Vivre (dé)confiné: infos, témoignages et astuces
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Déconfinés... et ce n'est que le début. Que garderons nous de ces 55 jours de confinement? Allons-nous changer des choses dans notre quotidien? Dans notre métier? Depuis le 11 mai, nous avons posé la question à des personnalités de tous bords. Voici leurs réponses. |
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| | Impossible de s’arrêter de courir maintenant que la mère et son fils ont découvert ce nouveau loisir. Alors que son fils autiste Julien ne supportait plus l'enfermement du confinement, Magali a eu la joie de lui faire découvrir le running. Depuis, Julien va rejoindre un club d’athlétisme pour développer son endurance mais aussi rencontrer d’autres personnes de son âge. |
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| | Touché par le Covid-19, le journaliste sportif de Canal Plus a perdu une quinzaine de kilos avec cette infection. Mais Pierre Ménès n'a pas attendu l'épidémie pour prendre conscience des besoins criants des hôpitaux. "J’espère que la grande conséquence de cette pandémie sera la prise de mesures importantes pour les soignants. Quand je vois que les footballeurs traînent des pieds pour reprendre [la compétition], alors que ces gens gagnent 1200€ par mois à risquer leur vie dans les hôpitaux je trouve ça indécent!" |
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| | “Je n’ai jamais été aussi créatif de ma vie. J’ai pu faire des choses que je n’avais jamais eu le temps de faire. Et je retrouve du plaisir dans les petites choses qui vont changer ma vie une fois qu’on sera libres”, nous confie sans hésiter l’explorateur et aventurier Mike Horn, plutôt habitué des grands espaces. |
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| | Thomas Bonnel, cofondateur du restaurant parisien Mieux, a été contraint de fermer son établissement le 15 mars. Désireux de faire vivre son activité et d’aider ses collaborateurs, fournisseurs, maraîchers, et tous les acteurs de notre société à son échelle, il a mis en oeuvre tout son savoir-faire. “Le monde d’après, à notre petite échelle, on va faire en sorte qu’il soit beaucoup plus juste pour tous les intermédiaires, dont la rémunération sera plus équitable.” |
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| | Le président des députés communistes André Chassaigne a contracté le coronavirus au début de la crise sanitaire. Et s'il s'est rapidement remis au travail, cette opposant farouche d'Emmanuel Macron a dû faire face à l'urgence, sans se faire beaucoup d'illusions pour la suite. "Toutes les promesses qui sont faites et les grands discours, je n’y crois pas, affirme-t-il. Tout change pour que rien ne change.” |
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