les taux en créant une demande artificielle pour ces titres. Les contribuables, caution des dettes souveraines, ruent dans les brancards Cette demande artificielle subsisterait-elle en cas de nouvel accident dans le système financier ? Prenons le cas de l'Italie. Le gouvernement italien pourrait se voir infliger une amende de trois à quatre milliards d'euros par la Commission européenne dans le cadre de sa procédure de déficit excessif. Mais si l'Italie continue à emprunter sur les marchés financiers comme si de rien n'était, les Grecs, les Espagnols, les Portugais et les Français ne tarderont pas à jeter aux orties toute orthodoxie budgétaire. Le maillon faible le plus important de toute cette pyramide de dettes malsaines est en réalité le plus gros : ce sont les dettes souveraines, réputées sûres au motif fallacieux que les garants sont les contribuables. Mais comme on le voit en France depuis le 17 novembre et l'apparition des gilets jaunes, les contribuables ont l'air de moins en moins d'accord... [NLDR : Si les contribuables renâclent, il faudra bien organiser un jubilé et admettre que les dettes publiques ne pourront pas être remboursées. Une telle opération détruirait une somme d'épargne considérable, bien supérieure à celle que détruirait un krach boursier majeur ne touchant que les actions. Découvrez ici comment protéger votre patrimoine.] | LES NOTES DE BILL BONNER
| Stagflation nous voilà !
| "Ce que j'ai appris à la Réserve fédérale, c'est un nouveau langage appelé 'jargon Fed'. On apprend vite à marmonner avec grande incohérence". – Alan Greenspan, ancien président de la Réserve fédérale Alan Greenspan est en pleine forme. Agé de 92 ans, il était à la télévision cette semaine pour avertir les téléspectateurs qu'"à moins de reprendre le contrôle de la dette", l'enfer se déchaînerait. Greenspan est l'une des personnalités les plus intéressantes de l'économie moderne. Contrairement à ses successeurs, Bernanke et Yellen, il n'est pas un simplet jamais sorti de son université. Il avait autrefois une idée très claire du fonctionnement d'une économie. Il a compris le rôle essentiel de l'or, par exemple, et a averti que l'éliminer du système monétaire américain causerait des ennuis. Voici ce qu'il disait en 1966 : "Tel est le misérable secret des tirades des partisans de l'Etat-providence contre l'or. Les dépenses déficitaires ne sont qu'un plan de confiscation de la richesse. L'or vient entraver ce processus insidieux. Il fait office de protection du droit à la propriété. Si l'on comprend cela, on n'a aucune difficulté à comprendre l'antagonisme des étatistes vis-à-vis de l'étalon-or". Nous l'avons invité dans nos bureaux à Baltimore à la fin 2016. Nous voulions voir s'il avait toujours les idées en place. Mais c'était difficile à déterminer. Habile et évasif, M. Greenspan a résisté aux questions directes. Un vieux renard Dans les années 1970, la carrière de M. Greenspan a pris un virage étonnant. Il a dû voir que la gloire, la fortune et le statut vont rarement aux économistes honnêtes et aux idées claires. Un véritable économiste observe les folies humaines, un sourire narquois aux lèvres... C'est un cynique aux poches vide. Ce n'est pas un politicien, un fonctionnaire, une bonne âme, un vendeur ou un gestionnaire. Et ce n'est certainement pas un faiseur de miracles. M. Greenspan voulait ce qu'un vrai économiste ne peut obtenir – comme par exemple son visage en couverture du TIME. Il savait qu'il ne pouvait pas l'obtenir en disant la vérité. Il a donc marmonné. Mais le vieux renard était parfaitement clair la semaine dernière. Il a averti que nous assisterons à des hausses de taux et une hausse du chômage. La "stagflation", en d'autres termes. Greenspan sur Bloomberg : "On entre désormais dans un système qui n'a aucune issue équilibrée à part l'inflation et aucune croissance de la productivité". L'Agence France Presse en a la confirmation, au moins pour la partie "flation" : "L'inflation des prix à la consommation aux Etats-Unis a connu une petite hausse en octobre, les prix du carburant et de l'électricité grimpant en flèche, parallèlement au coût du logement et des soins médicaux, a rapporté le gouvernement mercredi. L'augmentation des prix à la consommation dans leur ensemble a été la plus importante de ces neuf derniers mois". Et puis est venue cette observation du Washington Post, qui confirme quant à elle la partie "stag" : "La hausse des prix a effacé les maigres augmentations de salaires des travailleurs américains, le dernier signe en date que la robuste croissance économique ne s'est pas traduite par une prospérité accrue pour les classes moyennes et ouvrières. Le coût de la vie a grimpé de 2,9% entre juillet 2017 et juillet 2018, a déclaré le département du Travail vendredi, un taux d'inflation supérieure à l'augmentation de 2,7% des salaires sur la même période. Le 'salaire réel' américain moyen, une mesure fédérale tenant compte de l'inflation, a chuté à 10,76 $ l'heure le mois dernier, soit une baisse de deux cents par rapport à son niveau il y a un an. La stagnation des salaires défie la croissance américaine, qui s'est accélérée l'an dernier et a dépassé les 4% au deuxième trimestre 2018 – le niveau le plus élevé depuis la mi-2014." Un monde gagnant-gagnant Vous vous rappellerez que la "stagflation" était considérée comme impossible. La courbe de Phillips suggérait que l'inflation nourrissait l'emploi. C'est pour cette raison que les autorités courent après une cible d'inflation de 2% plutôt que 0%. Ils pensent que l'argent supplémentaire vient augmenter la demande de consommation... si bien que les gens doivent ensuite se mettre à travailler pour produire des choses à vendre. Ce sont là des sottises, bien entendu. "Les produits sont achetés avec des produits", pas uniquement avec de l'argent, a déclaré Jean-Baptiste Say, grand économiste français du 19ème siècle. Il décrivait le monde réel... le monde gagnant-gagnant. Si vous voulez quelque chose, vous devez donner autre chose en retour. Ce qui signifie que vous devez produire quelque chose à donner – et pas uniquement un bout de papier imprimé. Cette idée fondamentale est au coeur de la civilisation (échanger, partager, coopérer... plutôt que voler). Elle est aussi au coeur du progrès et de la prospérité (plus vous voulez, plus vous devez inventer de produits nouveaux et améliorés). Mais le véritable métier de la plupart des économistes modernes n'est pas simplement de raconter des mensonges apaisants et incohérents ; il consiste aussi à empêcher les gens de voir la vérité. Les lunettes roses ne suffisent pas. Ils visent les yeux... avec des objets pointus, des théories absurdes et des mensonges extravagants. Ils disent aux gens qu'ils peuvent s'enrichir par magie – et viennent augmenter la masse monétaire, abaisser le taux d'intérêt, manipuler les statistiques ou dépouiller les futures générations en accumulant des dettes en quantités obscènes. Fin de bulle Lorsqu'on lui a demandé si la baisse d'impôt pourrait provoquer assez de croissance supplémentaire pour augmenter les revenus fédéraux et réduire les déficits, M. Greenspan a été inhabituellement direct. "Non... aucune chance", l'avons-nous entendu dire. "On obtient un petit 'rebond' au début, mais [dans le cas présent] il est déjà quasiment terminé. Après cela, une baisse d'impôts n'a aucun sens, sauf si l'on est prêt à la 'financer'... c'est-à-dire à réduire les dépenses". "On n'a rien sans rien", aurait-il pu dire, fournissant un slogan bien pratique pour résumer toute notre ère de fin de bulle. Une baisse d'impôts non-financée n'est qu'une arnaque, qui fait passer le fardeau des usines à gaz gouvernementales des contribuables actuels vers les contribuables de demain. L'argent (le produit !) doit venir de quelque part. [NDLR : Ce système est en train d'en arriver à ses limites... et lorsque l'explosion se produira, les dégâts seront spectaculaires. Pour vous, en revanche, cela ouvre des perspectives très intéressantes... et profitables. Cliquez ici pour en savoir plus.] Dans la mesure où notre propre point de vue s'aligne joliment avec celui de l'ancien président de la Fed, alias Alan "Bulles" Greenspan, nous présumons que nous avons tort tous les deux. Mais on ne sait jamais.
| | LES NOTES DE YANN BOUTARIC
| Devenez rentier en appliquant ces stratégies secrètes
| J'ai un message un peu particulier à vous adresser en ce lundi 19 novembre. Je reviens de Baltimore, Maryland, avec un vaste projet qui me tient particulièrement à coeur et que nous avons entrepris il y a plusieurs mois avec l'un de mes confrères américains... Laissez-moi vous expliquer en quelques mots pourquoi nous nous sommes engagés dans la réalisation de ce projet et pour quelles raisons celui-ci devrait vous intéresser... Je fais partie de cette génération que de nombreux spécialistes qualifient de "sacrifiée". Une enquête publiée en 2016 par le quotidien britannique The Guardian démontrait même que la génération Y (personnes nées dans les années 1980 et 1990) était la première à faire face au déclassement social en France, mais aussi aux Etats-Unis, en Allemagne, en Italie ou encore au Canada. Il y a 30 ans, les jeunes adultes gagnaient plus que la moyenne nationale. Aujourd'hui, pour la première fois, leurs revenus sont moins importants que ceux du reste de la population. Pour cette raison, dès mon premier emploi, le mot "retraite" est devenu omniprésent. On me parlait de la façon dont il fallait que je la prépare, on me noyait de prospectus... Bref, on m'a vite fait comprendre qu'il fallait que j'y pense dès maintenant. J'ai trouvé ça d'une tristesse absolue : voilà un jeune homme plein d'énergie, de projets et d'ambition pour l'avenir qui – à peine avait-il mis un pied dans la vie active – se voyait déjà contraint de se projeter vers la fin de sa carrière. Comme j'étais naïf. On met parfois du temps à prendre réellement conscience de la nécessité de préparer sa retraite le plus vite possible – de l'optimiser surtout. Mes grands-parents ont eu une belle vie – portée par les Trente Glorieuses – et donc une retraite plutôt heureuse. Aujourd'hui, ils vivent entre leur appartement lyonnais et leur modeste résidence secondaire dans le sud-ouest, toujours accompagnés de leurs grilles de mots fléchés. Je sais qu'ils font attention à leurs dépenses, qu'ils "se privent". Dans mon imaginaire, la retraite a trop longtemps été associée à une longue période oisive et monotone pendant laquelle on redoublait d'efforts pour tuer le temps en attendant la mort. Et c'est tout ce que je veux éviter. J'aimerais pouvoir en profiter, voyager, créer, entreprendre, être libre de faire ce qui me chante et surtout, surtout, être indépendant. Utopique, pensez-vous ? Peut-être. Pourtant, depuis que j'ai intégré, voilà bientôt quatre ans, les Publications Agora, je réalise chaque jour un peu plus à quel point cet idéal est accessible pour qui bénéficie des conseils les plus avisés. Je mesure ainsi la chance qui m'a été donnée, dès janvier 2015, de collaborer avec des personnalités si singulières, dont les idées nouvelles et les méthodes atypiques ont nourri ensuite mes propres recherches. Je ne vous apprends rien : la diversification est le maître-mot. Mais pour l'utiliser à bon escient, il faut la pratiquer jusque dans les approches, les réflexions, les stratégies. C'est notre grand atout. Forts de notre ancrage international, nous disposons d'un vaste réseau d'experts qui, chacun dans leur domaine, contribuent à la richesse de nos services. Ils ont tous en commun cet attachement viscéral pour la liberté d'action, privilège ultime de l'indépendance. Certains d'entre eux sont devenus pour moi des mentors. Voyez Zach Scheidt, l'un de nos plus brillants confrères outre-Atlantique. Depuis de nombreuses années, il partage avec des centaines de milliers d'Américains abonnés à Agora Financial les nouvelles opportunités de revenus qui apparaissent aux Etats-Unis. Son objectif : aider ses lecteurs à générer les revenus dont ils ont besoin pour profiter pleinement de leur existence, et de leur retraite. C'est également une mission dont je me sens investi depuis janvier 2015 chez Agora et que j'ai poursuivie avec passion dans le cadre de plusieurs publications. Nous avons donc eu l'idée, Zach et moi-même, de rassembler dans un grand livre toutes les meilleures opportunités de revenus que nous avons dénichées au fil de nos années de recherches, de travaux et de rencontres. Nous les avons mises au goût du jour, adaptées, perfectionnées, optimisées. Nous les avons supervisées, en notant chacune d'entre elles selon notre propre barème. Ce livre est unique. Pour la première fois, l'ensemble des stratégies les plus lucratives, éprouvées par les rentiers les plus prospères, se concentre en un seul et même ouvrage : La Bible des Revenus. |
| Vous allez pouvoir en profiter à votre tour, sans pour autant altérer votre quotidien, et parfois presque sans effort. Ne vous en faites pas : vous y trouverez votre compte. Cette Bible des Revenus s'adresse aussi bien à ceux qui souhaitent sortir de l'endettement qu'à ceux qui considèrent avoir suffisamment réussi. J'évoquais en préambule mon cas personnel, mais il n'est jamais trop tard pour régler la mire. Quelle que soit votre génération, ne considérez jamais que le train est passé... ou que vous êtes déjà dans le bon wagon. Dans cette société qui nous pousse à la consommation, notamment en encourageant vivement les crédits, vous devez toujours rester vigilant. Car vous ne pourrez compter que sur vous-même. Ainsi, ce livre ne vous propose pas de laisser dormir votre épargne pour la voir glisser pudiquement vers l'oubli, comme on l'observe chez la majorité des Français. Ce livre vous invite à faire fructifier cet argent en le plaçant dans des actifs générant des revenus. Des revenus fiables, provenant de multiples sources. La Bible des Revenus vous propose 36 stratégies, parmi lesquelles vous pourrez piocher à votre guise, en fonction de votre profil, de votre capital et de vos envies. La Bible des Revenus s'articule en quatre parties distinctes : Gagnez de l'argent grâce aux entreprises Gagnez de l'argent grâce à internet Gagnez de l'argent grâce aux stratégies secrètes des gens riches et avisés Gagnez de l'argent grâce à vos passe-temps Les meilleures actions à dividendes, les sites internet les plus lucratifs, les stratégies les plus confidentielles que les grands de ce monde se gardent bien de nous révéler, les astuces les plus rusées pour capitaliser sans effort sur les passions qui vous accompagnent, et bien plus encore... 36 stratégies pour une retraite prospère et un objectif clair : devenir rentier. Rappelez-vous : c'est la combinaison de toutes ces stratégies qui vous mènera le plus sûrement vers votre idéal de retraite. Bien entendu, chacune d'entre elles fonctionne indépendamment des autres. Mais c'est en oeuvrant de concert qu'elles livreront leurs meilleures performances. Pour découvrir ce livre unique en son genre, vous n'avez qu'une chose à faire : cliquer ici. | Retraite, épargne, fins de mois difficiles... FINI, LES SOUCIS D'ARGENT ! Découvrez 36 Stratégies et Conseils ultra-profitables (et simples) pour vous constituer des revenus automatiques. (La numéro 10 à elle seule pourrait vous rapporter 1 000 € par mois). Cliquez ici pour tout savoir. N'attendez pas, seuls 500 exemplaires sont disponibles aujourd'hui...
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