Cette semaine dans Valeurs actuelles

MERCI PATRONS !

EN COUVERTURE

Nos patrons préférés
Par Marie de Greef-Madelin et Frédéric Paya

Ils ne sont pas seulement des champions financiers. Fidèles à leur identité et à leurs valeurs, ils refusent de céder à la bien-pensance et à la doxa médiatique. Les 12 personnalités que nous vous présentons sont aussi celles qui portent haut les couleurs et les valeurs françaises. Notre dossier.

ÉCONOMIE & ENTREPRISES

Fiers d’être entrepreneurs et chrétiens
Par Marie de Greef-Madelin et Frédéric Paya

Discrets mais très actifs autant dans les multinationales que dans les PME, les dirigeants chrétiens se rencontrent une fois par mois partout en France. Avec un objectif: servir le bien commun.

POLITIQUE

Des hauts et débats
Par Sébastien Lignier

Largement en tête des intentions de vote pour les élections européennes, Jordan Bardella et le Rassemblement national abordent sereinement les derniers jours de la campagne, convaincus d’avoir survécu au piège tendu par Gabriel Attal et Emmanuel Macron.

POLITIQUE

Bellamy, le dernier panache
Par Édouard Roux

Le parti de droite, aujourd’hui crédité de 7 à 8 % des voix aux européennes, malgré une bonne campagne, peine à trouver sa place. Mais il fait le pari du bilan et du sérieux, à une semaine du vote. Derniers jours où tout peut se jouer.Ycompris pour la suite…

MONDE

Vers un durcissement du régime iranien

Par Emmanuel Razavi

La mort prématurée d’Ebrahim Raïssi, le président de la République islamique d’Iran, ouvre sa succession, tout comme de celle du guide suprême, Ali Khamenei. La période de transition est favorable aux conservateurs.

ENQUÊTE

Dans l’enfer d’une erreur judiciaire

Par Amaury Bucco

ENQUÊTE. Accusée des pires exactions par les enfants de son conjoint, Élodie*apassé près de deux ans en détention avant d’être acquittée. L’affaire d’Outreau n’aura servi à rien.

HISTOIRE

Louis Joseph, le dauphin oublié

Par Philippe Delorme

“À la mort de mon pauvre cher petit dauphin, la nation n’a pas seulement eu l’air de s’en apercevoir.” C’était le 4 juin 1789. Le roi Louis XVI et la reine Marie-Antoinette ne cesseront de pleurer leur fils aîné jusqu’à leur dernière heure.

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