| A la Une : Restaurants et entreprises du bâtiment : le Gouvernement fait le point sur les aides maintenues Depuis de nombreuses semaines, plusieurs UMIH départementales ont finalisé une convention avec leur préfecture, la Fédération Française du Bâtiment (FFB), la Confédération de l'Artisanat et des Petites Entreprises du Bâtiment (CAPEB) ou encore la Fédération Nationale des Travaux Publics (FNTP) pour permettre de faire déjeuner les salariés du bâtiment dans nos établissements. Après diverses informations contradictoires sur les conséquences de cet accueil, l’UMIH avait sollicité le cabinet de Bruno Le Maire et les services de Bercy pour obtenir une réponse claire sur le maintien ou pas des aides pour ces restaurants qui accueillent des clients. Cette semaine, Agnès Pannier-Runacher, ministre chargée de l'Industrie, a déclaré à l’Assemblée nationale que les restaurants continuaient à bénéficier à plein titre des aides à la restauration. Les restaurants qui s’engagent dans cette démarche restent éligibles à l’activité partielle prise en charge à 100 %, aux exonérations de charge ou encore au fonds de solidarité. Cependant, un dernier point nous inquiète concernant le fonds de solidarité et mérite encore éclaircissements. Car selon nos informations, l’Etat ne considérerait plus ces restaurants comme fermés administrativement. Il leur faudrait donc justifier de la perte de 50 voire 70% de leur chiffre d’affaires pour bénéficier du même régime d’indemnisation que les autres : soit à hauteur de 10 000 euros soit 20% de leur chiffre d’affaires. En outre, il leur faudrait intégrer dans le chiffre d'affaires du mois de décembre 2020 leurs ventes à distance, ventes à emporter ou livraison. Cela n’est pas notre lecture et certainement pas notre intérêt ! Voir le question/réponse avec Madame Pannier-Runacher |
| Appel à réouverture des restos le 1er février : la position de l'UMIHDepuis des semaines les professionnels voient circuler sur les réseaux sociaux à un appel à ouvrir en février malgré la fermeture administrative des établissements. L’UMIH en tant qu’organisation responsable ne peut soutenir une opération de désobéissance civile qui mettrait en péril les restaurateurs. Cet acte pourrait entraîner des amendes mais aussi des fermetures administratives plus longues que ce que la crise du covid-19 impose et la suppression des aides pour les établissements. L’UMIH entend et partage la colère et le désespoir face à cette stigmatisation de nos métiers et continue de se mobiliser pour le maintien des aides jusqu’à la fin de l’épidémie mais aussi pour les faire évoluer afin de sauver un maximum d’entreprises et d’emplois. |
| Le GNC, le GNI et le SNRTC et l’UMIH annoncent travailler sur un rapprochement en vue de la création d'une nouvelle et unique organisation patronale du secteur La crise sanitaire a démontré : - que l’ensemble du secteur HCR avait la capacité de s’exprimer d’une seule voix pour défendre ses intérêts devant les pouvoirs publics.- que la diversité de la profession (chaines, indépendants, hôteliers, restaurateurs, traiteurs organisateurs de réceptions, établissements de nuit) constituait une force. - que l’union de tous les acteurs, quelle que soit leur structure, apparaissait comme un gage de responsabilité et d’efficacité vis-à-vis des acteurs institutionnels comme des adhérents des organisations. Fort de ce constat, le secteur, à travers ses quatre organisations représentatives (UMIH – GNI-GNC - SNRTC), considère que le moment est favorable pour travailler à sa consolidation et parvenir à s’unir au sein d'une même organisation patronale. Lire le communiqué de presse |
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