« Un dialogue à distance qui donne à entendre les récits familiaux interdits ».

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Adèle Bréau en signature à la Librairie Saint-Pierre, le 5 juin

📖 Djamel Cherigui lors du lancement de son nouveau roman Le Balato à Paris.


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Lancement du roman et de la série

𝙇𝙚𝙨 𝙋𝙖𝙥𝙞𝙡𝙡𝙤𝙣𝙨 𝙣𝙤𝙞𝙧𝙨


Les Papillons noirs

 

🦋 Retour sur le lancement du roman et de la série 𝙇𝙚𝙨 𝙋𝙖𝙥𝙞𝙡𝙡𝙤𝙣𝙨 𝙣𝙤𝙞𝙧𝙨

 

Quand la fiction devient réalité :

💥L'auteur Gabriel Katz et l'acteur Nicolas Duvauchelle, aka Mody dans la série, se sont réunis pour une séance de dédicace exceptionnelle à la Librairie ICI, suivie de la projection des premiers épisodes de la série d’Arte.

 

👉 Découvrez les images de cette rencontre inouïe.

 

Abdourahman A. Waberi : Des lettres pour panser.

Dis-moi pour qui j'existe ?



Voix francophone majeure de la corne de l’Afrique, Abdourahman A. Waberi continue son travail de mémoire autour de l’enfance et de l’exil avec Dis-moi pour qui j’existe ? Récit épistolaire liant un père doutant à sa fille malade, ce roman en forme de dialogue à distance donne à entendre les récits familiaux interdits, les stigmates de la maladie et l’intime caché dans les récits que se partagent parents et enfants.


Faire de la grisaille de l’enfance une mine d’or. Dans son premier roman depuis l’obtention de la Grande Médaille de la Francophonie, l’auteur franco-djiboutien Abdourahman A. Waberi s’attaque avec douceur à la question de la rémission face à la douleur physique et mémorielle. Par l’emploi du genre épistolaire, il nous invite à réfléchir sur le pouvoir guérisseur de la transmission et la possibilité d’un dialogue apaisant entre générations.


Laisser parler la mémoire du corps


En s’aventurant dans l’écriture de notes autour de la maladie de sa fille de 6 ans, Aden Robleh ne pensait pas s’engager dans un fertile travail d’excavation autour de sa propre mémoire. L’hospitalisation de la jeune Béa, toutefois, n’a laissé d’autre choix à cet ancien enfant victime de la polio. Il lui fallait affronter ses souvenirs claudiquants pour ne plus fuir le réel. Soufflée par un soignant dès l’ouverture du livre, l’idée de l’écriture prend immédiatement une forme douce et thérapeutique ; comme si les soignants, ces anges s’occupant de la jeune Béa, avaient senti que l’esprit abattu avaient besoin d’autant d’attention que le corps affligé. Commence alors un dialogue autour de la maladie, où chacun se révèle progressivement dans la parole et dans l’écoute. Dans son grand tumulte, la souffrance fait sortir de terre une matière brute que les liens familiaux changent en or. La question que nous pose l’auteur en titre se change alors en réponse, dans une longue marche vers la répit pavée d’encouragement, de mots tendres, de rires et de révélations.


Des rivages qui se répondent


En faisant dialoguer deux mondes séparés par l’Atlantique, c’est finalement un troisième qu’invite Abdourahman A. Waberi ; celui d’une enfance djiboutienne vécue dans la souffrance, émaillée de trop nombreux secrets et de trop nombreux silences. En laissant s’échapper les fantômes enfouis en Aden Robleh, l’auteur nous démontre le formidable pouvoir de l’écriture, qui remet de l’ordre dans les pensées et du calme dans les existences. Elle accompagne sur le chemin, tout en offrant la possibilité d’un retour, pour qu’enfin soit affrontée la mémoire des peurs et des pertes. Les voix jamais entendues, celles du pardon, de l’oubli et de la guérison mutuelle, se font soudainement plus claires que celles de la crainte. En explorant la possibilité d’une rémission face au traumatisme, Dis-moi pour qui j’existe ? questionne les origines de nos faiblesses face à la maladie et au choc du déracinement. Et nous invite dans un geste apaisant à penser les maux autant qu’à panser leurs blessures.


Yves Czerczuk

 

Festival Livres dans la boucle

à Besançon

 
 

Du 17 au 18 septembre, à partir de 10h, rendez-vous au Festival Livres dans la Boucle à Besançon avec Isabelle Desesquelles, Sandrine Collette, Sophie de Baere, Nicolas Lebel et Djamel Cherigui, pour des rencontres et séances de dédicace.


Samedi 17 septembre : 

De 11h à 11h45, café littéraire « Face au miroir » avec Isabelle Desesquelles, Lionel Duroy et Maria Larrea.

A 15h, café littéraire « Polar : crimes insulaires » avec Nicolas Lebel et Nicolas Beuglet. 

A 15h30, rencontre sur le thème « Le cœur des pères », avec Sandrine Collette et Bérengère Cournut. 

A 16h45, moment privilégié avec Sophie de Baere au café littéraire. 

Dimanche 18 septembre :

A 11h30, moment privilégié « derrière le comptoir » au bar Killarney, avec Djamel Cherigui. 


Place de la Révolution
25056 Besançon

 

Nos nouveautés ✨


Un appel pour Charlie Barnes
Bouddhisme, la loi du silence
Dans les flammes
Les Portes étroites
 

À la semaine prochaine ! 😉


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