| Pour recevoir chaque jour notre lettre d'informations, n'oubliez pas d'ajouter news@p.opportunites-technos.com à votre carnet d'adresses. | Paris, 16 Juillet 2019 | ∞ Tesla : y a-t-il un pilote dans l'usine ? ∞ 4000 exoplanètes et des poussières ∞ Facebook fait voler en éclat la barrière des 200$ ∞ L'oscilloscope_ Internet et numérique |
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| Tesla : y a-t-il un pilote dans l'usine ? Par Etienne Henri Nous avons vu hier que le 100 % électrique ne sauvera pas l'industrie automobile. Les acheteurs boudent encore ces modèles dont la progression des ventes en pourcentage masque le fait que, dans l'absolu, leurs nombres restent totalement anecdotiques. Une cartouche n'a pas encore été utilisée par les constructeurs pour relancer les ventes : celle du véhicule autonome. Alors que les marques centenaires rechignent à mettre les premiers modèles sur les routes, Tesla (US88160R1014 – TSLA) profite de leur indécision pour tenter de devenir le leader de la conduite 100 % automatique. Oubliant les obstacles techniques et les accidents impliquant des Tesla, Elon Musk continue de clamer l'arrivée imminente de cette technologie. Un autopilot avant fin 2019, le pari fou de Musk Souvenez-vous : en avril dernier, Elon Musk prétendait que la fonction autopilot des Tesla était en passe d'être achevée, et qu'elle serait déployée en version définitive l'année prochaine. En parallèle de cette annonce, la firme affirmait ne plus avoir besoin de Nvidia pour son matériel embarqué, ayant développé, en interne, des puces d'intelligence artificielle prétendument bien plus performantes. Malgré ces promesses exaltées, l'équipe travaillant sur autopilot était remaniée en catimini dès le mois suivant. Le management fut remercié et les ingénieurs-clés sommés de rendre des comptes directement à Elon Musk. Ces mesures draconiennes ne sont prises dans l'industrie que lorsque les projets sont dans une situation critique – un signe inquiétant quant à l'état de la R&D du projet, surtout lorsque l'on sait qu'Elon Musk a l'habitude de focaliser son attention sur les situations les plus désespérées. Un nouveau coup de théâtre a eu lieu la semaine dernière. De nombreux cadres ont démissionné simultanément : selon Forbes, ce sont près de 10 % des effectifs qui auraient décidé de claquer la porte. Avec une équipe sans chef, et désormais amputée de ses meilleurs éléments, difficile de croire que le calendrier de finalisation de l'autopilot sera respecté. Vous pensez que, dans ces conditions, l'entrepreneur devrait faire son mea culpa et annoncer une nouvelle date de mise en service plus réaliste ? Ce serait bien mal connaître Elon Musk et son goût pour la provocation. | Un utilisateur de Tesla testant l'autopilot et le diffusant sur Twitter. Source Twitter / @Boogie2988. Cliquez pour voir la vidéo.
| L'ultime bluff d'Elon Musk Face à ces revers en série, dans un contexte particulier pour Tesla qui n'arrive toujours pas à atteindre la rentabilité promise malgré les bonnes ventes de son Model 3, Elon Musk n'a pas fait acte de contrition. Au contraire, l'entrepreneur en série est allé encore plus loin dans la surenchère en annonçant la prochaine fin des Tesla bon marché pour les particuliers. | "Soyons clairs, les consommateurs pourront toujours acheter des Tesla mais le prix sera bien plus élevé, dans la mesure où les véhicules autonomes qui peuvent remplir le rôle d'un robot-taxi apportent bien plus de valeur qu'une voiture classique." Source : Twitter
| La menace est à peine voilée : lorsque Tesla aura terminé la R&D sur la voiture autonome, pas question d'offrir aux particuliers de la valeur ajoutée supplémentaire. Les domaines où les véhicules autonomes seront les plus valorisés imposeront leurs prix, et les prix publics des Tesla s'aligneront à la hausse. Avec une telle provocation, Elon Musk fait un appel du pied aux acheteurs potentiels de Tesla qui seraient encore indécis. En agitant la perspective d'une hausse drastique des tarifs dès 2020, il espère donner un coup de fouet aux ventes de Model 3 sur l'année 2019. Nous verrons dans les prochains jours si les actionnaires de Tesla et la SEC, qui surveille avec attention les tweets parfois à la limite de la légalité de Musk, apprécient cette annonce fracassante sortie du chapeau. Plus important : nous verrons si les acheteurs européens mordent à l'hameçon et se ruent comme un seul homme sur les Tesla cette année. Si cette technique de vendeur de foire venait à échouer, les ventes européennes de Tesla devraient être similaires à celles des autres véhicules électriques plus classiques, et se compter au maximum en dizaine de milliers d'exemplaires. L'industrie automobile resterait, avant l'arrivée d'une conduite autonome effective, dans son purgatoire encore une année de plus. Pour les constructeurs historiques, cela signifierait une stagnation, certes gênante mais non catastrophique, du chiffre d'affaires. Pour Tesla, dont la survie ne tient toujours qu'à un fil, chaque trimestre de retard dans l'arrivée de l'autopilot se payera cher. | Le cours de l'or... multiplié par SEPT ? C'est en tout cas l'objectif fixé par Jim Rickards si cet événement se produit : cela mettrait le prix de l'once à... plus de 8 700 $. Ce n'est pas tout : Jim a identifié deux autres manières de profiter d'un bouleversement qui est en train de se produire au moment même où vous lisez ces lignes. Pour tout savoir, cliquez ici. |
| En bref_ 4 000 exoplanètes et des poussières. La NASA vient de publier une carte qui fait apparaître les formidables progrès de l'exploration spatiale depuis 30 ans. Elle met en scène les exoplanètes, c'est-à-dire les planètes en dehors de notre système solaire, découvertes depuis 1991. De 0 à plus de 4 000 ! Si nous ne pouvons pas encore quitter notre système solaire et que nous envisageons à peine d'installer des bases sur la Lune, grâce aux télescopes spatiaux, dont la liste est désormais impressionnante, nous pouvons déjà sonder très loin les recoins de la galaxie. | Accédez à la vidéo de la NASA | Facebook fait voler en éclat la barrière des 200 $. L'action Facebook n'en finit plus de grimper. Elle est à 15 $ de rejoindre ses plus-hauts du 25 juillet 2018, date à laquelle elle avait dévissé de 20 % en un jour, suite à la présentation de résultats jugés décevants – alors même qu'ils ne l'étaient pas vraiment. Nous sommes exactement dans la même configuration. La présentation des résultats est attendue le mercredi 24 juillet. Comme nous vous le disions en début d'année, il était bien peu probable que l'action ne remonte pas. Ceux qui nous aurons écouté et aurons tenu bon jusqu'à aujourd'hui seront à la tête d'une plus-value de plus de 40 %. Pas mal. Le même scénario pourrait-il se répéter ? Difficile à dire. Pourtant, le ciel semble se dégager pour Facebook : un accord aurait été trouvé avec la commission fédérale du commerce (FTC) américaine pour une amende de 5 Mds$, ce qui est à peu près ce que l'entreprise a provisionné lors du dernier trimestre. Le projet Libra est désormais en route et malgré toutes les levées de bouclier des gouvernements dont celui des Etats-Unis, il est probable qu'il voit le jour. Reste le problème d'un éventuel démantèlement qui pourrait sérieusement affaiblir Facebook, mais nous en sommes loin. | L'oscilloscope_ Internet et numérique |
| Semaine ensoleillé du côté de l'indice QNET avec une progression de 2,28 %. Brightcove (BCOV) a bondi de plus de 10 % dans la semaine. Brightcove est un fournisseur de solutions multimédia dans le cloud qui propose des services pour gérer l'engagement des internautes. Outre l'hébergement de vidéos, il propose toute une suite pour optimiser ses revenus, la diffusion sur les réseaux sociaux et analyser les comportements. Il semble que la raison du décollage de l'action cette semaine soit la signature d'un contrat avec la superstar de Bollywood, Shilpa Shetty, qui a choisi la plateforme pour héberger ses vidéos de fitness... Pour autant l'entreprise créée en 2004 n'est toujours pas rentable et son chiffre d'affaires, d'un montant de 165 M$ en 2018, ne croît que de 7 à 8 % par an. LivePerson Inc. (LPSN) connaît également une très belle croissance cette semaine. L'entreprise est spécialisée dans les agents conversationnels – les chatbots – et vend des services à 360° aux entreprises. Dopée à l'intelligence artificielle, sa solution gagne en attractivité et elle compte des clients prestigieux comme Lancôme ou Vodafone. Les chatbots de l'entreprise peuvent s'intégrer dans de nombreuses messageries comme WhatsApp, Facebook Messenger ou Apple Business Chat. L'entreprise est en train de se développer agressivement et certains analystes prévoient une croissance de 20 % en deux ans, ce qui lui permettra d'atteindre une marge bénéficiaire. Le commerce conversationnel a vraiment décollé en 2017 et le secteur doit connaître une croissance annuelle moyenne de 28 % pour les dix années à venir. 80 % des entreprises devraient disposer d'un chatbot en 2020... Le secteur devrait représenter un chiffre d'affaires de presque 1 Md$ en 2024. Mais le secteur est très encombré et la bataille sera rude. Enfin Opera Ltd (OPRA), le navigateur alternatif, continue son développement notamment en Afrique où il est le second navigateur le plus utilisé. E.R. | | Soigner avec du cannabis ??? Investissez avant le 16 juillet ! Alors que la France découvre le cannabis thérapeutique, il est encore temps d'investir dans ces biotechnologies que nous recommandons depuis 2 ans et qui pourraient améliorer la vie de millions de patients ! Et qu'un catalyseur puissant arrive le 16 juillet ! Découvrez les 3 valeurs qui pourraient faire de vous un millionnaire |
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