Qu’en sera-t-il de l’homme, de la femme, du couple qu’ils forment et dont procède la vie, dans un quart de siècle, c’est-à-dire après-demain ? 

Quel sera notre rapport collectif à l’enfant, en particulier à l’enfant à naître, à la personne âgée, fragilisée, en fin de vie ? 

Quelle place continuera de prendre la technologie dans nos vies, et pour nous emmener où, vers quel futur supposément "bioéthique" ? Quelle vie, quelle humanité, en 2050.

L’individu moderne, ayant oublié aussi bien Dieu que la nature, a fait de lui-même son unique mesure, ce qui n’était guère tenable dans la durée. La science et le capitalisme venant au secours de sa quête éperdue d’infini, le voilà au bord d’une redéfinition de la condition humaine dont ilya beaucoup à craindre.

Je commande le numéro →

Près d’une femme sur trois en âge de procréer affirme ne pas vouloir d’enfants. Cette réalité, qui nous condamne collectivement à échéance moyenne, s’explique par la prise de pouvoir, sur l’être féminin, et dans une société largement égarée, d’un discours féministe dévoré par la haine de soi et le rejet de la nature.

Je commande le numéro →

Habitée par un regard illusoire sur la souffrance, travaillée par l’individualisme et le relativisme qui dénaturent les notions de dignité et de liberté, notre société est au bord d’une rupture anthropologique dont elle aurait du mal à se relever.

Je commande le numéro →