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l’Évangile au Quotidien « Seigneur, vers qui irions-nous ? Tu as les paroles de la vie éternelle » Jn 6, 68 |
Lundi 11 Mars
Le lundi de la 4e semaine de Carême
Calendrier romain ordinaireVoir le commentaire ci-dessous
BBx Joseph Aparicio Sanz et 232 compagnons , Bx Vincent Prennushi |
Évangile de Jésus-Christ selon saint Jean 4,43-54.
En ce temps-là, après avoir passé deux jours chez les Samaritains, Jésus partit de là pour la Galilée. |
– Lui-même avait témoigné qu’un prophète n’est pas considéré dans son propre pays. |
Il arriva donc en Galilée ; les Galiléens lui firent bon accueil, car ils avaient vu tout ce qu’il avait fait à Jérusalem pendant la fête de la Pâque, puisqu’ils étaient allés eux aussi à cette fête. |
Ainsi donc Jésus revint à Cana de Galilée, où il avait changé l’eau en vin. Or, il y avait un fonctionnaire royal, dont le fils était malade à Capharnaüm. |
Ayant appris que Jésus arrivait de Judée en Galilée, il alla le trouver ; il lui demandait de descendre à Capharnaüm pour guérir son fils qui était mourant. |
Jésus lui dit : « Si vous ne voyez pas de signes et de prodiges, vous ne croirez donc pas ! » |
Le fonctionnaire royal lui dit : « Seigneur, descends, avant que mon enfant ne meure ! » |
Jésus lui répond : « Va, ton fils est vivant. » L’homme crut à la parole que Jésus lui avait dite et il partit. |
Pendant qu’il descendait, ses serviteurs arrivèrent à sa rencontre et lui dirent que son enfant était vivant. |
Il voulut savoir à quelle heure il s’était trouvé mieux. Ils lui dirent : « C’est hier, à la septième heure, (au début de l’après-midi), que la fièvre l’a quitté. » |
Le père se rendit compte que c’était justement l’heure où Jésus lui avait dit : « Ton fils est vivant. » Alors il crut, lui, ainsi que tous les gens de sa maison. |
Tel fut le second signe que Jésus accomplit lorsqu’il revint de Judée en Galilée. |
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris
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Saint Grégoire de Narek (v. 944-v. 1010) |
« Vous ne pourrez donc croire à moins d'avoir vu des signes et des prodiges ? »
« Celui qui invoquera le Nom du Seigneur, |
celui-là sera sauvé » (Jl 3,5 ; Rm 10,13). |
Quant à moi non seulement je l'invoque |
mais avant tout je crois à sa grandeur. |
Ce n'est pas pour ses présents |
que je persévère dans mes supplications, |
mais parce qu'il est la Vie véritable |
et qu'en lui je respire ; |
sans lui il n'y a ni mouvement ni progrès. |
Ce n'est pas tant par les liens de l'espérance |
que par les liens de l'amour que je suis attiré. |
Ce n'est pas des dons, |
mais du Donateur dont j'ai toujours la nostalgie. |
Ce n'est pas à la gloire que j'aspire, |
mais c'est le Seigneur glorifié que je veux embrasser. |
Ce n'est pas la soif de la vie qui toujours je me consume, |
mais le souvenir de celui qui donne la vie. |
Ce n'est pas après le désir du bonheur que je soupire, |
que du plus profond de mon cœur j'éclate en sanglots, |
mais c'est par désir de celui qui le prépare. |
Ce n'est pas le repos que je cherche, |
mais c'est le visage de celui qui apaisera mon cœur suppliant. |
Ce n'est pas pour le festin nuptial que je languis, |
mais c'est du désir de l'Époux. |
Dans l'attente certaine de sa puissance |
malgré le fardeau de mes péchés, |
je crois avec une espérance inébranlable |
et en me confiant dans la main du Tout Puissant, |
que non seulement j'obtiendrai le pardon |
mais que je le verrai lui en personne, |
grâce à sa miséricorde et à sa pitié |
et, bien que je mérite parfaitement d'être proscrit, |
que j'hériterai du ciel. |
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