Dans son discours prononcé le 23 août 2024 à Glendale (Arizona), Robert Kennedy Jr explique qu’il a quitté le Parti démocrate en raison des renoncements aux valeurs démocratiques [et républicaines] de ce parti, ce qui est également le cas de tous les partis politiques français représentés à l’Assemblée nationale.
Rien que pour l’énumération de ces renoncements, ce discours devrait être enseigné dans les écoles en France, dès la maternelle…
L’arme parfaite au service de la détérioration définitive du système immunitaire des enfants et des adultes : les « va x ins »
Mais ce n’est pas le seul intérêt de ce discours, car Robert Kennedy Jr explique également comment, en quelques décennies, la santé de la population aux États-Unis s’est incroyablement dégradée.
Et cette dégradation, et l’on comprend, même si Robert Kennedy Jr ne le dit pas, qu’elle est voulue, organisée et mise en œuvre par les milliardaires adeptes de la dépopulation de la Terre qui possèdent, non seulement Big Pharma, mais également toute l’industrie alimentaire.
Le processus politique qui a permis cette incroyable dégradation de la santé de la population aux États-Unis a été « sacralisé » en 1986 avec l’adoption de la « National Childhood Vaccine Injury Act » (« NCVIA »), qui est la scandaleuse loi d’exonération de responsabilité des laboratoires pharmaceutiques pour les effets secondaires des vaccins aux États-Unis. Cette loi a été signée par le Président Ronald Reagan le 10 novembre 1986, lors de son deuxième mandat qui s’est achevé le 20 janvier 1989, jour de la prestation de serment de George H.W. Bush comme nouveau Président des États-Unis.
Rappelons qu’en 1986, les « Centers for Disease Control and Prevention » (CDC) pour les enfants avant l'entrée à l'école ne concernaient que 7 « va x ins » : - Diphtérie, Tétanos, et Coqueluche (DTP), - Polio (IPV ou OPV), - Rougeole, Oreillons, et Rubéole (MMR).
90 doses de poisons pour les enfants
En 2024, les recommandations des CDC en matière de « va x ins » de routine (hors « C19 », « Monkey Pox, etc.) sont de : - pour les enfants, 90 doses de 17 « va x ins » combinés (contenant plusieurs antigènes) - pour les femmes enceintes, 4 doses de 4 « va x ins » combinés (contenant plusieurs antigènes) - pour les adultes, à 79 ans, s’ils appliquent ces recommandations, ils auront été injectés avec 130 doses de 4 « va x ins » combinés (contenant plusieurs antigènes)
« Mettre fin à l’épidémie de maladies chroniques qui détruit la santé des Américains et ruine notre économie »
Pour les jeunes générations qui ont été habituées depuis les années 1990 à voir des obèses un peu partout aux États-Unis (et depuis les années 2000 en Europe), il suffit de visionner des films produits par Hollywood dans les années 1970-1980, comme « Saturday Night Fever » (« La fièvre du samedi soir »), film sorti sur les écrans en 1977, pour se rendre compte de la réalité que recouvrent les propos de Robert Kennedy Jr, pour qui cette dégradation de la santé de ses concitoyens n’est pas le fruit du hasard.
En déclarant « Il faut mettre fin à l’épidémie de maladies chroniques qui détruit la santé des Américains et ruine notre économie », Kennedy cite un de ses conseillers, également conseiller de Trump, qui a exposé « la corruption insidieuse » des agences fédérales en charge de la protection de la santé des citoyens des États-Unis (FDA, NIH, HHS, USDA), corruption responsable de cette épidémie de maladies chroniques.
Les agences fédérales corrompues que cite Robert Kennedy Jr jouent toutes un rôle clé dans la régulation et la promotion de la santé, de la sécurité alimentaire, et du bien-être des citoyens aux États-Unis : - La FDA (Food and Drug Administration) La FDA est l’Agence du gouvernement fédéral des produits alimentaires et médicamenteux. Elle est chargée de la régulation des aliments, des médicaments, des produits biologiques, des dispositifs médicaux, des cosmétiques, des produits du tabac et des produits vétérinaires aux États-Unis. Officiellement, la FDA veille à la sécurité, l'efficacité et la sûreté de ces produits avant qu'ils ne soient commercialisés. En réalité, depuis la présidence de Bill Clinton, il s'agit d'une agence politique aux mains des démocrates et dont les dirigeants sont grassement rémunérés par Big Pharma. Occuper un poste à responsabilité à la FDA vous assure de devenir rapidement multimillionnaire et d'être ensuite employé par un grand laboratoire pharmaceutique. -Les NIH (National Institutes of Health) Les NIH sont les Instituts nationaux de la santé des États-Unis. Il s’agit d'une agence du gouvernement fédéral officiellement responsable de la recherche biomédicale et de la santé publique. Les NIH sont composés de plusieurs instituts et centres de recherche, chacun se concentrant sur des domaines spécifiques de la santé, tels que le cancer, les maladies cardiaques, et les maladies infectieuses. - Le HHS (Department of Health and Human Services) Le HHS est le Département de la Santé et des Services sociaux des États-Unis. Il s’agit de l'agence gouvernementale officiellement responsable de la protection de la santé de toute la population des États-Unis et de la fourniture de services humains essentiels, en particulier pour ceux qui sont les plus vulnérables. Le HHS supervise des agences telles que la FDA et les NIH. - L’USDA (United States Department of Agriculture) L’USDA est le Département de l’Agriculture des États-Unis. Cette agence fédérale est officiellement responsable de la mise en œuvre des politiques agricoles, forestières, rurales, et alimentaires. L’USDA est censé travailler sur la sécurité alimentaire, la nutrition, l’agriculture, le développement rural, et la conservation des ressources naturelles. En réalité, c’est également une agence politique aux mains des démocrates et dont les responsables sont à la botte de l’industrie agroalimentaire, en particulier de l’industrie de la transformation des produits alimentaires.
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L’accord qui terrorise nos ennemis mortels
L’accord qui est officiellement conclu entre Kennedy et Trump remet très sérieusement en cause le pouvoir de « Deep State », et il terrorise les démocrates et leurs sponsors milliardaires adeptes de la dépopulation de la Planète via l’Agenda 2030.
Avant d’énumérer l’invraisemblable, Robert Kennedy Jr raconte comment il en est venu à se rapprocher de Donald J. Trump et, surtout, pourquoi il accepte de rejoindre son équipe (Trump lui suggéra d’unir leurs forces en tant que « parti de l’unité » des citoyens opposés à la guerre, à la censure, à Big Pharma, à l’industrie agroalimentaire et à « Deep State »…
« J’ai été surpris de découvrir que nous sommes alignés [Robert Kennedy Jr et Donald J. Trump] sur de nombreuses questions clés » déclare-t-il avant d’énumérer les points d’accord entre eux [ce que lui ont refusés les dirigeants du Parti démocrate et de la campagne de Kamala Harris) : - la fin des guerres éternelles - la fin de la guerre en Ukraine - la fin de l’épidémie des maladies infantiles - la sécurisation des frontières - la protection de la liberté d’expression - la fin de la mainmise des entreprises sur les agences de régulation (Kennedy fait référence à la FDA, au NIH, au HHS et à l’USDA) - l’interdiction pour les agences de se livrer à des activités de propagande, de censure et de surveillance des citoyens des États-Unis et d’ingérence électorale
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Le ralliement de Robert Kennedy Jr à Donald J. Trump génère un immense espoir chez les défenseurs de nos droits d’êtres humains et de nos libertés fondamentales, mais ne l’oublions pas, les milliardaires adeptes de la dépopulation de la Planète ne peuvent pas se permettre de perdre la partie avec l’élection du Donald J Trump.
Ne l’oublions pas également, si les milliardaires adeptes de la dépopulation de la Planète ne peuvent pas se permettre de perdre la partie, nous non plus… |