Le premier meilleur moyen de perdre une guerre, câest dâignorer quâelle a lieu par méconnaissance des ennemis qui nous combattent, eux, sans relâche.
  Le deuxième meilleur moyen de perdre cette guerre, câest de se soumettre à lâennemi, sans combattre.
  Madame, monsieur, chère amie, cher ami,
  Qui sont nos ennemis ?   Qui sont les ennemis de nos droits dâêtres humains et de nos libertés fondamentales ?   Lorsque lâon y réfléchit posément, y compris avec un papier et un stylo, les réponses viennent très facilement surtout lorsque lâon se pose les bonnes questions.
  Quelles sont ces questions ?   Nous pouvons commencer par celle qui nous tient à cÅur à Libre Consentement Ãclairé, celle qui concerne lâinviolabilité du corps humain, telle quâelle a été définie lors du procès des médecins nazis à Nuremberg (dont 7 ont été pendus hauts et courts, ce qui nâa manifestement pas été suffisant pour nous protéger des monstres sanguinaires qui se parent de la blouse blanche, du titre de « docteur en médecine » et commettent leurs crimes au nom de la « science », pourtant ce procès et les condamnations à mort devaient servir à cela, nous protéger à jamais de ces monstres).
  Lâinviolabilité du corps humain
  En France, lâinviolabilité est une norme juridique (loi n° 94-653 du 29 juillet 1994 relative au respect du corps humain) reprise dans lâarticle 16 du Code civil qui dispose que « la loi assure la primauté de la personne, interdit toute atteinte à la dignité de celle-ci et garantit le respect de lâêtre humain dès le commencement de sa vie » et dont lâarticle 16-1 précise sans que cela puisse prêter à confusion « chacun a droit au respect de son corps. Le corps humain est inviolable ».
  Cela en est émouvant tellement il y a de la noblesse dâesprit et du respect dans ces jolies phrases.   à la lecture de ces lignes, on se demande « mais quâest-ce au juste que cette « inviolabilité » du corps humain ? Sexuellement, la chose est assez simple comprendre : on ne peut entretenir des relations sexuelles avec une autre personne sans quâelle y consente expressément.
  Mais, socialement, médicalement, quâen est-il de cette inviolabilité ?
  Lorsquâun fonctionnaire tire à bout portant une grenade dans la tête dâune jeune femme qui ne se livre à aucune activité criminelle, et que cela lui crève un Åil et lui occasionne dâimportants dommages neurologiques, peut-on considérer quâil y a une violation manifeste de lâarticle 16 du Code civil de la part de ce fonctionnaire éborgneur ?
  Crever un Åil avec une grenade ou un tir de LBD sans que la légitime défense ne puisse être invoquée par les fonctionnaires éborgneurs, nâest-ce pas violer un corps humain ?
  Lorsque des parlementaires votent quasiment unanimement une obligation « vaccinale » avec des injections de 73 ou 76 antigènes (sans même parler des substances neurotoxiques présentes dans les produits injectés), sur des bébés de 8 semaines, nây a-t-il pas de leur part une violation manifeste de lâarticle 16 du Code civil par ces politiciens qui sont pour la plupart dâune incompétence crasse et pour les plus en vue totalement corrompus par lâindustrie pharmaceutique ?
  Injecter de force dans le corps de bébés de 8 semaines des substances hautement dangereuses, nâest-ce pas violer un corps humain ?
  Par ailleurs, si les parents sâopposent à cette violation du corps de leur bébé qui vient de naître, des fonctionnaires leur retireront la « garde » du bébé, qui sera placé après que des pseudos médecins lui auront injecté de force les 73 ou 76 antigènes et les substances hautement toxiques qui vont avec⦠  Les parents seront naturellement ensuite condamnés pénalement par dâautres fonctionnaires « juges ».   Au sujet de la « vaccination », rappelons-le, elle ne repose sur aucune donnée scientifique fiable (nous le maintenons, les près de 300 ouvrages écrits sur la question en langue anglaise et la cinquantaine en langue française, à partir de données publiques et officielles, le démontrent sans contestation possible, la « vaccination » est une fausse science, comme lâa été la « science du tabac » ou encore « la science de lâamiante »).
  Qui sont nos ennemis ? Un début de réponse
  Arrêtons-nous à ces deux simples questions pour essayer dâavoir un début de réponse à notre question initiale, à savoir : qui sont nos ennemis ?
  à la lecture de ces deux exemples, nous avons un début de réponse :   - Sont nos ennemis, des ennemis mortels, les politiciens professionnels à la française qui votent des lois contraires au droit protecteur de lâêtre humain, à nos libertés fondamentales et à lâinviolabilité du corps humain (ce droit protecteur est principalement issu du procès des médecins, des politiciens et des fonctionnaires nazis à Nuremberg à la sortie de deuxième guerre mondiale).
  - Sont nos ennemis, des ennemis mortels, les fonctionnaires éborgneurs, mais également les fonctionnaires « juges » qui les couvrent et condamnent bien souvent avec sévérité les victimes.
  - Sont nos ennemis, des ennemis mortels, les pseudos médecins « enfermistes » et « injectistes », porteurs de masques et germes pathogènes.
  Ce premier club de nos ennemis mortels forme un cercle solidaire
  Les politiciens professionnels à la française gèrent les carrières des fonctionnaires, y compris des fonctionnaires éborgneurs, des fonctionnaires « juges » ou encore des fonctionnaires de la Santé publique (tu parles dâune santé), et ils décident grâce à différents processus de sélection et de contrôle de la carrière des pseudos médecins.
  Ce cercle est un cercle de solidarité, ils se tiennent tous la main, lorsque ce nâest pas autre chose, et ils font leurs petites affaires, et parfois leurs grosses fortunes, au détriment des citoyens qui Åuvrent dans le privé et qui sont aux yeux de ces parasites de nos impôts, taillables et corvéables à merci.
  Les salariés du privé, ceux qui sont à la base de toute création de richesse, sont taillables et corvéables à merci, ils sont doublement, voir triplement exploités, par qui ? Par nos ennemis !
  Premièrement, ils le sont par le capital détenu par les actionnaires, si lâon se contente dâune lecture marxiste de lâéconomie.
  Deuxièmement, ils sont exploités par les politiciens professionnels (tout aussi nombreux que totalement inutiles), qui votent les lois fiscales et sociales, ainsi que les lois contraires nos droits dâêtres humains, à nos libertés fondamentales et à lâinviolabilité de nos corps.   Ces politiciens à la française nâoublient pas eux-mêmes de décider de leurs très confortables rémunérations (prises sur la création de richesse des salariés et entrepreneurs du privé). Ils décident également et des cotisations sociales qui vont servir à gaver les actionnaires de Big Pharma (et leurs obligés, politiciens et fonctionnaires de santé), ainsi que ces pseudos médecins, mais vrais « enfermistes », vrais « injectistes » dâARNm ou dâadénovirus de chimpanzés, et vrais porteurs de masques (eux-mêmes porteurs de germes pathogènes).
  Troisièmement, les salariés et entrepreneurs du privé sont également exploités par ces millions de fonctionnaires qui vivent du montant des impôts, des taxes votées par les politiciens (tout aussi nombreux que socialement parfaitement inutiles pour la plupart, précisons à ce sujet que lâon peut très bien enseigner ou soigner sans être fonctionnaires, comme câest le cas dans de nombreux pays).
  Le « Néonazi Pass » va-t-il passer ?
  Allons-nous refuser de combattre nos ennemis qui vont sans doute et avec une facilité déconcertante, réussir à imposer le « Néonazi Pass » quâils appellent « Passeport sanitaire » (à ce sujet, on se demande quâelle serait la réaction des bienpensants si lâon exigeait des certificats de non-contamination au VIH pour voyager, aller au restaurant, ou travailler) ?
  Tous nos politiciens professionnels sont pour, aucun ne sâoppose à cette mesure néonazie par excellence (à lâexception peut-être de Florian Philippot et de François Asselineau qui, toutefois, semblent parfaitement sâaccommoder de cette Constitution de la V° République qui nous réduit en sujets taillables et corvéables à merci par les politiciens, les syndicalistes et les fonctionnaires).
  Si nous les laissons faire, si nous laissons faire nos politiciens, fonctionnaires et pseudo « médecins » néonazis, ils auront gagné cette guerre quâils font à lâhumanité
  Alors bien sûr, nous sommes les seuls en France à tenir ce langage, un langage vrai et clair, un langage qui nomme les choses pour ce quâelles sont réellement. Utiliser ce langage, câest notre manière à nous de combattre nos ennemis mortels.
  Nous sommes les seules à dire que si nous ne changeons pas radicalement de régime politique, et très rapidement, cela en sera fini à tout jamais de la si riche civilisation française, de lâOccident et, plus grave encore, de lâhumanité.
  Nous le disons, car nous espérons un sursaut de nos concitoyens, ceux qui sont éclairés et qui savent très bien ce qui se trame sous les ors des palais de la « République » et à Bruxelles : notre disparition en tant que peuple et en tant quâêtres humains dotés de droits inaliénables et sacrés, comme celui de ne pas avoir à subir un « traitement » médical, « vaccination » comprise, contre son gré.
*
  Après le slogan nazi « ARBEIT MACHT FREI » (« Le travail rend libre »), vient le slogan néonazi et français « La vaccination rend libre »
  Les camps de « rétentions sanitaires » entourés de barbelés sont construits, ils nous y parqueront et nous injecterons de force leurs poisons.
  En Nouvelle-Zélande, aux Ãtats-Unis, au Canada, en Allemagne se sont construits des camps entourés de barbelés.
  En France, on ne sait pas, mais de toute façon les fonctionnaires néonazis savent très bien utiliser les stades pour commettre leurs basses besognes.   Il y a une sorte de savoir-faire administratif acquis lors de la rafle dite du « Vel dâHiv », ou les fonctionnaires éborgneurs de lâépoque parquèrent 8 000 juifs au vélodrome dâhiver de Paris, avant que les agents de la SNCF ne les convoient dans les camps de la mort. Câétait le 16 juillet 1942.
  Si leur « Néonazi Pass » nous est imposé, que croyez-vous quâil se passera rapidement pour les non-vaccinés ?
  Nous serons arrêtés par des fonctionnaires éborgneurs, sur mandats de fonctionnaires « juges », dâaprès des lois votées par nos politiciens professionnels et des pseudos médecins, mais vrais « enfermistes », nous injecterons de forces leur ARNm ou leurs adénovirus de chimpanzés.
  Ils feront comme leurs prédécesseurs ont fait entre 1940 et 1945 avec les juifs, ils feront fièrement leur travail dâextermination de lâhumanité, nâen doutez pas une seconde. |