Une décision difficile Lettre du 21 mai 2019 Pour télécharger cette lettre, cliquez sur « Une décision difficile »
Madame, Monsieur, Chère amie, Cher ami, La décision a été difficile à prendre, les réunions du « bureau » de Libre Consentement Éclairé des mois d'avril et mai parfois animées, mais, finalement, et avec une absence totale d'enthousiasme, nous nous sommes résolus à ne pas présenter de liste aux élections européennes de cette année. Les raisons ? Elles sont liées au nombre de listes présentes (34) et au phénomène social des « gilets jaunes » qui risquaient fortement de nous rendre inaudibles. En effet, nous n'avons pas réussi à faire de la liberté thérapeutique et de la fin et de cette criminelle (le mot est loin d'être excessif) obligation vaccinale, un enjeu politique et social majeur. Nous n'avons pas réussi à partager nos connaissances sur ces questions en dehors des cercles d'initiés qui sont déjà convaincus que nos libertés fondamentales sont violées, que la liberté thérapeutique a été sacrifiée sur l'hôtel des profits de l'industrie pharmaceutique chimique et que l'obligation vaccinale et une monstruosité. L'unanimité s'est obtenue sur le fait que nous risquions tous de dépenser beaucoup d'énergie, d'argent et de temps pour un résultat politique et électoral nul. Toutefois, même si nous sommes quelque peu démotivés, nous restons convaincus que nous devons nous lancer dans les batailles politiques si nous voulons que notre cause l'emporte. Ne doutons pas un instant que si nous n'arrivons pas à mobiliser politiquement nos concitoyens, afin que soient sacralisées, inscrites dans une nouvelle Constitution, la liberté thérapeutique et la fin de l'obligation vaccinale, notre combat est vain, voire inutile. Que faire aux élections du 26 mai prochain ? Dans la mesure où ne présentons pas de liste, la question s'est posée de savoir si nous appelions à voter pour une liste ou pour une autre. Sur ce point, il y a eu également consensus. Dans la mesure où il revient à chacun de décider de son vote sans avoir à en rendre compte à quiconque, nous n'avons pas à appeler à voter pour telle ou telle liste. Cela étant dit, à ce sujet les discussions furent encore animées et plusieurs tendances se sont exprimées (en tenant compte du fait que ces élections ne concernent pas directement la politique suivie dans notre pays). Un consensus s'est également dégagé sur le fait qu'aucun membre du bureau ne votera pour une liste affiliée à un parti politique ayant soutenu l'obligation vaccinale ou s'étant prononcé en faveur de cette dernière. Cela concerne, pour les principales listes : - La liste du Parti Socialiste (Place publique et autres) ;
- La liste de la France Insoumise (Jean-Luc Mélenchon s'est prononcé pour l'obligation vaccinale) ; - La liste EELV (souvenons-nous des lamentables propos de Michèle Rivasi qui pour conserver son siège a venté la vaccination) ; - La liste Renaissance (Macron, la REM) ; - La liste de Benoit Hamon (Génération S et autres) ; - La liste du Parti Communiste ; - La liste d'Union de la droite et du centre (les Républicains). Ensuite, trois tendances se sont dégagées de nos discussions. La tendance « Vote utile », considère que l'enjeu de ces élections ne réside que dans la possibilité d'infliger une défaite au président Macron et à sa liste, afin que cette dernière n'arrive pas en tête et qu'elle fasse le moins de votes possible. La tendance « Vote philosophique », considère qu'il faut donner son vote à la liste qui porte au mieux ses idées philosophiques et politiques. La tendance « tous pourris », considère qu'il vaut mieux s'abstenir et aller à la pêche. Alors, je ne sais si cela peut permettre d'y voir plus clair à ceux qui, comme moi, ont du mal à savoir ce qu'ils vont faire le 26 mai, mais je tiens à rappeler qu'il revient à chacun de décider de son vote, sans avoir à en rendre compte à quiconque. Bien cordialement à tous. Patrick Ledrappier Président de Libre Consentement Éclairé ***** Les mots qui dérangent de Pierre Lefevre. Pierre Lefevre a la plume alerte et parfois acide. Il milite depuis des décennies contre les injustices sociales et pour la liberté thérapeutique et la liberté vaccinale (bien qu'il ne comprenne pas que l'on puisse inoculer à des nourrissons les substances toxiques qui composent les « vaccins »). Ces détracteurs le classent parfois à l'extrême droite, parfois l'extrême gauche. Lui il se contente de dire que la vérité et la justice ne sont ni de droite ni de gauche et de rappeler qu'un de ces homonymes a été le premier à lancer à la radio « Ici Londres, les Français parlent aux Français ». Il considère que notre pays est aujourd'hui occupé, non par les nazis, mais par des politiciens et des hauts fonctionnaires qui ne pensent qu'à leurs intérêts personnels et contre lesquels il faut lutter et résister pour imposer une nouvelle Constitution qui donne le pouvoir aux citoyens à travers le Référendum d'Initiative Citoyenne. ***** Les « fakenews » du Conseil d'État et la victoire des laboratoires pharmaceutiques et de leurs « employés » de l'État français face à l'IPSN (Institut de Protection de la Santé Naturelle) et à la LNPLV (Ligue Nationale Pour la Liberté des Vaccinations). Après le Conseil Constitutionnel, la plus haute juridiction administrative française vient de clore la question de la vaccination obligatoire ainsi que celle de la présence d'aluminium dans certains vaccins : tout est normal, circulez, il n'y a rien à voir ! « Si des enfants souffrent et meurent à cause des vaccins, c'est rare, et ce serait de toute façon au nom du bien commun ! », « L'aluminium dans les vaccins, il n'y a rien de plus inoffensif à injecter dans le corps de nourrissons de deux mois », semblent affirmer ces braves conseillers d'État dont on se demande s'il leur reste une once d'honnêteté intellectuelle dans le cerveau ou s'ils sont nés comme ça. N'ayant pas eu accès aux différents écrits des avocats qui ont plaidé ces justes causes, nous aurons l'élégance de ne pas suggérer que ce n'est pas à la médiocrité de leur travail que l'on doit ces défaites définitives. Je me permets cette précision en souvenir du classement sans suite de notre plainte pénale, parfaitement justifiée en faits et en droit, et dont nous avions rendu publics tous les documents, pièces et conclusions comprises. En effet, après ce scandaleux classement, certains avocats associatifs « amis », avaient eu la délicatesse d'affirmer haut et fort, ou alors sournoisement, que ce revers judiciaire était normal, car notre plainte était « mal formulée ». Qu'avec eux aux manettes nous aurions vu ce que nous aurions vu et que d'ailleurs nous allions voir. Ce qui est maintenant fait. Précisons que la saisine du Conseil d'État contre la présence de l'aluminium dans les vaccins a été signée par plus de 3000 personnes. Il semble que rien ne puisse changer la donne. Toutefois, à la lecture des arrêts, il semble certain que rien ne pouvait changer la donne. La décision de la plus haute juridiction administrative française aurait été en faveur de monsieur Macron et des laboratoires pharmaceutiques qui financent, mondialement, politiciens, hauts fonctionnaires et pseudo-experts chargés de leur communication commerciale. Il est inutile de vivre dans l'illusion. L'abomination de la vaccination obligatoire et la mise à mort de la liberté thérapeutique, dont l'homéopathie est la prochaine victime, ne peuvent s'imposer chez nous que parce que tout l'appareil d'État est d'accord. Non seulement l'appareil d'État, mais avec lui les médias aux ordres et subventionnés (alors qu'ils sont la propriété de millionnaires et de milliardaires). Ajoutons à ce triste tableau l'opposition politique parlementaire, surtout celle dite de « gauche », qui semble inféodée aux laboratoires pharmaceutiques au nom de la « Science » (qu'importe pour eux, que ce mot recouvre en vaccinologie des pratiques qui n'ont, elles, rien de scientifique). Alors que les données scientifiques sérieuses devraient obliger les États à suspendre toute vaccination (avant de faire procéder à de réelles études sur la dangerosité des produits utilisés), en France, Emmanuel Macron a imposé l'obligation vaccinale, voulue avant lui par François Hollande qui est surnommé à Manille « Le tueur d'enfants » (en référence au vaccin français contre la dengue qu'il est allé vendre là-bas et qui a tué plus de 150 d'entre eux en quelques mois). La décision du Conseil d'État : un florilège de fakenews (fausses informations) sert de base légale ! Ce qu'il y a de très inquiétant dans ces arrêts, c'est le nombre de « contre-vérités », ou « fakenews », sur lesquelles s'appuient les conseillers pour rendre leurs décisions. Que des juges transforment des mensonges éhontés en vérité et qu'ils prennent des décisions définitives, qui mettent en danger la santé et la vie de nombreux enfants, pour le seul profit des actionnaires des laboratoires pharmaceutiques a de quoi faire peur et fuir ! Il y a du souci à se faire et il faut penser sérieusement à trouver refuge dans un pays lointain, là où la vaccination n'est pas obligatoire, la liberté thérapeutique de mise et la justice non corrompue. Juger les vendeurs de morts et les médecins vaccinateurs complices, faudra-t-il instaurer un nouveau Nuremberg ? Nous sommes nombreux à considérer qu'on ne peut pas impunément violer nos droits fondamentaux, la liberté thérapeutique et le libre consentement éclairé (tel qu'il ressort du code de Nuremberg) et qu'il faudrait, à ce titre, instaurer un Nuremberg bis et juger les coupables de ces violations. Devrions-nous également juger ces « juges » du Conseil d'État ? La liste des fakenews reprises par la reporter Camille Bodin sur le site Prévention Santé. Fakenews N°1 : « Une bonne couverture vaccinale provoque une immunité de groupe » « L'objectif de 95% de couverture vaccinale n'a aucune base scientifique, aucune, affirme Didier Raoult, le virologue français qui compte le plus de publications scientifiques, personne n'a jamais démontré une chose pareille. C'est une spéculation sur des modèles mathématiques qui ne prédisent jamais rien. » Tout commentaire semble superflu. Fakenews N° 2 : « Les vaccins en général... » Les conseillers d'État mettent sur le même plan des médicaments spécifiques, ce qu'est chacun des 73 vaccins qu'il faut injecter à des nourrissons entre deux mois et deux ans, et des objets motorisés comme le sont les trains ou les avions (nous reviendrons plus loin sur la question du nombre de vaccins). S'il est en effet possible d'affirmer que les avions, et tous les avions, permettent à tout le monde de voler dans les airs, affirmer que tous les vaccins auraient les mêmes caractéristiques, et les mêmes effets chez tout le monde, est tout simplement d'une idiotie sans nom ! Fakenews n° 3 : « Les 11 vaccins obligatoires sont sûrs ». Première Fake news (mais celle-là est reprise en cur par ceux-là mêmes qui dénoncent la vaccination obligatoire ou la présence de l'aluminium dans les vaccins), s'il s'agit de 11 maladies, il ne s'agit pas de 11 vaccins, mais de 73 selon les décomptes que nous avons effectués, ou alors il faut revoir totalement la définition que l'on donne au mot vaccin. Deuxièmes fakenews, Rappelons que les notices des vaccins des laboratoires pharmaceutiques mettent en garde contre de nombreux effets indésirables, y compris très grave, et que toutes les analyses de vaccins effectuées aux USA ou en Italie ont révélées la présence de nombreux toxiques dans les vaccins (jusqu'à 232 substances autres que l'antigène). Fake news n° 4 : « Les 11 vaccins obligatoires sont efficaces » « Ces vaccins présentent une très grande efficacité, allant jusqu'à 100 % pour certaines maladies, et leurs effets indésirables sont limités au regard de leur efficacité et des bénéfices attendus ». Pour se moquer d'eux et de ceux qui les croyaient, Coluche avait repris le slogan d'une marque de lessive qui affirmait laver plus blanc que blanc. Le Conseil d'État ne vend pas de lessive, mais il prête aux vaccins des qualités inconnues des fabricants eux-mêmes. Certains de ses membres influents seraient-ils actionnaires de laboratoires pharmaceutiques vendeurs de vaccins (pourquoi ne pas se poser la question) ? Fakenews n° 5 : « Les 11 vaccins obligatoires sont utiles ». Nous n'avons jamais douté que les vaccins obligatoires étaient utiles aux bénéfices de l'industrie pharmaceutique et au chiffre d'affaires des pédiatres (30% pârait-il). Quant à une éventuelle utilité à la santé publique, c'est tout le contraire. Voire à ce sujet les études réalisées par CORVELVA en suivant le lien : « Des vaccins sans antigène » Pour lire l'article de Camille Bodin, cliquez sur « Les fakenews du Conseil d'État » ***** À propos des « 11 vaccins », cette « fakenews » reprise en choeur par certaines associations qui militent contre l'obligation vaccinale. Il n'y pas que le Conseil d'État qui joue au jeu des « fakenews », certains partisans de la liberté vaccinale s'y prêtent volontiers. Par exemple au sujet du nombre de vaccins qui sont obligatoires par la grâce de monsieur Macron, le gouvernement parle de « 11 vaccins », alors qu'il s'agit en fait de 11 maladies. Mais, 1 vaccin, c'est quoi au juste ? Si l'on s'en tient à l'immunologie, un vaccin est un antigène qui, une fois injecté dans le corps d'un individu, va générer la production d'un anticorps spécifique à cet antigène afin de le détruire. Par exemple, si on inocule à titre vaccinal le virus de la rougeole chez un enfant, ce virus est un antigène qui, une fois injecté dans le corps de l'enfant, est censé provoquer la production d'anticorps par le système immunitaire afin de détruire ledit virus. Donc, s'i l'on injecte 1 virus dans le corps d'un enfant, on lui injecte 1 vaccin. Dans cette configuration, 1 virus est bien le synonyme de 1 antigène qui est lui-même le synonyme de 1 vaccin. Une escroquerie commerciale. Que se passe-t-il maintenant si dans la même injection l'on introduit 2 ou 3 virus (comme pour le vaccin appelé ROR) ? En toute logique, nous devrions parler de 2 ou 3 vaccins en une injection, puisqu'il d'agit de 2 ou 3 virus, donc de 2 ou 3 antigènes, ce qui serait exact et correspondrait à la réalité. Mais non, cela risquerait d'effrayer les parents et les laboratoires pharmaceutiques ont trouvé une parade : ils ne parlent pas du nombre de virus ou d'antigènes présents dans les injections, mais de l'injection. Ainsi, 1 injection est égale à 1 vaccin. Il s'agit d'une tromperie qui a toutes les caractéristiques d'une escroquerie commerciale. Ainsi, les firmes pharmaceutiques ont réussi à fausser la terminologie vaccinale et lorsqu'on inocule 10 ou 20 antigènes par injection, on ne parle que d'1 seul vaccin, alors qu'il s'agit en réalité de 10 ou de 20 Que les laboratoires usent de subterfuges malhonnêtes pour vendre leurs produits, n'est pas une nouveauté, mais que l'ensemble des scientifiques, y compris ceux qui révèlent les dangers de la vaccination, ne mouftent pas à ce sujet laisse pantois. D'autant qu'à chaque fois que l'on pose la question à l'un deux sur les raisons de leur adhésion à ces mensonges, ils répondent généralement : « Le grand public ne comprendrait pas, pour lui une maladie est égale à un vaccin. C'est vrai que l'industrie pharmaceutique triche et ment à ce sujet, mais ils utilisent le mot « valence » pour indiquer le nombre d'antigènes contenus dans une injection ». Valence, vous savez ce que cela veut dire vous ? Encore la faute de la bêtise du grand public auquel nous appartenons. ***** À propos des redoutables statines. Un ami m'a raconté comment à l'occasion de consultations hospitalières de routine plusieurs médecins ont tenté de lui prescrire des statines alors que rien, absolument rien (c'est-à-dire aucune pathologie reliée par ces médecins aux statines) ne le justifiait. Il faut lire sur les statines l'excellent article de Vincent Reliquet publié par l'AIMSIB : « Imposer les statines aux diabétiques » ***** Nous sommes la dernière ligne de défense de nos enfants. Un article m'a particulièrement intéressé ces derniers temps, celui du docteur Jim Meeham qui a pour titre « Nous sommes la dernière ligne de défense de nos enfants ». Il commence ainsi et résume tellement bien la réalité de cette vaccination obligatoire imposée à tous par le président Macron, son gouvernement avec, n'en doutons pas, l'assentiment de toutes les forces politiques représentées au Parlement : « Vous ne pouvez pas être pro-science et pro-vaccin. La science des vaccins est une pseudoscience. La science des vaccins est la science du tabac 2.0. La science des vaccins est pleine de fraudes, de corruption et de déception. Les industries, les organismes et les personnes qui défendent la pseudoscience des vaccins en tant que justification d'une violation injustifiable des droits de l'homme doivent faire face à la réalité selon laquelle ils sont allés trop loin. Leurs tentatives désespérées pour contraindre et imposer des vaccins trahissent l'illégitimité de leur science. Il est temps de mettre fin à cette tentative intolérable de s'en sortir avec nos enfants. Il est temps de former la ligne sur laquelle ils ne passeront pas. Nous sommes la dernière ligne de défense de nos enfants. » On peut également lire : « En tant qu'ancien rédacteur en chef de revues médicales, je sais exactement comment l'industrie des vaccins conçoit des essais cliniques dans le but de masquer et veille à ce que vous passiez à côté des événements indésirables dangereux et mortels provoqués par leurs produits. C'est ridicule que nous permettions même aux fabricants de réaliser leurs propres études de sécurité précliniques mais nous le faisons. » « C'est ma reconnaissance des actions délibérées de puissantes entreprises qui manipulent la recherche médicale, inventent des études de recherche frauduleuses, achètent des politiciens et des chefs d'organismes fédéraux, voire d'organismes entiers, pour perpétrer des crimes contre nos enfants et le public en général, ce qui me pousse hors de-là où mes collègues ont choisi aveuglément de s'aligner. Je me suis « donné la peine » de regarder au-delà des titres et des conclusions des recherches publiées pour discerner la qualité, la fiabilité et l'intégrité des recherches utilisées pour promouvoir un calendrier de vaccination infantile qui a laissé aux enfants américains certains des enfants les plus malades du monde. Un calendrier de vaccination qui a conduit au pire taux de mortalité infantile du monde développé. Là où un enfant né en Amérique est plus susceptible de mourir le premier jour de sa vie, sa première année et ses cinq premières années de vie, que les enfants nés dans tous les autres pays développés de la planète. » Article original en anglais : « https://www.stopmandatoryvaccination.com/vaccine-mandate-legislation/md-heres-how-vaccine-pseudoscience-destroys-our-children/ » ***** Et maintenant, que faire ? Même si notre combat est difficile, même si l'on peut se demander à quoi sert l'intelligence et les connaissances lorsque l'on voit le nombre d'imbécillités criminelles qui nous sont imposées par des dirigeants politiques corrompus, n'abandonnons pas, car comme le dit Jim Meeham, « Nous sommes la dernière ligne de défense de nos enfants » ! Nous avons interrompu nos publications en avril par manque de moyens, cette précision pour rappeler que l'envoi de nos lettres dépend de vos dons et cotisations. Résistons ! Bien amicalement. Pierre Lefevre Pour que nous puissions continuer le combat, nous avons besoin de votre soutien matériel : Pour payer sa cotisation ou faire un don directement sur le compte de Libre Consentement Éclairé par virement bancaire, cliquez sur « Je règle ma cotisation ou je fais un don ».
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